|
Blog : Frum MusicYehouda Glantz, histoire d'un sourire musicalOui, cet artiste, c'est d'abord un sourire. Et il est difficile de trouver une photo où ce musicien n'arbore pas un visage rayonnant.Yehouda gagne à être reconnu et consacré. Buenos Aires. Argentine. Un petit garçon de 5 ans enflamme, déjà, ceux qui l'écoutent à la Synagogue Max Nordau. A l'âge de la Bar Mitsva, ses parents lui offrent des cours de musique : Yéhouda opte pour l'accordéon. Le talent du jeune homme fait évidence, les années s'égrainent et il ne fait plus aucun doute que de telles facilités doivent prendre toute leur dimension dans un Conservatoire de Musique Classique. Source: A7Lire la suite! Oui, cet artiste, c'est d'abord un sourire. Et il est difficile de trouver une photo où ce musicien n'arbore pas un visage rayonnant.Yehouda gagne à être reconnu et consacré. Buenos Aires. Argentine. Un petit garçon de 5 ans enflamme, déjà, ceux qui l'écoutent à la Synagogue Max Nordau. A l'âge de la Bar Mitsva, ses parents lui offrent des cours de musique : Yéhouda opte pour l'accordéon. Le talent du jeune homme fait évidence, les années s'égrainent et il ne fait plus aucun doute que de telles facilités doivent prendre toute leur dimension dans un Conservatoire de Musique Classique. Ses facultés ajoutées à sa polyvalence l'amènent à s'initier à huit instruments différents ! Mais l'originalité de Glantz se caractérise par le choix même des dits instruments. Au-delà des guitare, piano, violon somme toutes classiques, son choix se porte également sur des instruments plus exotiques tels que la darbouka, la flute de bambou ou même le charango, ce petit luth des Andes dont la caisse de résonnance est constituée de la carapace d'un animal tropical : le tatou. Il y a dans cette variété, des échos de musiques variées, de tous les univers ethniques et de toutes les cultures. Ce que l'on nomme «musique du monde» mais que l'on peut appeler ici musique des mondes, multiples de l'artiste. Yehouda, fort de cette maîtrise impressionante, commence à se produire sur les scènes de son pays, avant de rejoindre la Terre Promise en 1979. Il est déjà considéré comme un musicien accompli, arrangeant et écrivant ses propres compositions. Parvenu à Yéroushalaïm, il y poursuit son apprentissage et assouvit sa soif de progresser, en intégrant l'Académie de musique de la Ville Sainte. «Il convient de suivre sa pente, pourvu que ce soit en montant» André Gide La musique personnelle de Yehouda Glantz émerge, son style se fait jour. C'est une combinaison, bien plus, une histoire d'amour et d'influences : le classique se marie à l'infinité des sons du monde. C'est ce qui marque son originalité. «Ma musique recèle un message», dit-il, «je sens que le talent dont j'ai bénéficié doit servir à communiquer Simha et Emouna aux gens qui écoutent mes chansons. C'est mon but» Ainsi, une de ses chansons phares Rak Litsok Lachem (simplement crier vers D.ieu) lui a été inspirée après avoir assisté à l'explosion d'une bombe à Mahané Yéhouda, à quelques mètres seulement de son studio d'enregistrement. Car Yehouda et sa femme Hadassa résident à Yéroushalaïm avec leurs 7 enfants. Il se produit régulièrement dans notre pays, mais également aux Etats-Unis, en Europe et jusqu'en Amérique Centrale ou du Sud, où ses concerts font inmanquablement salle comble. Unique : sa musique est unique en ce qu'elle combine en une fusion extraordinaire rythmes latinos, rock énergique hassidique ou soul juive (oui, ça existe !). Le symbole parfait de cette richesse musicale n'est autre que cette incroyable version du standard (à l'origine, des Caraïbes puis devenu un tube des débuts du rock américain) mondialement connu : La Bamba ? en Yidisch ... Il faut écouter ça ! Une autre chanson : Balada para David illustre son amour de la tradition et aborde la grande amitié liant le roi David et Yonathan le fils de Shaoul. D'autres titres, parfois des nigounim hassidiques revus et corrigés, teintés de hard rock, témoignent également de son influence pour la musique de ses origines : l'Argentine. C'est pour cela que les paroles de ses chansons alternent la langue hébraïque et l'espagnol. Yéhouda Glantz respire l'harmonie. Et le paradoxe, qui fait évidence chez lui, est que la diversité de ses créations atteint, étonnamment et presque miraculeusement, à une certaine unité. Certains cherchent toujours cette plénitude. Yéhouda Glantz peut remercier le Ciel : la plénitude l'a trouvé. | Membre Juif.org
Il y a 5 minutes - i24 News
Il y a 6 minutes - Kountrass
18 Juillet 2025 - Le Figaro
17 Juillet 2025 - Le Figaro
11 Juillet 2025 - Le Monde diplomatique
19 Juillet 2025 par Rafael_003
17 Juillet 2025 par Rafael_003
16 Juillet 2025 par Claude_107
16 Juillet 2025 par Rafael_003
14 Juillet 2025 par Claude_107
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 17 minutes