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Blog : JSS News110 parlementaires français : ?nous nous opposons à la reconnaissance unilatérale palestinienne'Nous, parlementaires français issus de la majorité présidentielle et des rangs de l'opposition, réaffirmons notre engagement en faveur d'une résolution pacifique et négociée du conflit israélo-palestinien reposant sur le principe de deux Etats pour deux peuples. 5 commentaires
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Robert HADJADJ
Villeneuve lès Maguelone
Le 7 septembre 2011
Monsieur le député,
Jérusalem touche le cœur de certaines personnes plus que d’autres ! C’est le cas, des cœurs des Juifs de France.
À l’heure où l’ONU s’apprête à reconnaître un État Palestinien, le collectif d’associations juives françaises, Siona, JForum, BNVCA et Raison Garder, appelle à signer une pétition pour dire ”Oui à Jérusalem, capitale de l’Etat juif et non à une proclamation unilatérale par l’Onu d’un Etat palestinien dans les prétendues frontières de 1967″.
Ces frontières étaient celles de la Judée-Samarie conquises par la légion arabe jordanienne en 1948, au lendemain de l’indépendance d’Israël et du refus arabe de tout plan de partage. Cette conquête fit des arabes de ce territoire et de Jérusalem Est, des citoyens cisjordaniens de la Jordanie, Etat palestinien.
Car, Jérusalem qui est le berceau de la civilisation et de la pensée juive, fut libérée de l’occupation jordanienne, il y a 44 ans pour redevenir la capitale éternelle de l’État d’Israël.
La majorité des Juifs, qui estiment que la ville doit demeurer unifiée sous souveraineté israélienne, sont aujourd’hui inquiets des tentatives palestiniennes qui visent à nouveau à sa division.
Le monde juif se souvient que pendant 19 ans sous l’occupation jordanienne, la vielle ville de Jérusalem est restée fermée aux juifs. La présence juive fut interdite y compris sur les lieux saints du judaïsm
Des profanations de synagogues et de cimetières y ont été rapportées également. Malgré toutes les persécutions subies, le lien des Juifs avec Jérusalem est resté indéfectible.
Jérusalem, la cité de la paix, la capitale unie et éternelle du peuple juif n’avait jamais été la capitale d’aucun autre peuple. Jérusalem fut bâtie par le peuple juif, elle fut la ville des rois d’Israël, de David et du roi Salomon qui choisit d’y abriter le Saint Temple qui s’étendait sur la majeure partie de la superficie de la ville.
Jérusalem fut choisie par le Créateur, D-ieu d’Israël pour y résider parmi son peuple. Point de musulmans ni d’autres religions n’ont de lien aussi particulier avec cette ville et cette terre. Par conséquent, personne ne peut y prétendre en droit, excepté le peuple Juif. N’en déplaise aux nations qui l’ignoreraient, Jérusalem fut, est demeurera la capitale indivisible et éternelle d’Israël.
Dans l’espérance de votre soutien, Je vous prie d’agréer, Monsieur le Député, l’expression de ma chaleureuse considération.
Robert Max HADJADJ (pupille de la Nation)
460 rue des Amandiers 34750 VILLENEUVE-LES-MAGUELONE
Courriel : robert.hadjadj@live.fr
SYLVIE CORBET--, THE ASSOCIATED PRESS
Publié: 19 septembre 2011 11:31
Mis à jour: 19 septembre 2011 11:44
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PARIS - Nicolas Sarkozy s'envole mardi pour trois jours à New York, à l'occasion de l'Assemblée générale des Nations unies. L'agenda est chargé pour le président français, qui part avec l'intention de peser de tout son poids en faveur du déblocage du processus de paix israélo-palestinien.
Parmi les autres gros dossiers au programme du chef de l'Etat figurent la Libye, la préparation du G-20, la crise financière et la sûreté nucléaire.
Dès mardi matin, Nicolas Sarkozy doit s'entretenir avec Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité palestinienne, qui a annoncé vendredi qu'il allait soumettre au Conseil de sécurité de l'ONU une demande d'adhésion d'un Etat palestinien.
Le président français s'adressera mercredi à l'Assemblée générale, aux alentours de 10h30 à New York (16h30 à Paris, 14h30 GMT).
"Notre conviction est que le temps joue contre la paix", souligne un conseiller de l'Elysée. Nicolas Sarkozy "le pense peut-être encore plus fort avec les printemps arabes", parce que les gouvernements démocratiquement élus de la région devront "prendre en compte beaucoup plus fortement leur opinion publique", précise-t-on de même source.
La France souhaite que le Quartette, le groupe composé par les Etats-Unis, la Russie, l'Union européenne et les Nations unies, parvienne à s'accorder sur une déclaration ouvrant la voie à une relance du processus de paix -si possible avant l'ouverture du débat général de l'AG mercredi.
"Nous sommes dans un moment de grande incertitude", reconnaît ce conseiller de l'Elysée. "Si la voie de la négociation est bouchée, (...) la France prendra ses responsabilités".
Une formule énigmatique à dessein: Paris estime qu'il existe plusieurs scénarios possibles, dont l'un consisterait à repousser le vote sur l'Etat palestinien de plusieurs semaines aux Nations unies, pour laisser plus de temps aux négociations.
Lors de son discours devant les ambassadeurs de France, le 31 août dernier, Nicolas Sarkozy avait déclaré: "la seule véritable sécurité, c'est la paix. C'est d'abord par la création de l'Etat palestinien qu'on l'obtiendra. (...) C'est sur cette base que la négociation de paix doit être relancée, et chacune des parties doit comprendre que c'est son intérêt". Le président français a aussi souhaité que les 27 pays de l'Union européenne "s'expriment d'une seule voix".
Les représentants du Quartette se sont réunis dimanche, en présence de Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'ONU, et de l'envoyé spécial pour le Proche-Orient Tony Blair. Une nouvelle rencontre était prévue ce lundi, selon les autorités.
Robert