Blog : Drzz

 

La Fondation France ?Israël (Alliance Général K'nig) annonce l'organisation d'une Conférence-débat,  le Jeudi  24 juin 2010, animé par Maître Gilles-William GOLDNADEL, président de la Fondation France-Israël. La conférence portera sur l'Actualité du Proche-Orient, notamment autour de « L'affaire de la flottille » prétendument humanitaire, et sera suivie d'un débat autour de la supercherie  « Jcall ».

 

La Fondation France Israël rempli une mission d'intérêt général, en rassemblant toutes les composantes de la société française et israélienne aux fins de défendre, promouvoir et entretenir l'Amitié entre le Peuple de France et le Peuple d'Israël. Elle regroupe des personnalités, des hommes et des femmes de toutes tendances politiques, religieuses ou philosophiques.

 

La Fondation France-Israël joue un rôle important pour faire connaître les vérités d'Israël et, en même temps, lutter contre l'entreprise de délégitimation, qui fait de la seule démocratie Proche Orientale un coupable permanent, surtout après les évènements récents.

 

Le mot d'ordre de France-Israël est donc : « Quand nous défendons la France nous défendons Israël, et quand nous défendons Israël nous défendons la France »

 

France-Israël agit depuis des années pour défendre l'image d'Israël, bafouée par les islamo-fascistes et leurs complices occidentaux.  Elle s'efforce d'agir sur les médias, les décideurs, ainsi que sur l'ensemble de l'opinion française, bernée par la propagande pro palestinienne. La fondation tient  un langage différent du langage officiel et échappe aux modes.

 

L'indécence des déclarations du ministre français des Affaires Etrangères, Bernard Kouchner, qui a parlé « des conséquences tragiques de l'assaut de Tsahal » et  « que rien ne pouvait justifier une telle violence » suite à l'arraisonnement de  la Flottille des terroristes turcs, le 31 mai dernier, a montré combien la position du Quai d'Orsay est biaisée quant il s'agit de parler de la seule armée sous commandement d'un gouvernement démocratique dans la région. Le président Nicolas Sarkozy a même accusé Israël « d'usage disproportionné de la force » !

 

Ces accusations de « violence injustifiée », et  de « disproportion » sont choquantes car elles justifient de retenir le bras de celui qui tente de protéger sa population d'un interminable calvaire, et de protéger son pays, sa nation, d'une coalition abominable qui conjugue ses efforts éradicateurs depuis plus d'une soixantaine d'années.

 

Cette position extrême des autorités françaises, et ne parlons pas des médias France-Arabia qui sont les portes paroles des propagandistes islamistes, n'est pas courante parmi les nations civilisées. Elle contraste singulièrement avec celle des principaux pays occidentaux. En témoignent la position du  président des Etats-Unis, Barack Obama, qui a refusé de condamner l'arraisonnement par Israël de la flottille. "Il existe une situation dans laquelle Israël éprouve des inquiétudes légitimes lorsque des missiles pleuvent sur ses villes le long de la frontière avec Gaza", a rappelé le président.

 

Le porte-parole de la Maison Blanche, Robert Gibbs, s'était abstenu de condamner le raid.

 

L'Italie a elle aussi considéré la flottille pour Gaza comme une provocation à l'égard d'Israël. Le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères italien, Alfredo Mantica, a indiqué que la flotte pour Gaza était une provocation destinée à vérifier la réaction israélienne. Il a déclaré ?Penser que tout se passerait sans réaction israélienne c'est de la naïveté. Quelqu'un voulait vérifier la force de la réaction israélienne?.

 

L'« Appel à la raison  », orchestré par des philosophes et intellectuels européens (et signé notamment par l'écrivain Bernard-Henri Levy et le philosophe Alain Finkielkraut) a aussi montré combien certaines  élites françaises sont idéologiquement manipulées. Ces nouveaux détracteurs de l'état hébreu ont préféré la célébrité durant une période où la déligitimation de l'Etat d'Israël menace son existence. Cette nouvelle organisation « Jcall » chercher à faire douter l'opinion publique de la moralité d'Israël. JCall appelle à la cessation de l'appui automatique aux décisions israéliennes, et elle publie une pétition pour l'interruption des constructions dans la capitale israélienne et en Judée Samarie (deux lieux incontestables de la civilisation juive)

 

Les vrais amis d'Israël  (pas les manipulateurs de « JCall » ni leurs émissaires) sont donc invités à prendre part le 24 juin prochain au débat animé par maître Gilles-William Goldandel sur toutes ces questions.

 

L'avenir et la sécurité d'Israël devraient concerner tous les êtres humains attachés à la démocratie, aux droits humains, à la liberté et à la dignité.

 

 Ftouh Souhail, Tunis