|
Blog : Europe-IsraelVidéo ? Laisser blâmer les Juifs ? Pat Condell Vidéo sous-titrée en français : Pat Condell décrit avec force et conviction la situation des juifs en proie à l'antisémitisme, les mensonges concernant Gaza, l'obsession du Hamas de détruire Israël, la réalité économique et scientifique d'Israël. Un document important. Merci aschlkel.info 12 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 4 heures - i24 News
Il y a 4 heures - Times of Israel
Il y a 4 heures - Le Figaro
Il y a 6 heures - Le Figaro
22 Août 2025 - Futura-Sciences Actualités
14 Août 2025 par Rafael_003
10 Août 2025 par Claude_107
30 Juillet 2025 par Blaise_001
30 Juillet 2025 par Blaise_001
27 Juillet 2025 par Blaise_001
Il y a 4 heures - Le Monde Libre
24 Août 2025 - Le Monde Libre
21 Août 2025 - Torah-Box
21 Août 2025 - Torah-Box
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 51 minutes
Pas tout à fait!
L'idée de jerusalem n'a rien de stupide, sans elle, les juifs ne se seraient pas réunis.
On aurait pu parler de représentation imaginaire, pourtant aprés des millénaires, l'an prochain à jerusalem, est une réalité.
Les juifs se sont réunis.
D'autres ont préfèré un mythe tout aussi légendaire, la croisade, et attendent tj leur réalisation, mais bon avec des méthodes moins catholiques.
Quoi de mieux pour garder raison que de faire état de faits historiques.
Jusqu'à présent je n'ai pas fait allusion à la religion, serais tu mytho?
Il s'agit d'un attachement ancestral.
A yannick j'ai envie de dire que le Judaïsme est bien plus qu'une religion. Apporte-t-il toutes les solutions ? Là n'est pas la question. Toute son importance réside dans sa capacité à se frotter aux questions de tous ordres ce qui fait de lui un formidable réservoir de connaissances. La façon la plus méritante dans la pratique du Judaisme est de se consacrer à son étude... religieusement.
A côté de cela, je dois dire que c'est rafraîchissant au sens agréable du terme de lire les interventions de ceux qui défendent notre cause.
William, le mythe messianique! Je le tiens plus pour une représentation imaginaire. Certes puissante puisque par elle le voeu d´être "l´an prochain à Jérusalem" est après plus d´un millénaire une réalité. Comme quoi, un jour à notre mesure = 400 000 jours à celle du temps, soit 1 000 ans!
Ci-dessous un extrait de texte se rapportant au messainisme juif et qui vous aidera à mieux cerner ma question. ( Il semblerait que l'auteur soit beaucoup plus nuancé et moins lapidaire ) :
"Disons-le clairement : l'Église ne s'attendait pas à une telle éventualité et la renaissance de l'État d'Israël l'a surprise dans sa vision des Lieux saints et du Proche-Orient. Elle s'était habituée [...] à l'idée que le judaïsme n'était plus qu'une religion, que les juifs formaient encore, ici et là des groupes ethniques historico-culturels, mais qu'en tout état de cause, le lien avec la terre d'Israël n'était plus qu'un élément du folklore religieux [...] les chrétiens pensaient que la condition juive était, théologiquement, la condition d'un peuple dispersé [...] Aussi, pour reprendre en compte l'existence juive sur la Terre d'Israël, il fallait que l'Église remette en question cette interprétation théologique, certes jamais officiellement élaborée, mais constamment présente dans les esprits."
On trouve encore, dans l'ouvrage du père Dujardin, ce rappel du refus opposé à Herzl par le cardinal Merry del Val, et surtout par Pie X (24) :
"Nous ne pouvons empêcher les Juifs de se rendre à Jérusalem, mais nous ne pouvons en aucun cas lui accorder notre soutien. Même si elle n'a pas toujours été sainte, la Terre de Jérusalem a été sanctifiée par la vie de Jésus-Christ. En tant que chef de l'Église, je ne peux vous dire autre chose : Les Juifs n'ont pas reconnu notre Seigneur, aussi, nous ne pouvons pas reconnaître le peuple juif."
Optimiste, le père Dujardin estime que le contenu de l'accord fondamental conclu entre le Saint-Siège et l'État d'Israël va plus loin que la nature intrinsèque diplomatique et politique de ce document. Il y décèle «au moins une portée éthique». À l'appui de sa vue personnelle, il se réfère à un communiqué du Comité épiscopal français de décembre 1993, qui «parle de légitimité du retour du peuple juif sur la Terre d'Israël». Mais, de son propre aveu, la conséquence optimiste qu'il en tire ne figure pas dans cet accord fondamental (25) :
"S'ouvre alors une interrogation plus religieuse, que l'accord n'évoque pas, mais qui est en toile de fond. Pendant des siècles, la pensée la plus commune dans l'Église a donné une interprétation religieuse de la dispersion juive, elle y a vu la conséquence d'une faute théologique. Elle a aussi donné de cette dispersion une interprétation morale : une punition permanente pour le peuple juif. Dans ce contexte, l'accord fondamental doit être lu par les Juifs au minimum comme l'assurance que l'Église a enfin « tourné le dos » à cette interprétation tragique et lourde de conséquence [...] elle donne au moins à penser indirectement qu'ayant renoncé à l'interprétation négative, il est légitime, du point de vue éthique, d'y voir la réalisation d'une certaine justice…"