Blog : JSS News

Menacer,c'est la tactique des faibles ,des musulmans,des derviches de mauvaise foi,ils l'ont dans l'os,ils peuvent foirer dans leurs frocs,on s'en tape,mais Israêl est dans son droit,pas la Turquie,ils se foutent dans des problèmes inutiles,ça va leur tomber sur la râble,ces zigomards,ne peuvent rien,ils râlent ,fulminent ,bien fait!!!

et voila erdogan , la peurau ventre , n accepte pas la decision de l onu de donner raison a israel
concernant le blocus de gaza . . . . mais aujourd hui erdogan annonce la couleur . . . non seulement
il refuse le rapport palmer . . . mais il menace israel de represailles , et veut en decoudre avec israel
allant jusqu a menacer israel a proximote des puits de petrole et de gaz decouverts recemment , sans oublier d occuper la partie orientale de la mediterrannee par des allees et venues de navires de guerre
turcs qui pourraient aider les navires civils voulant briser le blocus de gaza : c est carrement une declaration de guerre de voyous de grands chemins , voulant a tout prix satisfaire les islamistes
turcs qui n acceptent pas d etre pointes du doigt par l onu et par la communaute internationale! !

la turquie va-t-elle , par son comportement de va-en-guerre indecent , etre admise dans l union europeenne?
existe-t-il dans la constitution onusienne des sanctions prevues contre des pays membres qui refuseraient les decisions de l onu ?
et l otan ,que va decider le haut commandement de l otan ,sur ce comportement de voyous de la
turquie?
la turquie a-t-elle compris que l empire ottoman n existe plus ,ou bien croit-t-elle le rescuciter?

Le râble!!!

pas un mot de la france sur le rapport de l'onu,si ce n'est pas du parti pris,j'aimerai savoir a quoi joue juppé et sa troupe de bureaucrates;

La Turquie - Abdullah Gül, Recep Tayyip Erdogan, Ahmet Davutoglu - fait beaucoup de moulinets et brasse beaucoup d'air pour masquer la situation d'échec qui est la sienne. Faisons le bilan

La question de l'entrée dans l'UE a été tranchée en 2005 et avant qu'elle revienne jamais sur le tapis, beaucoup d'eau aura coulé sous les ponts du Bosphore. Le candidat à la présidentielle française qui - de gauche ou de droite - ferait mine de se prononcer pour la réouverture de cette question se suiciderait électoralement. Il en va de même en Allemagne, en Autriche, etc.

Le pan-touranisme est une pure vue de l'esprit. Ni la Russie, ni la Chine, ni l'Inde, ni ... l'Iran ne le permettront jamais.

Alors que reste-t-il à Gül, à Erdogan, à Davutoglu ? - chercher à réactiver la politique qui avait présidé l'an dernier à la sponsorisation d'une flottille vers Gaza : se positionner comme le grand pays protecteur de l'Islâm face à Israël et essayer de capter les sympathies et les énergies du " printemps arabe " .

Mais, concrètement, qu'est-ce que ça peut donner ? - En cas de troisième tentative de flottille, l'an prochain, faire accompagner les pacifisto-pirates par des bâtiments de la marine de guerre turque ?
D'abord, un tel branle-bas de combat aurait probablement des effets dissuasifs sur la masse de la militance eurabe pro-palos, courageuse mais pas téméraire ... Ensuite, outre le fait qu'en cas d'affrontement en haute mer entre Israéliens et Turcs le succès de ceux-ci

(suite)

est rien moins que garanti, une initiative de ce genre à quelques mois de l'élection présidentielle américaine risquerait de se heurter à une opposition des Etats-Unis.

Reste la menace d'aller labourer " les plaines de la mer " entre Chypre et Israël : là où se situent les gisements gaziers off-shore. On peut supposer raisonnablement que la marine israélienne ne se laisserait pas intimider et que, là encore, la VIe Flotte américaine ne laisserait pas le champ libre aux Turcs.

Donc, beaucoup de bruit, de mouvements de menton, de menaces ... pour tenter de dissimuler que la Turquie vient de subir un double échec diplomatique : non seulement Israël ne lui a pas présenté d'excuses ; mais le rapport Palmer, malgré quelques concessions de forme, donne, sur le fond ( le bien-fondé du blocus maritime de Gaza ), raison à Israël.