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Blog : Victor PEREZLes mensonges autour de l'Affaire A-DuraCeux qui lisent le blog de CharlesEnderlin ne peuvent être convaincus que ce journaliste cherche désespérémentà établir la vérité. En réaction à l'arrêt de LaCour de Cassation, qui a annulé la relaxe de Philippe Karsentypour vice de forme, il indique à ses lecteurs sachant lire entre les lignes qu'ilutilisera tous moyens lui permettant de faire obstruction à toute volonté d'établirLA vérité sur l'Affaire A-Dura. Ainsi, nous dit-il, cette Cour « avisiblement voulu envoyer un message : Si quelqu'un veut attaquer et diffamerun journaliste, qu'il ne compte pas sur l'aide d'un tribunal pour cela. Lajustice doit faire preuve d'indépendance ». C'est-à-dire, si l'oncomprend bien, permettre au plaignant qu'il est d'escamoter les rushes à l'analysedes juges de la Cour d'Appel qui doit se réunir de nouveau pourpermettre à la Justice de triompher. Des images qui ont, dans leprécédent verdict, conduit à une relaxe et débouté ce journaliste et sa chaîne. Des prises de vues qui, selonEnderlin, « ne constituent pas le reportage définitif ». Ilsne sont « qu'une suite de séquences (?) pour moins de deux minutesd'images » car « Talal Abou Rahmeh, sous le feu pendant 45minutes, abrité derrière une camionnette blanche bloquée au milieu de la rue,ne pouvait que filmer de courtes séries d'images ». Pour conclure, CharlesEnderlin nous rappelle « que les rushes sont l'équivalent des notesd'un journaliste de la presse écrite. Ce n'est pas l'équivalent d'un procès verbal ». La première réaction à ces affirmationsest la ??tristesse'? de s'apercevoir que son caméraman n'a pu, pendantquarante-cinq minutes sous le feu et face au ??drame'?, filmer la moindre imageattestant du meurtre de l'enfant et la couleur du sang du père. Pas même l'agoniede Mohamed A-Dura pourtant assurée être dans la bobine par l'envoyépermanent à Jérusalem ni, par exemple son évacuation vers l'hôpital leplus proche. Faute à pas de chance probablement ! La seconde observation touche à ladurée des rushes. Au début de la controverse, selon l'envoyé de la chaînepublique elle se montait à vingt-sept minutes. Puis dix-huit minutes, seulement,ont été présenté à la Cour d'Appel et examiné par icelle. Aujourd'hui,forcé par la pression publique, ne subsistent plus que deux minutesconcernant à proprement dit l'Affaire A-Dura. Ces quelques images avaient,apparemment, suffi aux professionnels de France 2 pour diffuser unreportage anti-israélien dont rien ne corroborait la réalité annoncée ! La troisième réflexion s'intéresseaux raisons qui ont poussé le caméraman Talal Abu Rahmeh mais aussi CharlesEnderlin à assurer une durée plus longue alors que les rushes entre leursmains ils savaient qu'ils mentaient ? Le 3 octobre 2000 à Gaza, TalalAbu Rahma avait affirmé de son plein gré et sous serment, face à MaîtreRaji Sourani, avoir filmé 27minutes. La direction de France 2ne les a pas démentis ni excommunié pour autant ! La quatrième réflexion, mais pasla dernière, est de connaître les raisons des mensongers successifs des uns etdes autres mais aussi l'objectif recherché par le refus réitéré d'une commissionindépendante ! Ces quatre simples interrogations,parmi tant d'autres, font passer ceux qui se les posent pour des « conspirationnistes »aux yeux d'Enderlin. Autrement dit et jusqu'à preuve du contraire, pourdes individus doués de bon sens ! | Membre Juif.org
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