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Blog : LessakeleLes Américains contre la transaction pour Guilad Shalit ? Une nouvelle information qui, si, malheureusement, elle s'avérait exacte, démontrerait à nouveau le cynisme total de l'Administration Obama, face à l'enjeu d'une vie juive, préférant continuer de s'obnubiler face à une tête de mule telle que Abbas et ses refus perpétuels nés de son idéologie [...] 7 commentaires
| Membre Juif.org
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bien sûr que l'on ne demanderait pas mieux que de faire cet échange monstrueux, quant à Abbas, franchement, il est déjà tellement faible, que je ne sais pas si on peut l'affaiblir encore plus et sincèrement, je m'en f..... car il ne vaut pas mieux que les autres!!! je pensais qu' Obama s'inquiéterait plutôt des dégâts que peuvent causer tant de tueurs remis en liberté, mais non, sa seule préoccupation c'est de renforcer Abbas!!! ma parole, c'est une idée fixe !! mais vraiment qu'est ce que c'est que ce type!!!!!!!!
Tout comme, sur un autre théâtre, il était prêt à passer l'éponge sur les trucages électoraux et la répression contre les protestataires en Iran, pourvu que les combinazzione qu'il avait prévues, faute de pouvoir se déployer avec ses compères locaux, les Moussavi et les Rafsandjani, s'accomplissent tout de même, vaille que vaille, avec Ahmadinejad ...
C'est-à-dire qu'il ( Hussein Obama ) est prêt à tout pour sauver les fictions, fort déconfites et malmenées, de sa politique internationale, laquelle se révèle et va se révéler de plus en plus clairement comme un échec de A à Z.
Bonjour Edmond, oui, Hussein Obama a tout de suite annoncé la couleur, effectivement , en donnant la primeur de son appel de tout nouveau Président à Abbas le pleurnicheur, ainsi, dés ce moment, il n'y avait sans doute plus d'illusions à se faire, surtout après son discours du Caire, sa courbette au Roi d'Arabie et son idée fixe concernant les implantations!! en ce qui concerne la libération de ce pauvre Gilad Shalit, je vois simplement que Hamas continue à faire tourner Israël en bourrique et surtout à fendre le coeur de ses pauvres parents!!! que peut on croire exactement de ce qu'ils racontent, ils veulent faire sortir des prisons, les pires des tueurs et ils sont intaitables!! alors, je me demande, hélas, si VRAIMENT, ils laisseront sortir ce pauvre garçon et j'avoue que je ne serai tranquille que lorsque je le verrai, vivant, fouler le sol de son pays et rejoindre sa famille. Je me méfie terriblement de ces salauds qui n'ont guère envie de voir une explosion de joie en Israël .
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2009/11/25/005-Pelrinage-Mecque.shtml
Différents médias rapportaient qu’il ferait connaître ses intentions le mardi 1e décembre.
L’Administration divisée
M. Obama lui-même s’est contenté hier de dire qu’il dévoilerait ses intentions « sous peu », après la grande fête familiale de Thanksgiving, demain.
Il doit dire s’il accède à la demande de son commandant sur le terrain, le général Stanley McChrystal. Devant la dégradation de la situation afghane, celui-ci recommanderait de déployer environ 40 000 soldats américains en plus des 68 000 déjà sur place. L’envoi de renforts est l’hypothèse la plus communément envisagée, la question étant de savoir combien. La Maison Blanche s’est contentée jusqu’alors de dire qu’il n’était pas question de réduire les effectifs.
M. Obama n’a pas fourni d’indice quand il est apparu devant les journalistes au côté du Premier ministre indien Manmohan Singh à la Maison Blanche.
« Après huit années (de conflit en Afghanistan), au cours desquelles nous n’avons eu, à mon avis, ni les ressources ni la stratégie nécessaires pour finir le boulot, j’ai l’intention de le finir », a-t-il déclaré.
Il n’a pas dit avec quels effectifs, quel argent, dans quel délai ni avec quelle stratégie, énonçant seulement des objectifs (l’annihilition des réseaux d’Al-Qaïda et de leurs alliés ; la responsabilisation des forces de sécurité afghanes); et des moyens (une stratégie « globale » avec des composantes civiles et diplomatiques, ainsi que la participation des partenaires des Etats-Unis à l’effort).
M. Obama a indiqué qu’il allait maintenant discuter de leurs « obligations » avec les partenaires des Etats-Unis, qui répugnent souvent à s’engager davantage.