Publié sur Actu.co.il
Un jeune Israélien étudiant dans une Yeshiva très réputée à l'étranger vient de perdre la vie après avoir bu de façon exagérée pour la fête de Pourim. Ses parents préfèrent que le
nom de la Yeshiva et le pays ne soient pas divulgués.
Ce jeune homme avait vidé une bouteille entière de Whisky puis s'était endormi dans son lit. Le lendemain matin, ses camarades découvrant la tragédie ont immédiatement alerté la direction de
l'institution. Une équipe de secours fut dépêchée immédiatement sur les lieux et fixa la mort du jeune homme.
La police a mené enquête et a fixé que la cause du décès était une intoxication par alcool.
La famille sous le choc a fait rapatrier le corps du malheureux défunt pour l'inhumer aujourd'hui, jeudi 4 mars, en Israël.
Les jeunes hommes étudiants dans des institutions toraniques se font remarquer en général par un comportement très réservé, dont l'alcoolisme et la beuverie sont aux antipodes. Cette image
se transforme du tout au tout lors de la fête de Pourim où la coutume veut qu'il soit bon ton de s'enivrer de façon exceptionnelle.
Ceci afin de faire ressortir l'authentique dimension, l'intériorité de l'Homme d'Israel ? le terme pour dire le vin en hébreu ayant la même valeur numérique que le mot pour dire secret. Cet
enseignement consiste à dire que lorsque rentre le vin, le secret le plus intime ressort.
En l'occurrence, le secret de l'Homme authentiquement fraternel sans aucune cloison pour le séparer de ses semblables par lesquels il peut vraiment donner libre cours à sa générosité la plus
désintéressées et à faire rejaillir son moi le plus vrai, le plus pur.
Or il n'est pas rare que lors de ces saouleries réputées pieuses, le spectacle de ces jeunes garçons rejoint la quasi-déchéance, au bord de l'indécence. Certains ivres morts, supportant mal
l'alcool vomissent et deviennent « malades comme des chiens ».
Pour d'autres, dont le comportement est en général exemplaire et irréprochable, cela se traduit par une attitude au bord de la vulgarité, des vociférations allant jusqu'a des insultes et des
insanités. Parfois, c'est rare il est vrai, cela dégénère sans aucune raison en bagarres de poivrots.
Quand on s'indigne de cela, on nous rétorque que la Halakha, la loi juive recommande de boire jusqu'à ne plus faire la différence entre Haman, le programmateur de l'extermination des Juifs
dans l'Empire perse, et Mardochée, le Grand Sage du peuple juif alors en exil qui en avait déjoué le plan satanique avec sa nièce, la Reine Esther.
La question qui se pose: comment les doyens des Yeshivots, les Rabbins qui enseignent à ces jeunes, voient-ils cela' Le tolèrent-ils' Sont-ils entièrement pour, ou tout simplement mitigés'
Comment en assurent-ils le contrôle' Ou bien peut-être que la beuverie de Pourim est tellement ancrée dans les m'urs qu'ils sont dépassés par les évènements'
Un grand juste qui était un grand Sage, un grand décisionnaire de la Halakha, a exprimé sa profonde désapprobation pour cette pratique de saoulerie de Pourim. Il s'agit du Grand Rabbin
Yossef Messas Zatsal, décédé en 1975. Ancien Président du Tribunal rabbinique de la troisième ville d'Israel, Haïfa, et avant cela, Président du Tribunal rabbinique de la prestigieuse
communauté juive de Mekhnès au Maroc où il était né et avait grandi.
Auparavant, avant la Seconde Guerre mondiale, il avait été envoyé à Tlemcen en Algérie où pour y ministrer comme Grand Rabbin. Sioniste passionné, ses écrits aussi bien dans la poésie
liturgique, dans l'exégèse que dans les Responsa font autorité jusqu'à nos jours dans les cercles des érudits de la Torah. Il est à signaler que l'ancien Grand Rabbin de Jérusalem,
le Rav Shalom Messas zatsal, décédé en 2002, était son cousin.
Pour le Grand Rabbin Yossef Messas, il n'est point recommandable de boire exagérément pour Pourim. Boire très modérement en fonction des capacités de chacun pour être joyeux, mais pas plus.
Pour ce grand sage, ce phénomène de déchéance par l'alcool procédait de tendances barbares étrangères à la sagesse et la rectitude d'Israel.
Sur ce point, il serait intéressant de connaitre l'opinion toranique des grands décisionnaires contemporains. Combien peut-on boire à Pourim afin de s'introduire dans cette atmosphère « sans
façon » et bonne enfant sans toutefois tomber dans la beuverie délurrée' Et ceci sans faire abstraction du phénomène plus général de l'alcoolisme au sein d'une partie de la jeunesse de notre
pays, fléau nouveau encore totalement inconnu en Israel ne serait-ce qu'il y a 10 ans.
par Meir Ben-Hayoun
Apres le deces la police a fait une enquete ont fait venir des specialiste et ont analiser le sang, il ne restait plus un seule pourcentage d'alcool, alors dire que les cause du deces sont l'alcool c'est du menssonge.
2- il n'avait bu que 2-3 verre de vin. le soir meme apres avoir vomie, il est aller prendre une douche sans dificulter, ceux qui veut dire que le vin etait deja passer.
3- selon les medecins les cause probables du deces sont une malformation d'une artere au niveau du cerveau ou coeur, il deceder dans sont somail sans avoir eu la moindre soufrance, il y 'avait avec lui dans la chambre 2 autre amis qui n'ont rien remarquer.
Pour terminer ce garcons etait particulierement erudit il etait l'eleve le plus assidue de la Yechiva la veille de pourim il a ecrit un poeme dans lequel il citait les phrase de Yom Kippour "mi bekitso oumi lo bekitso" qui mourra en son temp et qui mourra prematurement, pourim kipourim le jour du jugement final sera aujourdhui a Pourim.
il a fini en demendant pardon a tout le monde....
Soit mes amis au lieu de chercher a trouver une raison logique et remmetre la faute faussement sur quiquonque, vous ferez mieux de prendre un peux de emounna et de voir que tout viens de D... et quoique l'on fasse se qui est decider dans le ciel s'accomplie meme sans raison logique.
Ce garcon a fini sa mission sur terre il va rejoindre les plus grand du peuple juif. car il n'y a pas de doute sa nechama etait particuliere.
Que Hachem puisse consoler ses
que nous puissions faire techouva et prendre du moussar pour avancer dans le chemin de la torah.
amen