|
Blog : L'actu vue par JSSL'Egypte acccuse officiellement "les sionistes de France" de la non-élection de Farouk l'antisémite Le ministre antisémite égyptien de la Culture Farouk Hosni n'est pas parvenu à devenir le nouveau directeur général de l'Unesco, fonction qui reviendra à la diplomate bulgare Irina Bokova dont l'élection a suscité mercredi de vives réactions en Egypte. Bokova, 57 ans, ambassadrice de son pays [...] 13 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 9 heures - Slate .fr
Il y a 11 heures - i24 News
Il y a 11 heures - Kountrass
19 Décembre 2025 - Le Figaro
19 Décembre 2025 - Le Figaro
1 Décembre 2025 par Blaise_001
25 Novembre 2025 par Blaise_001
23 Octobre 2025 par Guillemette
23 Octobre 2025 par Blaise_001
23 Octobre 2025 par Blaise_001
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 60 minutes























Vous êtes Juuiiiiffff???
Que les égyptiens enragent , que te plus normal , ils enragent de avoir raté une occasion pour distiller leur haine .
Plus ils pestent , plus ils montrent leur vrai visage .
Ils essaient de prendre plus en plus les postes importantes , il faut etre tres vigilant !
Bonne chance à Mme. Bokova !!!!
On a que faire de ce genre de personnage. Honte à lui et bravo à mme Bokova bonne chance pour elle.
Sabbat chalom à tous; Gerard.David
Le ministre égyptien de la Culture a dernièrement décidé de remettre à l'ordre du jour le projet de traduction de textes de littérature israélienne en arabe. La décision a suscité de vives critiques au sein du milieu égyptien cultivé, qui y a vu une tentative de conciliation face à Israël et un moyen d'assurer le soutien israélien à la candidature du ministre de la Culture Farouq Hosni au poste de secrétaire général de l'UNESCO. Le ministre égyptien de la Culture a démenti, expliquant que la traduction d'ouvrages israéliens n'avait jamais été considérée comme une mesure de normalisation avec Israël, mais qu'il fallait plutôt y voir un moyen pour les lecteurs égyptiens de connaître leur ennemi. En outre, les traductions ne se feraient pas à partir des originaux en hébreu mais de leurs adaptations en langues européennes, afin d'éviter tout contact direct avec des écrivains et éditeurs israéliens.
...............
La traduction de livres risquerait de supprimer la barrière psychologique entre Arabes et Israéliens et de promouvoir la normalisation
...................
Pour lire l´article en entier:
http://www.memri.org/bin/french/latestnews.cgi?ID=IA54809