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Blog : Sérum de LibertéLa guerre contre IsraelMENA: La guerre contre Israël Par Guy Millière Dimanche 25 octobre La guerre menée contre Israël n'est pas seulement une guerre qui utilise les moyens du terrorisme, des attentats, des actions militaires quelquefois. C'est une guerre qui recourt aussi très largement à la propagande, à la diffusion d'informations trafiquées, à la falsification de l'histoire, aux incitations à la haine la plus vicieuse et la plus aveugle. C'est une guerre qui passe par les circuits financiers et les agents d'influence, les universités et les maisons d'édition, la presse écrite et les media audiovisuels, Internet, les rumeurs disséminées, les instances censées dire le « droit international » et qui ne sont plus que la répugnante caricature de ce qu'elles furent. C'est une guerre planétaire. Ce n'est qu'un front dans le combat très ancien entre la liberté et l'oppression, le droit des êtres humains et l'arbitraire, la société ouverte et ses ennemis. C'est une guerre qui s'accentue actuellement. Pendant les dernières années d'existence de l'empire soviétique, le « peuple palestinien » et sa « lutte de libération nationale » ont constitué le plus grand succès de tous ceux remportés par le KGB et ses diverses officines. Depuis, malgré l'effondrement de l'empire, le succès s'est accentué. Le « peuple palestinien » est devenu l'archétype du « peuple opprimé » pour ceux qui voulaient trouver un « peuple opprimé » à défendre. La description d'Israël comme un Etat impérialiste, colonialiste, porteur de tous les pêchés, dont on pouvait tenter d'affubler le monde occidental chez les nostalgiques des causes totalitaires perdues, a continué à se propager. Les antisémites de tous bords ont trouvé dans ce qu'ils appellent l' « antisionisme » un excellent moyen de recycler leurs vieilles haines. L'islamisme est venu prendre place, comme un nouveau totalitarisme qui a trouvé ses compagnons de route et ses idiots utiles, en Europe et en Amérique du Nord. Sur l'échiquier mondial tel qu'il se recompose, un grand regroupement a lieu, où s'ajoutent aux dictatures diverses, qui constituent l'essentiel de la liste des membres de l'Organisation de la Conférence Islamique, d'autres dictatures, qui ont en commun avec les membres de l'OCI la volonté d'affaiblir le monde occidental et les sociétés ouvertes. Et tous les membres de ce regroupement partagent les mêmes stratégies du bouc émissaire, tous savent que leurs intérêts bien compris consistent à déstabiliser ceux qu'ils veulent affaiblir, ou à les conduire à se renier : quand les Etats-Unis sont gouvernés par des gens qui parlent de démocratie et de droits de l'homme, ils s'en prennent aux Etats-Unis et à Israël. Quand les Etats-Unis sont gouvernés comme ils le sont aujourd'hui, et semblent leur laisser le champ libre, il leur reste Israël. Les dirigeants des grands pays européens sont gênés lorsqu'il s'agit de défendre Israël, et se contentent, en général, de formules de politesse qui ne coûtent rien : leurs intérêts financiers les poussent plutôt à passer contrat avec les membres de l'OCI, la Russie, la Chine. Ils craignent le terrorisme et des émeutes incontrôlables. Les universités, les media, les maisons d'édition en Europe sont, par ailleurs, tenus depuis longtemps par des compagnons de route et des idiots utiles. Les Etats-Unis, sous la présidence Obama, suivent politiquement le chemin de l'Europe. Et les universités, les media, les maisons d'édition aux Etats-Unis subissent depuis des années les processus d'infiltration qui ont fait leurs preuves du côté européen de l'Atlantique. Les conséquences sont visibles. Très visibles. L'image d'Israël dans les divers pays d'Europe n'a jamais été aussi négative. Et elle est en voie d'érosion aux Etats-Unis. L'idée qu'Israël est un danger pour la paix et un élément de déstabilisation internationale, l'idée qu'Israël occupe des territoires qui ne sont pas les siens, opprime le « peuple palestinien » et assassine arbitrairement sont installées très largement dans les têtes en Europe, et se propagent aux Etats-Unis. Des campagnes de boycott sont évoquées ici et là, avec pour objectif d'asphyxier l'économie et la recherche israéliennes : la dernière en date, en France, vient du Mrap, qui a retiré depuis des années la lutte contre l'antisémitisme de ses objectifs. Des menaces de saisie de la justice aux fins d'arrêter des Israéliens séjournant en Europe circulent dans divers pays, et rien n'indique qu'elles ne seront pas un jour suivies d'effet. Articles et reportages biaisés se multiplient en Europe et se font plus nombreux dans les media « politiquement corrects » d'Amérique du Nord : si, aux Etats-Unis, des réponses sont possibles et des articles différents sont à même d'être largement disponibles, il n'en va pas de même en Europe. Des livres de plus en plus nauséabonds paraissent, et ils peuvent, même, se trouver portés aux nues par des historiens et des politologues. Il en a été ainsi, en France, pour Comment le peuple juif fut inventé, de Shlomo Sand, qui a même reçu un prix littéraire prestigieux pour son « audace ». Le fait que Sand ne soit pas historien, qu'il vienne d'une ultragauche qui n'a cessé de frôler l'antisémitisme en pratiquant « l'antisionisme » avec une ferveur fanatique, le fait que ses pseudo travaux aient fait l'objet de réfutations détaillées par des gens qui, eux, ont fait un travail d'historiens et de longues et scrupuleuses études pour cela ne compte pas. Ne compte pas non plus le fait que Sand se contente de reprendre les falsifications d'un auteur juif antisémite des années 1950, Benjamin Harrison Freedman. Ce qui compte est qu'il sert les objectifs de la guerre. Et Sand fait actuellement une tournée de conférences en Amérique du Nord pour promouvoir la sortie de son livre en langue anglaise. Sand a eu des prédécesseurs, mais aucun n'a suscité un tel engouement. Des intellectuels juifs préférant l'éclairage des plateaux de télévision et les ors du pouvoir à la défense de certains principes nient l'existence de l'antisémitisme et s'efforcent de se dissocier d'Israël, comme si se trouver associé à Israël pouvait salir leur réputation. Ainsi Jacques Attali, qui, vient-il de déclarer à Haaretz, n'a pas vu depuis longtemps la moindre trace d'antisémitisme en France et voit dans l'évocation d'actes antijuifs dans le pays qui fut celui de Pétain une obsession de sionistes forcenés. Il est vrai que le même Attali ne « savait » pas que François Mitterrand avait travaillé pour Vichy et gardé une amitié fidèle pour René Bousquet, et que, lorsqu'il l'a su, cela n'a rien changé à son estime pour François Mitterrand. D'autres, tel Elie Barnavi, comme l'a relevé Gilles-William Goldnadel dans son excellent et courageux blog, gardent le silence quand on leur pose des questions qui semblent avoir été écrites par un service de propagande palestinien, tant elles sont insidieuses et viciées. Que des instances grotesques et déshonorées depuis longtemps, tel que le Conseil des Droits de l'homme de l'ONU, commanditent un rapport sur les crimes de guerre, « commis pendant les opérations israéliennes menées contre le mouvement terroriste Hamas à Gaza en janvier dernier » n'a rien d'étonnant en ces conditions. Que ce rapport prenne la forme du rapport Goldstone, qui incrimine massivement Israël, et de manière très infime le Hamas, dont les intentions génocidaires sont pourtant explicites, n'a rien d'étonnant non plus. Que la Commission susdite ait trouvé un juge juif pour lui servir d'alibi est attristant, mais pas surprenant. Que le Conseil susdit vote massivement en faveur de ce rapport, et que les media européens se contentent de dire que « le Conseil des Droits de l'homme de l'ONU incrimine Israël pour crimes de guerre et possibles crimes contre l'humanité » sans expliquer que ce Conseil incarne autant les Droits de l'Homme qu'Adolf Hitler incarnait, dans les années 1930, l'amitié entre les peuples, est conforme à ce qu'on peut attendre dans le contexte où nous sommes. Que les représentants de la France et la Grande-Bretagne fuient la salle comme des lapins apeurés au moment des votes, et n'aient même pas le courage ultra minimal de s'abstenir et d'assumer leur lâcheté, est tout à fait normal dans la nauséabonde anormalité ambiante. Sont tout à fait normales, aussi, dans cette nauséabonde anormalité, les grotesques négociations menées à Vienne avec les représentants du gouvernement Ahmadinejad concernant le nucléaire iranien, tandis qu'en Iran, l'avancée vers l'arme atomique et la répression la plus féroce vis-à-vis du peuple iranien se poursuivent. On peut critiquer le livre de Sand, réfuter le rapport Goldstone et blâmer son extrême partialité, dénoncer les sous-jacences des négociations de Vienne avec les nazislamistes venus de Téhéran : ce n'est pas inutile. Ce doit être fait. Mais ce ne seront jamais que des actions défensives menées sur un terrain déjà occupé très largement par l'adversaire. Les actions défensives ne font que retarder l'échéance, mais ne peuvent en aucun cas inverser le cours des choses. Des organisations aux Etats-Unis mènent, elles, des actions offensives : en rappelant les objectifs d'ensemble du djihadisme et de l'islam radical, en soulignant que les enjeux se situent en termes de combat pour la liberté et contre la tyrannie, de combat pour les droits de l'homme contre ceux qui usent du nom de droits de l'homme pour en faire une tragi-comédie ridicule et sordide. Ces organisations ont des moyens financiers pour agir, car des gens vigilants y veillent. Elles peuvent parvenir à des résultats. L'une d'elles est Terrorism Awareness, mise en place par cet homme courageux qu'est David Horowitz, le créateur de Frontpage magazine. Aucune organisation de ce genre n'existe en Europe, même si quelques initiatives éparses existent. Ceux qui seraient prêts à mener le combat n'ont quasiment aucun soutien et sont souvent conduits à renoncer. La guerre est-elle en voie d'être perdue par Israël ? A l'échelle de l'Europe, je crains que ma réponse doive être : oui ; la guerre est déjà quasiment perdue et, sauf un sursaut que j'ai des difficultés à imaginer, je ne vois pas comment la situation pourrait s'inverser. Je ne comprends d'ailleurs pas la retenue de la plupart des organisations de lutte contre l'antisémitisme ou de soutien à Israël en Europe, et tout particulièrement en France. Les leçons de l'histoire ne servent-elles donc à rien ? A l'échelle des Etats-Unis, je pense que la guerre, fort heureusement peut encore être gagnée. Précisément parce qu'il reste des gens qui se battent et, surtout, des moyens pour se battre. Il y aura, je n'ai cessé de le dire, un après Obama. Et celui-ci pourrait commencer plus vite qu'on ne l'imagine en Europe. Ce sera tant mieux pour Israël, qui, subissant une guerre ininterrompue depuis plus de soixante ans, a plus que jamais besoin d'alliés et de soutiens. Par ailleurs, l'Amérique du Nord, c'est aussi le Canada : un séjour récent au Canada m'a permis de rencontrer des gens d'une grande qualité, et de relire les déclarations de Stephen Harper, un Premier ministre qu'en termes de lucidité et de dignité, je place à hauteur de Binyamin Netanyahu, ce qui, venant de moi, n'est pas un mince compliment. A l'échelle du monde et du Proche-Orient, ajouterai-je, la guerre peut et doit être gagnée. Israël est un pays doté d'une armée efficace, de technologies innovantes et de dirigeants lucides. C'est un pays porteur d'un message de liberté et de dignité, dont le monde musulman aurait bien besoin s'il ne s'enlisait diversement dans l'ornière. Que des dictateurs divers détestent Israël est dans l'ordre des choses. Que les dirigeants des pays européens se comportent comme ils le font n'est que l'une des traductions du suicide civilisationnel qui monte en Europe. Que la résistible ascension de Barack Hussein Obama, depuis les bas fonds de Chicago, ait les conséquences tangibles est très logique : un Président anti-américain, venu de l'islamo-gauchisme, ne peut qu'être anti-israélien et flirter avec des antisémites. Je regrette seulement qu'il n'y ait pas, ailleurs qu'aux Etats-Unis et au Canada, une mobilisation plus nette et, surtout, plus offensive pour contribuer à ce que la guerre soit gagnée. 122 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 9 heures - Kountrass
Il y a 10 heures - Times of Israel
27 Juillet 2025 - Le Figaro
26 Juillet 2025 - Le Figaro
25 Juillet 2025 - Le Monde diplomatique
Il y a 8 heures par Blaise_001
27 Juillet 2025 par Jcl
27 Juillet 2025 par Claude_107
19 Juillet 2025 par Rafael_003
17 Juillet 2025 par Rafael_003
27 Juillet 2025 - Le Monde Libre
25 Juillet 2025 - Torah-Box
25 Juillet 2025 - Torah-Box
10 Juillet 2025 - Le Monde Libre
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
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Dernière mise à jour, il y a 49 minutes
mais que connais tu vraiment de ce que tu crois ?apprendre des phrases? memoriser ? psalmodier ? est cela pour toi la verité !quel sort reserves tu a ton propre frere ! le meurtre barbarie pas un jour sans que des attentats aussi meurtriers l un que l autrene fassent la une des journaux ! tu veus nous entrainer dans dans une confrontation entre ton mal et ton bien mettant d un coté le mechant et le bon ta vision du monde est reducteur regarde bien autour de toi et tu verras qu apres tant d appels a la disparition d Israel son peuple ce releve , reconstruit ,travail et continue d esperer!si apres cela tu continues a voir en lui qu une pure coincidence alors il est temps que tu dormes !!!!
vous avez écris « Vous oubliez que les "palestiniens" que vous mentionnez à tort comme population "palestinienne" est en fait une population composée d'arabes ayant été expulsée par d'autres pays musulmans, qui n'a donc aucune identité ethnique » tes preuves Hilda, il faut des preuves pour écrire de telles contrevérités, vous ne pouvez pas résoudre le problème en l’occultant, en niant l’inexistence de 20% d’arabes qui vivent en Israel, les 1,5 millions qui vivent à Gaza, ou encore les 5 millions qui vivent en Cisjordanie et dans les camps de réfugiés, sans compter les palestiniens qui vivent dans les camps de réfugiés éparpillés entre le Liban la Jordanie et l’Irak. Vous pouvez consulter le rapport de l’ONU du 27/10/2009:
DEUXIÈME COMMISSION: L’OCCUPATION DES TERRITOIRES PALESTINIENS PAR ISRAËL Y EST LA PRINCIPALE CAUSE DE LA PAUVRETÉ ET DE LA CRISE HUMANITAIRE, JUGENT DES DÉLÉGATIONS
http://secint24.un.org/News/fr-press/docs/2009/AGEF3257.doc.htm
Tu as écris : « N'en avez vous donc pas assez de recevoir de notre glorieuse armée, Tsahal, des déculottées pourtant mémorables lors de tous ces conflits ? » je n’aime pas l’usage des propos qui font appel aux « nous » et « vous », personnellement je ne représente que moi-même, je ne suis pas palestinien, je suis un citoyen arabe lambda, je dénonce la politique israélienne contre le peuple Palestinien, son refus d’appliquer les résolutions de l’ONU, la politique d’instrumentalisation de la peur par les dirigeants sionistes contre les citoyens israéliens.
Et puit j’aime beaucoup les belles femmes que je ne pourrais les battre, et je sens que vous êtes belle Hilda … nous pourrions peut être avoir une vie commune dans une prochaine réincarnation, à propos, est ce que ce concept existe dans le judaïsme …
Je n'aime ni votre grossièreté ni votre ton. Votre interpellation en dit long sur ce qui nous différencie. Manifestement, nos dictionnaires ne définissent pas à l'identique les mots MENSONGE et CIVILITE. Vous mériteriez que je vous resserve la même salade dans le même emballage en guise de réponse mais je préfère attirer votre attention sur la stérilité de votre approche. Ici, les projectiles doivent être estampillés du sceau de l'honnêteté intellectuelle. Gaza, c'est loin. Comment avoir un échange serein alors que vous commencez par envoyer vos bombardiers ? Si vous avez la prétention d'être convaincant en mettant en boucle les demi-mensonges et les demi-vérités, sachez que cette technique de bonne guerre est loin d'être infaillible. D'autres l'ont usée et abusée avant vous. D'ailleurs, qui me dit que vous n'êtes pas un revenant ?
Il est vrai que, tombé bien bas dans sa soif de pétrodollars, le monde civilisé a pompé tout ce qu'il a pu pour vous servir sur un plateau le répertoire exhaustif des contre-vérités dans lequel vous puisez sans aucune modération. J'ai du mal à comprendre comment Israël tient encore debout. Croyez-vous aux miracles ?
Vous savez comme moi que le djihad cible toute la planète en procédant par élimination. Son totalitarisme n'est ni modulable ni sélectif. L'islamisme ne laissera aucun répit à Israël quelle que puisse être la configuration du moment. Il est là le rapport qui vous échappe. Il faut être bien candide pour envisager les choses différemment. Mais vous n'êtes pas candide, n'est-ce pas ?
Quand à l'incohérence de mon précédent poste, l'étiquette c'est bien mais ça ne suffit pas. Pourquoi ne pas le reprendre au point par point pour démontrer aux visiteurs de ce blog que votre posture est intelligible ? Bon, si vous avez déjà vidé votre poubelle....
Vous pouvez consulter le rapport de l’ONU du 27/10/2009:
DEUXIÈME COMMISSION: L’OCCUPATION DES TERRITOIRES PALESTINIENS PAR ISRAËL Y EST LA PRINCIPALE CAUSE DE LA PAUVRETÉ ET DE LA CRISE HUMANITAIRE, JUGENT DES DÉLÉGATIONS
Tu peux consulter le rapport de l´ONU du 4 février 2009
Gaza : L'UNRWA condamne la confiscation d'aide humanitaire par le Hamas
Le Hamas a confisqué mardi des fournitures humanitaires de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), une action fermement condamnée par l'agence et par le responsable humanitaire des Nations Unies John Holmes, qui souhaitent vérifier que l'assistance va bien aux personnes qui en ont besoin.
Plus de 3.500 couvertures et 406 colis alimentaires ont été confisqués à un entrepôt de distribution a Beach Camp, à Gaza, par la police palestinienne, annonce un communiqué.
« Cette confiscation a eu lieu après que le personnel de l'UNRWA a refusé de les remettre au ministère des affaires sociales géré par le Hamas », le mouvement islamiste qui sort de trois semaines d'affrontements avec les forces israéliennes à Gaza, selon l'agence.
« La police est donc entrée de force dans le hangar afin de saisir les biens. L'aide devait être distribuée à 500 familles dans la zone ».
"« Vous oubliez que les "palestiniens" que vous mentionnez à tort comme population "palestinienne" est en fait une population composée d'arabes ayant été expulsée par d'autres pays musulmans, qui n'a donc aucune identité ethnique » tes preuves Hilda,"
Le Peuple Palestinien n'existe pas:
En fait, le recensement officiel réalisé par les pouvoirs ottomans en 1882, affirme qu'il n'y avait alors en Erets Israël que 141 000 musulmans Arabes et non-Arabes réunis.
Toutes les données pointent vers les pays arabes voisins: le Liban, la Syrie, l'Egypte et la Jordanie. En 1922, le Gouverneur britannique du Sinaï précisait que «la Alya clandestine ne se faisait pas qu'à partir du Sinaï, mais également à partir de la Jordanie et de la Syrie». Un rapport effectué avec le soutien du mandat britannique en 1930 précisait que «les listes de chômeurs se remplissaient de réfugiés venant de Jordanie» et que «l'Alya clandestine à partir de la Syrie et de la frontière nord de la Palestine était très sérieuse».
Les Arabes eux-mêmes témoignaient de ce phénomène. Par exemple, le Gouverneur de la région syrienne, annonçait en 1934 que plus de 30 000 réfugiés syriens s'apprêtaient à passer en Erets Israël. Churchill lui-même avait prêté attention à ce phénomène, à l'époque où il fut mêlé au mandat britannique, dans ses premières années. En 1939, il déclarait: «Non seulement ces réfugiés ne sont pas poursuivis, mais ils parviennent à pénétrer à l'intérieur du pays et à se multiplier.»
"je dénonce la politique israélienne contre le peuple Palestinien, son refus d’appliquer les résolutions de l’ONU, la politique d’instrumentalisation de la peur par les dirigeants sionistes contre les citoyens israéliens."
Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine (ou plus exactement de ce qui restait de la Palestine, une partie ayant déjà été séparée afin de constituer la Transjordanie) élaboré par l'UNSCOP est approuvé par l'Assemblée Générale de l'ONU, à New York (résolution 181 de l'assemblée générale).
Le Yishouv accepta sans condition le plan de partage tandis que les autorités des pays arabes voisins rejetèrent ce plan. La conséquence immédiate en fut le déclenchement d'une guerre civile en Palestine suivie de la guerre israélo-arabe de 1948.
Laissons "Jimmy Carter" de coté et essayons d’analyser ensemble cet article paru dans le The Guardian du Tuesday 7 February 2006
Brothers in arms - Israel's secret pact with Pretoria; par Chris McGreal
http://www.guardian.co.uk/world/2006/feb/07/southafrica.israel
Israelis claim that they are the chosen people, the elect of God, and find a biblical justification for their racism and Zionist exclusivity," says Ronnie Kasrils, South Africa's intelligence minister and Jewish co-author of a petition that was circulated amongst South African Jewry protesting at the Israeli occupation of Palestinian territory.
"This is just like the Afrikaners of apartheid South Africa, who also had the biblical notion that the land was their God-given right. Like the Zionists who claimed that Palestine in the 1940s was 'a land without people for a people without land', so the Afrikaner settlers spread the myth that there were no black people in South Africa when they first settled in the 17th century. They conquered by force of arms and terror and the provocation of a series of bloody colonial wars of conquest."
Ou cet autre article qui se base sur une étude académique
Israel pratique l’apartheid et le colonialisme: Étude sud-africaine
(qui connaît parfaitement les pratiques d’apartheid)
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=14175
« mais que connais tu vraiment de ce que tu crois ? » je n’ai jamais lu pareil bêtise, tu as aussi écris : « tu continues a voir en lui (Israel) qu une pure coïncidence » je te défie de me citer.
Ma conviction est la suivante, le sionisme a emplit sa mission, Israel est un état reconnu par l’ONU et par plusieurs de ses membres, sur le plan du droit international, il va falloir qu’il définisse ses frontières pour délimiter son territoire, pour cela il faut qu’il évacue, 1) les ferme de Chabaa au Liban, 2) le Golan appartenant à la Syrie, et enfin 3) les territoires palestiniens conquis en 67. A moins qu’Israel fasse valoir son « droit de conquête » et refuse de restituer ces territoires, là c’est une autre histoire…