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Blog : Europe-IsraelGaza : Les étranges compagnons de route d'Olivier BesancenotPendant que ses camarades combattaient l’occupation de l’Aéroport Roissy Charles de Gaulle par Tsahal, c’est par Orly qu’Olivier Besancenot est rentré discrètement de son non-voyage à Gaza. Sans doute lassé de refaire quinze fois par jour le tour de la même ile grecque sans jamais entrevoir la Terre Promise, il a préféré quitter le navire, et [...] 4 commentaires
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Voici un article qui est paru sur Israël 7.
La tentative d'envahir l'aéroport de Ben-Gourion, à Lod, a été largement couverte par les médias israéliens, y compris par la télévision et les quelques stations de radio. Ce qui n'a pas été exposé, c'est le motif qui a mobiliser les quelques mille personnes attendues au départ, mais dont la plupart ont préféré renoncer. Pour David Bedein, journaliste et réalisateur, l'idée d'une paix négociée sur la base des frontières du cessez-le-feu de 67 est un leurre entretenu par la presse et la politique.
Alors que les participants à la flottille aérienne, manifestation médiatique contre Israël, retournent peu à peu dans leurs pays respectifs, personne ne sait, si on s'en tient aux informations diffusées par les grands médias israéliens, pour quelle raison précise ils ont effectué le déplacement. Un journaliste et analyste, David Bedein, donne une explication. Les informations, il les a recueillies sur les différents sites de l'étranger. D'autre part, elles ont été consignées par le Centre d'information des renseignements et du terrorisme, organe officiel.
Tout d'abord, cette ruée sur Israël a été organisée par le mouvement arabe Al-Awada, le retour, qui s'est muni de cartes précises pour remettre en question la présence juive non pas en Judée-Samarie, où la partie semble avoir bien avancé pour la cause promue, mais dans le «petit Israël», et tout particulièrement dans des endroits qui sont devenus avec le temps des villes et villages juifs, et ce après la guerre de 48. Cette manifestation vient donc renforcer l'une des exigences les plus inadmissibles pour Israël, à savoir le transfert de quelques millions d'individus parqués dans des réserves à cet effet, les fameux «camps "palestiniens"», afin de submerger la population juive et la supplanter. Selon Bedein, les organisateurs auraient même localisé des descendants d'Arabes ayant vécu en terre d'Israël avant 48 et ayant réussi à échapper à leur condition, pour vivre en Europe, au Canada ou encore aux Etats-Unis. Les manifestations, si l'opération avait réussi à drainer des milliers de participants, auraient donc consisté à manifester non pas de l'autre côté de la ligne verte, mais bien dans les centres de villes comme Lod, Safed, ou encore Jaffa.
Bedein a rappelé au micro d'Aroutz 7 qu'il avait à une certaine époque interviewé le terroriste Yasser Arafat, et qu'i lui avait posé la question suivante: «Est-ce que les Juifs des implantations pourront rester en place si un Etat "palestinien" voit le jour?» Ce dernier lui avait alors répondu: «Je n'ai pas de problème avec les implantations juives. Elles n'ont pas été fondées sur des terres arabes.» Le criminel avait ensuite défini le problème qui, pour lui, consistait dans les «implantations illégales» qui auraient été bâties sur les ruines de villages arabes après 48.
Pour Bedein, la motivation des organisateurs et participants à la manifestation par avion se concentre sur Béer-Cheva et non pas sur Ariel ou Ma'alé Adoumim. De plus, le Fatah et autres organisations disposent de cartes qu'ils ont l'intention de soumettre à l'Onu pour demander en septembre la reconnaissance d'un Etat sur la base des cartes de 1947, après révision de la déclaration Balfour. Selon lui, les frontières de 67 ne les intéressent pas. Avec cette carte, ils s'octroieraient donc le Néguev et la Galilée, perdus en 48 à la suite de l'offensive des pays voisins d'Israël.
Bedein considère que de telles informations sont importantes pour le public israélien, qui pourrait enfin se réveiller pour comprendre quelles sont les véritables intentions de l'AP. Or, il explique que les médias, pour des raisons politiques, ont intérêt à faire croire au public que la paix dépendrait uniquement de la souveraineté et de la présence juive en Judée-Samarie, ou plus précisément dans les régions qui, du Nord au Sud, ont été récupérées par les Israéliens au cours du déroulement de la guerre des Six jours.
«Il faut comprendre ce que fait l'Olp depuis plus de 18 ans. Il s'emploie à éduquer et à convaincre qu'il lutte pour le rapatriement de tous les descendants des Arabes qui vivaient sur la terre d'Israël avant 48. C'est ce qu'ils appellent le droit au retour. Dans deux mois, après les délibérations à l'Onu, il est fort possible que les yeux d'Israël se décillent.»