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Blog : Sur l'Autre RiveLes Sept Lois de Noé
Depuis la nuit des temps, l'homme a toujours voulu comprendre le milieu dans lequel il vit.
Le développement du savoir au cours des siècles a permis la découverte d'un monde toujours plus
surprenant.
Il nous a donné un plus grand pouvoir sur les matériaux de construction, nous a permis d'aller plus vite et plus loin, à
percer les mystères de l'univers, les merveilles du corps humain, les miracles de la nature, les travaux d'un informaticien.
Ces 200 dernières années, l'humanité a découvert, inventé et produit plus que dans toutes les annales de
l'histoire.
Nous avons été les témoins de découvertes sensationnelles dans le domaine de la science, de la médecine ou de la
technologie.
Cette prolifération des connaissances n'est pas seulement un événement, mais elle fait partie du processus du développement
historique de l'homme à la recherche de ce qui fait tourner le monde.
Le progrès de la technologie nous oblige à affronter une question existentielle cruciale :
« Qui suis-je ? »
Les buts matériels nous satisfont-ils ? Nous franchissons des étapes à travers lesquelles nous acquérons des biens
matériels de plus en plus importants, mais nous réalisons que notre corps contient une âme qui souffre, et qui cherche ? L'éternelle question nous poursuit : Pourquoi le monde a-t-il été créé ?
Quel est le but de notre existence ?
Le monde recherche la stabilité, la paix et l'unité.
Or toute l'histoire de l'humanité n'est qu'une succession ininterrompue de guerres.
De la première guerre mondiale à la Société des Nations, et de la deuxième guerre mondiale aux Nations Unies, les hommes
ont toujours espéré réduire les centres de conflits sur la planète.
Nous aspirons tous à l'avènement de l'unité et de la stabilité universelle.
Le vingt-et-unième siècle ne parle que de « globalisation » et de « mondialisation ».
L'homme du vingt-et-unième siècle se contente-t-il de ces slogans ? Et pourtant, la solution existe
!
Nous pouvons transformer l'univers en un monde meilleur. Le monde doit devenir une demeure sûre, stable et
prospère.
Cet enjeu est à notre portée, par le respect des 7 lois de Noé :
Le code civil le plus ancien de l'humanité et la charte éternelle des nations.
Le rappel des responsabilités civiles et morales de tous les hommes.
Le guide le plus fiable pour parvenir à l'équilibre mondial et à la paix universelle.
Plusieurs associations internationales se regroupent aujourd'hui autour d'un projet de diffusion d'informations d'intérêt
public, à l'intention de tous les citoyens de tous les états du monde. Cette campagne a pour but de faire connaître les valeurs essentielles léguées à l'humanité, sous le nom des 7 lois de
Noé.
Différents chefs d'états, des présidents, des milliers d'hommes et de femmes y adhèrent déjà. Vous aussi, associez-vous à
tous ceux qui ?uvrent ensemble pour construire un monde meilleur.
L'interdiction de l'idolâtrie
L'interdiction des cultes païens ? La foi en un D-ieu unique
Tout individu se doit de croire en un unique Créateur de l'univers qui créa le monde et les humains, qui connaît les actes et les pensées des créatures, exerce sa providence à leur égard
et juge les humains en fonction de leurs actes.
C'est le D-ieu unique et c'est Lui qu'il convient de servir et Lui qu'il convient de
prier.
L'implication concrète de cette injonction est l'interdiction formelle de se livrer au culte d'une quelconque divinité, de
quelque nature qu'elle soit.
Cette interdiction recouvre également toute foi en un autre être créateur de l'univers.
L'interdiction de blasphémer
Le respect dû à D-ieu
Les humains ont le devoir de révérer le Créateur qui leur a donné la vie ainsi que le monde au sein duquel ils peuvent s'épanouir. Cela implique l'interdiction de prononcer tout blasphème à son
propos ainsi que toute désignation de Lui à caractère injurieux.
L'interdiction de TUER et de se SUICIDER
Le respect de la vie humaine.
Les humains ont été faits à l'image de leur Créateur. Leur vie est un don du Très-haut et nul n'a le droit de la retirer.
Il convient de s'attacher à la perpétuation de l'espèce humaine que D-ieu a investi des moyens d'habiter la terre et de
l'aménager.
Cela implique concrètement l'interdiction formelle de tuer qui que ce soit, y compris l'embryon dans le ventre de sa
mère.
Le meurtre d'une seule personne équivaut au meurtre de l'humanité entière et constitue une atteint au Créateur, à l'image
de qui les humains ont été faits.
L'interdiction du vol
Le respect de la propriété d'autrui
A chacun sont accordés par D-ieu certains biens et certains richesses et nul n'a le droit de l'en déposséder.
L'implication concrète de ce principe est l'interdiction formelle du vol de quelque manière qu'il s'exerce et de toute
forme d'appropriation du bien d'autrui, qu'elle s'effectue par la ruse ou par la force ou de quelque façon illégale.
Cette interdiction recouvre le refus d'un dû ou d'un salaire et l'enlèvement d'une personne humaine quel que soit son
âge.
Le respect de la propriété d'autrui inspire aux humains des actes de charité et de bonté ainsi que le désir de venir en aide à leurs semblables.
L'interdiction des unions immorales
le respect de l'intégrité familiale
Le Créateur façonna initialement l'homme et la femme en une seule entité pour en épanouir par la suite deux existences complémentaires destinées à atteindre conjointement leur
plénitude.
La vie maritale et les règles qui la régissent constituent le fondement de la perpétuation de l'espèce humaine ainsi que de
l'intégrité familiale et sociale.
Cette intégrité se caractérise également par le maintien de valeurs de décence et de pudeur au sein de la vie au
foyer.
L'implication concrète de ce principe est l'interdiction de toute union incestueuse : l'interdiction de toute intimité
entre membres de parenté filiale immédiate, l'interdiction de l'union d'une femme mariée avec tout individu étranger.
L'interdiction des rapports entre mâles ainsi qu'avec des animaux.
L'obligation d'instituer des tribunaux
L'institution d'une justice équitable
Afin que tous les principes exprimés ici puissent prévaloir, il convient que les différentes structures humaines de la société se dotent de tribunaux dont les juges sont investis du devoir de
faire respecter ces principes.
Ces juges sont fondés à punir ceux qui contreviennent à ces devoirs.
Il convient ainsi de ne pas permettre que ne soient pas respectés les principes des « Sept Lois Noah ides ».
Quiconque connaît un litige doit recourir à ces juges et se conformer aux décisions rendues par
eux.
L'interdiction de consommer d'un animal vivant
Le respect des animaux
Le devoir nous est fait de respecter toutes les créatures vivantes dont D-ieu a peuplé le monde.
Contrairement au cas du monde végétal, lequel est en perpétuel renouvellement l'atteinte à la vie animale est
irrémédiable.
Tout en n'interdisant pas de consommer de la viande animale, la Torah fixe des limites précises quant à l'usage que l'homme
peut faire des animaux afin de pourvoir à ses besoins.
L'implication concrète de cette règle est l'interdiction de la consommation d'un animal (ou de l'amputation de l'un de ses
membres) lorsqu'il est encore en vie.
Cette interdiction qui nous invite à ne pas demeurer indifférent à la souffrance des animaux, contribue encore à affermir
notre sensibilité aux souffrances de nos semblables, nous retient de leur porter atteinte et nous incite à soulager leur détresse.
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 16 minutes