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Blog : Europe-IsraelJuppé ne comprend pas grand chose au conflit israélo-palestinien !Décidément Alain Juppé n'entend pas grand chose au conflit israélo-palestinien ! Il se contente stupidement de poursuivre la ligne du Quai d'Orsay anti-israélienne (en accord avec Catherine Ashton antisioniste notoire). Au lieu de vouloir donner des leçons à Israël sur ce qu'il faut faire pour la "paix" (façon Quai d'Orsay = frontières de 1948), il [...] 9 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 51 minutes
Comme le fameux ( et tout-puissant, au MAE ) lobby pro-arabe du Quai d'Orsay, dont il est à la fois membre et l'actuel fondé de pouvoirs, Alain Juppé s'imagine que la France peut mener, tant au Machrek qu'au Maghreb, une " grande politique arabe " qui ferait d'elle, dans ces régions, la puissance arbitrale et même tutélaire ...
En fait, là où, par exemple au Liban, la France disposait d'influence et de leviers, elle a dilapidé celle-ci et de facto livré ceux-ci ( les maronites libanais ). Aujourd'hui, les maronites sont marginalisés au Liban. Et si beaucoup d'entre eux regardent encore vers Paris, c'est comme terre d'asile qu'ils l'envisagent, pour le moment, qui se rapproche, où les chrétiens du Liban, battus au cours d'une guerre civile ( 1975 - 1989 ) présentée par les élites gauchistes françaises ( " Le Monde " notamment ) comme un affrontement entre nantis ( les chrétiens ) et progressistes ( les musulmans et les " Palestiniens ", alliés - la Syrie jouant tantôt les uns, tantôt les autres ... ).
Dans l'affrontement ultime entre perdants ( en 1990 ),, les experts du Quai d'Orsay jouent le cheval perdant ( le général Michel Aoun - qui est aujourd'hui un vassal dévoué et obéissant du Hezbollah ).
Les grands stratèges du lobby ont
depuis longtemps reconstruit la politique française autour de l'appui, diplomatique, financier et politique donné aux " Palestiniens " , jouant notamment - dans la lignée du sauvetage, par les " services " français et le Quai d'Orsay, du Grand Mûfti de Jérusalem , Hadj Amin El-'Husseini, entre 1945 et 1947 - la carte représentée par son neveu, Yasser Arafat, exfiltré de Beyrouth, en 1982, par les services français.
Un temps mis un peu sur la touche par Nicolas Sarkozy, au début de son mandat, et par Bernard Kouchner, qui était l'homme du Fata'h et qu'ils ne contrôlaient pas, les gens du lobby pro-arabe du Quai d'Orsay ont pleinement recouvré la haute main sur la politique française en direction du Proche-Orient, à travers l'éviction, exigée par le 'Hamas ( cf. les incidents de janvier, lors de sa visite à Gaza ) de Mme Michelle Alliot-Marie.
Mais, dès 2009, ce groupe de pression menait sa propre politique en faveur d'une reconnaissance du 'Hamas - politique conduite par des personnalités du Quai comme Jean François-Poncet ou Yves Aubin de la Messuzière.
En termes de gains réels ( marchés, zones d'influence, vente d'équipements et d'armements, etc. ) il n'est pas franchement démontré que la politique pro-arabe de la France et les multiples grenouillages dont elle s'accompagne et qui,, en fait, en constituent l'essentiel, lui apportent beaucoup de succès. Mais les chimères de le " grande politique arabe de la France " continuent de nourrir l'imaginaire de ses
diplomates ...
Il est clair, en particulier, que la France n'a ni les moyens militaires, ni les moyens politiques, de peser sur la scène proche-orientale. Pour ce qui est des moyens militaires, les données géographico-démographiques font que rien n'est possible sans des troupes au sol. Or, la France ne s'est jamais remise des " leçons " sanglantes que la Syrie lui a infligées au Liban dans les années 80 ( assassinat de l'ambassadeur Louis Delamarre ; attentats du " Drakkar " et ... de Paris ... ) et n'est pas prête à replonger des troupes dans le guêpier proche-oriental.
Quant aux moyens politiques, outre le fait qu'une politique qui ne peut s'appuyer sur une menace crédible en termes militaires a peu de chances d'être prise au sérieux, le positionnement à fond la caisse de la France en faveur des " Palestiniens " lui ôte toute perspective d'apparaître jamais comme l'honnête courtier de négociations : le jour où l'hôtel Kléber accueillerait d'éventuels négociateurs, arabes d'un côté, juifs de l'autre, n'est pas près de se lever ...
Donc, le rôle réel de la France est surtout de servir de " drumbeater " aux " Palestiniens " . En dehors de cette fonction ...
"Nous poursuivons des frappes qui ont pour objectif de déstabiliser les capacités militaires de Kadhafi et simultanément nous sommes à la recherche d'une voie pour pousser à une solution politique", a-t-il précisé, ajoutant que la coalition internationale déployée en Libye continuera les frappes aériennes jusqu'à ce qu' elle puisse "neutraliser cette capacité".
Suite à la mort samedi d' un fils de Mouammar Kadhafi dans un bombardement de l'Otan sur la capitale libyenne, Alain Juppé a reconnu un "dommage collatéral", rappelant que la coalition cible "des objectifs militaires à Tripoli".
Interrogé sur un possible risque d' enlisement, le ministre français a assuré qu' "il n'est pas question de s'enliser en Libye" et qu' "il faut que cette intervention militaire ait une fin aussi rapide que possible",
"Au bout de sept semaines on ne peut pas parler d'enlisement, j'espère que cela ne durera pas au-delà de quelques semaines, au plus de quelques mois, mais il est prématuré de parler d'enlisement", a-t-il estimé.
Quant à la date et au lieu d'une "conférence des amis de la Libye", proposée mardi par le président français Nicolas Sarkozy, M. Juppé a fait savoir que des discussions étaient en cours, espérant que la conférence puisse se tenir "dans les semaines qui viennent".
Une intervention militaire aéronavale a été déclenchée en Libye à la mi-mars sur mandat de l' Onu par plusieurs pays, dont la France, pour établir une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye. Depuis le 31 mars, l'ensemble des opérations est conduite par l'Otan