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Blog : Drzz

BARACK HUSSEIN OBAMA N'EST PAS MUSULMAN : TOUTES LES PREUVES - par Guy Millière

 

Je pense, au moment où  le « processus de paix » va reprendre, utile de redire de la manière la plus nette que non, Barack Obama n'est pas musulman, et d'en donner les preuves. Il y aura tout juste trois musulmans invités à participer, Hosni Moubarak, dictateur égyptien, Abdallah II, roi du premier Etat palestinien appelé Jordanie, et Mahmoud Abbas, président de l'Autorité Palestinienne, censée devenir le deuxième Etat palestinien. Aucun dirigeant du troisième Etat palestinien, le Hamastan de Gaza ne sera présent. Barack Obama sera neutre et impartial : d'autant plus neutre et impartial qu'il n'est, je le répète une fois encore, pas musulman et n'a aucune raison, à la différence des trois musulmans invités, de considérer qu'Israël fait partie du territoire de l'islam et doit disparaître.


On peut d'ailleurs trouver étrange, au vu des preuves dont on dispose, que plus de vingt pour cent d'Américains pensent que Barack Obama est musulman. C'est sans aucun doute qu'ils sont bêtes et qu'ils ont l'esprit mal tourné.


Aux fins que plus personne n'ait le moindre doute à ce sujet, j'ai rassemblé ici quasiment tous les éléments :


-Barack Hussein Obama Junior (c'est son nom complet) est le fils de Barack Hussein Obama Senior, musulman kenyan. L'islam stipulant qu'un enfant de père musulman est musulman, c'est un élément fondamental. Obama n'est pas né musulman. C'est évident, non ?


-Barack Hussein Obama Senior étant rentré au Kenya faire des enfants à deux ou trois autres femmes comme sa religion l'y autorisait, la maman de Barack Hussein Obama Junior a divorcé et pris un second mari, musulman lui aussi, Lolo Soetoro, et est partie vivre en Indonésie quatre années pendant lesquelles le petit Barack a été inscrit à l'école sous le nom de Barry Soetoro, de confession musulmane, et a fréquenté une école coranique wahhabite. Obama n'a pas reçu la moindre éducation musulmane. C'est évident, une fois encore.


-Pendant ses années d'études à Columbia, Barack partageait l'appartement d'un jeune pakistanais très pieux, et il s'est rendu en vacances au Pakistan en compagnie de son ami pakistanais, qui allait dans une madrassa pour s'y perfectionner. Le jeune pakistanais a déclaré que Barack était lui-même très pieux à l'époque. Cela ne prouve strictement rien. On peut être très pieux, vivre en compagnie d'un musulman très pieux, et se rendre au Pakistan en compagnie  de ce musulman très pieux qui va se perfectionner dans une madrassa sans s'intéresser du tout à l'islam. C'est très clair.


-Lorsque Barack reprendra, plus tard, ses études, à Harvard, celles-ci seront financées par le biais d'une levée de fonds effectuée par un certain Khalid Abdullah Tariq al-Mansour, ancien Black Panther converti à l'islam et gestionnaire de fortune de princes saoudiens. On peut être le protégé de Khalid Abdullah Tariq al-Mansour, et être sponsorisé par lui, sans être musulman le moins du monde. Des gens tels que Khalid Abdullah Tariq al-Mansour sont le désintéressement même et aurait sans nul doute, au vu de l'ensemble de ses activités, aidé de la même façon un jeune chrétien évangélique ou un jeune juif. S'il ne l'a jamais fait, c'est que l'occasion ne s'est pas présentée.


-L'église dont Barack sera membre pendant vingt ans sera d'ailleurs une Eglise chrétienne, fondée par un militant de The Nation of Islam dont l'idole n'a cessé d'être Louis Farrakhan, dirigeant de The Nation of Islam avec qui Barack organisera une marche d'un million d'hommes sur Washington au terme de laquelle sera invoqué le nom d'Allah. S'il y a une preuve irréfutable qu'Obama est un bon chrétien, elle est bien là. Et il suffit d'écouter un sermon de Jeremiah Wright pour discerner que c'est un représentant exemplaire de l'esprit du Christ, qu'il n'est pas du tout antisémite, et il suffit de l'entendre parler de Louis Farrakhan pour percevoir immédiatement qu'il n'a rien à voir avec une lecture sectaire du Coran.


-Pendant ces années d'avant la Maison Blanche, Barack aura parmi ses plus proches amis Rashid Khalidi, représentant de l'OLP à Beyrouth, puis aux Etats-Unis, et Ali Abunimah, fondateur d'un blog appelé Electronic Intifada : ceux qui verraient là une relation quelconque avec l'islam ont vraiment des difficultés de compréhension très nettes. Et ceux qui diraient qu'Obama fréquentait à l'époque surtout des truands venus du Proche-Orient comme Tony Rezko ou des terroristes non repentis comme Bill Ayers se tromperaient lourdement, Barack fréquentait aussi Rashid Khalidi et Ali Abunimah. Les mauvaises langues n'ont plus qu'à se taire. Et puis, ni Rashid Khalidi, ni Ali Abunimah ne parlent de l'islam : ils parlent seulement de djihad et de lutte armée, ce qui, avouez-le, n'est pas la même chose.


-Lorsque parvenu à la Maison Blanche, Barack y nommera deux femmes étroitement voilées, l'une pour s'occuper du dialogue avec les religions (notez le pluriel), Dalia Mogahed, l'autre, une convertie appelée Ingrid Mattson pour traiter de questions familiales, ce sera parce qu'elles étaient les plus à même de s'occuper des dossiers qui leur étaient confiés. Lorsqu'il a décidé d'envoyer un ambassadeur plénipotentiaire à l'OCI nommé Rashad Hussain, en soulignant que c'était un hafiz (quelqu'un qui connaît le Coran par c'ur), c'était parce que les Etats-Unis, faute d'en être membre (même s'ils sont un « grand pays musulman » comme dit Barack, ils ne sont pas encore un pays musulman à part entière), devaient se rapprocher fortement de l'Organisation de la Conférence Islamique et qu'un musulman très pieux s'imposait pour cette tâche. Lorsque Barack a nommé Kareem Shora à la tête du Conseil du Département de la Sécurité Intérieure, c'est parce qu'il savait la sécurité intérieure des Etats-Unis serait bien mieux assurée s'il y avait un musulman proche du Council on American Islamic Relations dans cette fonction. Et on peut noter d'ailleurs qu'il n'y a pas eu la moindre tentative d'attentat islamiste aux Etats-Unis depuis que Barack Obama est Président. D'ailleurs la notion d'attentat a disparu du vocabulaire du Department of Homeland Security, la notion d'islamiste aussi. C'est pour cela que, par exemple, la tuerie de Fort Hood n'a pas été un attentat et n'a rien eu d'islamiste. Lorsque Barack a, au même moment, nommé Arif Alikhan, responsable de la coordination politique au même Departement of Homeland Security, c'est pour que la sécurité intérieure soit mieux assurée encore. Et il faut être islamophobe pour ne pas le voir immédiatement.


-Si, dès qu'il a été élu Président, Barack a tenu à faire savoir que son premier coup de téléphone avait été pour son ami Mahmoud Abbas, c'est parce que Mahmoud Abbas est un ami. Et s'il a aussitôt donné un entretien à la chaîne de télévision al Arabiya dans lequel il a déclaré que les Etats-Unis avaient beaucoup à apprendre de l'islam, c'est qu'aucune chaîne américaine n'avait de caméra disponible à ce moment là, et que sur une chaîne musulmane, il faut dire des choses gentilles sur l'islam. C'est ce qu'a expliqué à Barack, John Brennan, responsable du terrorisme (pardon, j'oubliais : des « désastres causés par l'homme ») dans l'administration Obama, quelques minutes avant l'émission, juste après lui avoir parlé d'al Quds, sa ville préférée dans le monde arabe, et de la superbe mosquée al Aqsa.


-Si le discours que Barack a prononcé au mois de juin suivant au Caire contenait des éloges dithyrambiques pour l'islam, et des propos odieux sur Israël, c'est parce que l'un des auteurs du discours était Feisal Abdul Rauf qui, en ce moment cherche à faire construire la mosquée de Ground Zero à New York, et, à l'époque, Barack a cru bien faire en confiant la rédaction de son discours à un homme aussi compétent en matière d'islam. Si Feisal Abdul Rauf a eu ce projet de mosquée à Ground Zero et si Barack a donné son approbation un soir de dîner d'iftar à la Maison Blanche, c'est une absolue coïncidence. Quand à savoir pourquoi le même imam Rauf est « envoyé » du Département d'Etat au Proche-Orient où il en profite pour collecter des fonds pour son projet et pour faire des discours élogieux sur le régime iranien, c'est à Hillary Clinton, Secrétaire d'Etat, qu'il faut le demander, pas à Barack, qui ne connaît pas l'imam Rauf, même s'il l'a employé pour écrire un discours sur l'islam.


Je pourrais allonger encore la liste, mais serait-ce la peine ?  Chacun connaît tout ce que je viens d'écrire. C'est dans tous les journaux français. Tous les jours. On se demande vraiment pourquoi plus d'un Américain sur cinq s'imagine que Barack Hussein Obama Junior est musulman. Ces gens ne sont pas aussi bien informés qu'en France. Ils ne méritent pas d'avoir un Président aussi extraordinaire. Peut-être regardent-ils trop Foxnews ? Ce n'est pas en France qu'on autoriserait une chaîne comme celle-là ! La France est un pays libre ! Et puis, si Barack Hussein Obama était musulman, où serait le problème ? Chacun voit quotidiennement de multiples exemples montrant que l'islam est toujours, partout, sans cesse, une religion de paix. Chacun sait aussi que tout converti à l'islam et toute personne née musulmane appartiennent à une race bien particulière, qui regroupe les musulmans norvégiens blonds aux yeux bleus, les musulmans d'Afrique subsaharienne, les musulmans chinois ou les musulmans arabes, en une race unique la race musulmane. Et c'est pour cela que l'islamophobie est considérée comme un racisme.


En tout cas, il est évident que le dossier du nucléaire iranien et celui de la « paix » au Proche-Orient sont entre de bonnes mains. Un Président qui pensait que les Etats-Unis avaient cinquante-sept Etats, le nombre exact de membres de l'Organisation de la Conférence Islamique est un expert.


Guy Millière

 

Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 26 minutes