Blog : Balagan

Alors que les européens protestaient contre l'exécution d'un criminel au Texas, le gouverneur du Texas leur a adressé la réponse suivante:
Il y a deux cent trente ans, nos ancêtres ont combattu pour se libérer du joug d'un monarque européen et gagner la liberté de l'autodétermination. Les Texans ont décidé il y a longtemps que la peine de mort était un châtiment juste et approprié pour les crimes les plus horribles commis contre nos citoyens. Bien que nous respections nos amis en Europe, saluons leurs investissements dans notre Etat et apprécions leur intérêt pour nos lois, les Texans arrivent très bien à gouverner leur Etat. J'aimerais vraiment entendre les officiels israéliens tenir des discours de ce genre en réponse aux protestations immondes lancées par ces europédales abjects à chaque fois qu'Israël se défend réellement contre les arabes.

Une réponse israélienne appropriée et parfaitement proportionnée pourrait être:

Il y a soixante ans, nos ancêtres ont combattu pour se libérer du joug d'un monarque européen (descendant de celui qui faisait chier les américains il y a 230 ans) et gagner la liberté de l'autodétermination. Les Israéliens ont décidé il y a longtemps que la liquidation était un châtiment trop doux et trop humain pour TOUS les crimes horribles commis contre nos citoyens par la religion de paix. Bien que nous méprisions fondamentalement nos "amis" en Eurabia, saluons leurs investissements dans notre Etat et nous contrefoutons de leur intérêt pour nos lois, les Israéliens arrivent très bien à gouverner leur Etat surtout quand Olmert et la gauche ne sont pas au pouvoir.

Il ne faut surtout pas croire que le prétendu "humanisme" européen est simplement de la bêtise, il est une forme de néo-colonialisme de la part de pays qui ont perdu leur puissance et espèrent pouvoir dominer les autres pays en se posant en arbitres des "élegances". Israël n'a pas besoin de l'Europe et n'a pas besoin de les écouter.

A noter les dernières paroles du condamné à mort:
C'est le destin. C'est la vie. C'est quelque chose qu'Allah voulait que je fasse [assassiner une vendeuse pendant un braquage]. (...) Je ne vous en veux pas. Quand j'aurai passé les portes du paradis, je vous attendrai. S'il vous plaît, pardonnez-moi.