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Blog : La Chaîne d'Union

Contes modernes des nuits arabes ...ou Abou Alaa et le serrage de vis

Contes modernes des nuits arabes ...ou Abou Alaa et le serrage de vis

Par Gerald A. Honigman

 

http://www.infoisrael.net/cgi-local/text.pl'source=4/b/viii/071120071

 

Adaptation française de Sentinelle 5768 ©

 


Oubliez Aladin, Ali Baba, Sinbad, & autres, ces merveilleux contes de jadis.

 

Avez-vous entendu parler d’Abou Alaa ?

Eh bien, son histoire commence pour les non Arabes lisant ces contes, quand le dirigeant d’Israël Rabin serra les mains de son cher collègue et ami, Arafat, à l’invitation du Président Clinton.

 

Dans les suites de cette “Paix d’Oslo” des années 1990, Ahmed Quorei’ – alias Abou Alaa – fut l’une des marionnettes en chef d’Arafat. Avant cela, il était juste l’un des conspirateurs du Fatah ou des étripeurs de Juifs… La diplomatie en tant que guerre par d’autres moyens.

 

De façon prévisible, la barbarie répondit à chaque concession unilatérale concrète qu’Israël faisait sous la pression. Un scénario identique allait se tenir un peu plus tard à Camp David et à Taba, quand Clinton, cherchant à sauver sa réputation entachée, fit à Barak, dirigeant d’Israël à cette date, une offre qu’il ne pouvait refuser. Et Barak offrit d’abandonner la « boutique », malgré la fourberie des maîtres en communication arabes de l’époque.

 

Alors qu’Arafat, l’ancien chef macabre égyptien, confirma en refusant les offres de Taba, qu’il ne faisait aucune différence sur la dimension d’Israël, mais qu’Israël est à proprement parler « Le Problème Arabe » - c’est-à-dire, comment les Juifs peuvent-ils oser, après la résurrection de leur minuscule Etat, où ils ont une histoire continue plurimillénaire, ce que les Arabes  pour eux-mêmes, avec près de deux douzaines d’Etats sur plus de 10 millions de km² de territoires, pour la plus grande partie par la conquête et par la force, en arabisant des Peuples non arabes : le fantôme d’Arafat continue de nous hanter aujourd’hui. Taba est désormais le point de départ des Arabes pour des « négociations ». 

 

Selon la vision arabe de la justice, virtuellement la totalité de la région est « purement un patrimoine arabe ». De là les millions de morts, d’apeurés, de soumis parmi les Kurdes, les Coptes, les Berbères, les Soudanais noirs africains, les « kilab yahud » indigènes – chiens de Juifs – et ainsi de suite. Le Dr Boutros Boutros Ghali, Ministre égyptien des affaires étrangères, copte, « Oncle Tom » de l’Egypte de Sadate, le formula ainsi à Israël. Pour le paraphraser : “Si vous voulez être acceptés, vous devez consentir à l’arabisation.

Et cela me ramène au 1002ème conte des nuits arabes

  Une traduction du très respecté Institut de Recherche sur les Media du Moyen-Orient (MEMRI en anglais, Ndt) publié le 3 juillet 2003, traitait d’un entretien avec Abou Alaa. Entre autres choses, on l’interrogea sur le problème qu’avaient es Arabes à voir le mot “Juif” place devant les mots “Etat d’Israël » au sommet qui devait conduire à l’évolution de la présente « feuille de route ». Voici sa réponse

« Quelle est la signification d’un Etat juif ? Disons-nous… Un Etat sunnite…Un Etat Shiite… Un Etat Chrétien ? Ce sont des définitions qui provoqueraient le… désarroi”.


Il n’est pas rare d’entendre des critiques d’Israël, même des universitaires proclament : “Si les Juifs peuvent avoir un Etat, alors pourquoi pas les Catholiques, ou les Protestants, ou les Hindous, ou tels autres ? Ah la Alaa.

Maintena nt, songez à cela une minute…

 

Une personne venant d’Angleterre est anglaise, de Pologne est polonaise, d’Irlande est irlandaise, de Suède est suédoise, du Danemark est danoise, et ainsi de suite.

 

De fait, alors qu’il y a d’autres manières de décrire la nationalité ou l’origine ethnique de quelqu’un (c.a.d. nous ne sommes pas ‘Américanais’), l’addition du suffixe « ais » le mentionne aussi. C’est la façon dont le dictionnaire collégial Webster le définit.

 

Alors qu’en est-il du problème d’Abou Alaa et de ses copains ici ?

C’est très simple en réalité…

 

Si ils admettent que les Juifs constituent un Peuple ou une nation, cela rend le rejet arabe de leur mouvement national, le sionisme, plus difficile à défendre ; c.a.d. comment les Arabes pourraient-ils exiger un 22ème Etat pour eux-mêmes – et un deuxième, un en « Palestine » ( la Jordanie se tailla la part du lion du territoire) tout en refusant le leur aux Juifs ?

 

Quand l’historien romain, Tacite, écrivit ce qui suit dans la lutte juive pour l’indépendance contre leurs conquérants romains impériaux, demandez-vous si le texte se réfère seulement à une religion, ou à un Peuple, qui avait dans le même temps des croyances religieuses. Tacite et d’autres historiens romains contemporains, comme Dio Cassius, ont beaucoup écrit sur le sujet, et je les cite souvent à ceux qui pérorent comme Abou Alaa et ses concitoyens arabes le font…

 

Titus fut nommé par son père pour achever la soumission de la Judée … Il commanda trois légions dans la Judée même… Il leur adjoignit la douzième de Syrie, et la troisième et la vingt-deuxième d’Alexandrie… Parmi ses alliés, on comptait une bande d’Arabes, redoutables par eux-mêmes, et éprouvant à l’égard des Juifs  l’animosité la plus aigre subsistant le plus souvent entre des nations voisines (Vol. II, Book V, les Œuvres de Tacite).

 

Aussi, le conte d’Abou Alaa est la saga actuelle des Arabes niant à tous et à chacun dans « sa » région y compris la plus minuscule portion  de droits qu’ils exigent pour eux-mêmes. C’est ainsi que la campagne Anfal se faisait contre les Kurdes en Irak ; ce que Ismet Cheril Vanly écrivit dans son livre. Le ‘Mein Kampf’ syrien contre les Kurdes (Amsterdam, 1968) ; où en est le génocide arabe au Darfour et au Soudan aujourd’hui, avec le meurtre et l’intimidation des Coptes en Egypte, des Berbères en Afrique du nord, et ce qu’il reste de ‘chiens juifs’ indigènes, sur « leurs » terres [réfugiés sephardim des pays arabes, Ndt]. Ces derniers constituent maintenant la moitié de la population juive d’Israël…Aucun réfugié n’en parle plus jamais.

 

Le 31 octobre 2007, ‘Associated Press’ a écrit sur Abou Alaa – désormais négociateur en chef des Arabes pour une autre tentative du Président américain d’améliorer son héritage historique avant de quitter sa charge, en consentant à la tradition pro-arabe du Département d’Etat de forcer la main des Juifs– « en faisant monter les enjeux » avant la coalition sur le dos des Juifs au sommet de la « Paix » d’Annapolis.

 

Dalia Nammari a écrit :“Quorei a serré les vis mardi dernier” et exigé une date limite spécifiée pour l’établissement d’un Etat palestinien. Nous n’accepterons pas de négociations sans agenda… »

 

La réponse donnée par la porte-parole israélienne était trop typique  du personnel invertébré qui dirige le spectacle à ce stade : “les négociations doivent se tenir derrière des portes closes, et pas à travers les media”.

 

Puisque Olmert et la direction israélienne sont aujourd’hui incapables  de répondre convenablement à Abbas, Quorei et à tous les ‘bons flics’ prétendument arabes (Condi sait aussi fort bien forcer la main  de ces Juifs), laissez-moi vous proposer la réponse israélienne suivante au conte arabe moderne d’Abou Alaa…

Aucune nation n’est contrainte de participer à son propre suicide… bien que la Tchécoslovaquie fût forcée de le faire par ses « amis » à Munich en 1938.

 

Israël n’est pas obligé de se retirer sur les lignes d’armistice imposées par l’ONU en 1949, qui lui confèrent une largeur de 15 km en certains endroits, et une invitation constante à être attaqué. Ces lignes marquent simplement le lieu où les armées arabes d’invasion furent stoppées après la renaissance d’Israël en 1948 sur environ 11 % du Mandat d’origine sur la Palestine de 1920, après l’effondrement de l’Empire Ottoman turc, qui la dirigea au cours des quatre siècles précédents.

 

Après la dernière tentative arabe contre l’existence d’Israël en 1967, la résolution 242 de l’ONU fut très claire à ce sujet. L’interprétation par tous les architectes de son projet final, citant les Présidents Jonhson et Reagan, le secrétaire d’Etat Shulz, et d’autres, comprend très bien cela.

 

Israël devait bénéficier de frontières « sûres et reconnues » - non pas les lignes d’armistice – en échange de tout retrait de territoires qu’il venait d’occuper suite à une guerre défensive, et cela devait se faire dans le contexte de vrais traité de paix, et pas des cessez-le-feu de type « hudna » [trêve sur le mode de la ruse du prophète Mohammed, avec la tribu mecquoise des Abu Quoreish, Ndt]

 

Sans tenir compte des tentatives pro-arabes du Département d’Etat d’enterrer cela avec les années (les mêmes qui étaient aux premières loges lors de la renaissance d’Israël), Israël doit tenir le terrain et exiger que la Judée ne devienne pas de nouveau « judenrein », et rechercher un compromis territorial équitable sur cette « Rive Occidentale ».

 

 De nouveau, les Arabes contrôlent plus des trois-quarts du territoire originel – simplement en Jordanie seulement. Tout Gaza a depuis été rendu aussi – avec des obus de mortier et des roquettes lancées constamment de là-bas contre Israël malgré tout. Cela est arrivé sous l’œil du Fatah autant que du Hamas, pour ceux enclins à excuser les ‘bons flics’. La plus grande partie de la « Rive Occidentale » est aussi maintenant sous contrôle arabe, grâce aux concessions d’Oslo à sens unique.

 

Il n’y aura pas de date fixée pour la création d’un 22ème Etat arabe.

Quand les Arabes se montreront de vrais partenaires pour une vraie paix – pas leurs jeux bien connus de la « hudna » - alors de nouvelles étapes seront franchies vers cet objectif arabe.

Aucune nation ne consentirait à être le partenaire d’une autre dont les livres scolaires, les cartes géographiques, les stations de télévision et de radio, les camps de vacances des enfants, les chefs religieux, et ainsi de suite, appellent inlassablement à la destruction de l’autre « partenaire ». Tout cela était supposé changer à partir d’Oslo. Rien de cela ne se fit. Et Abbas, Abou Alaa, et compagnie, insistent pour inonder le minuscule Israël, après qu’il se soit retiré sur les lignes d’armistice de 1949, avec des millions de jihadistes prétendument réfugiés arabes. Rappelez-vous le problème d’Abou Alaa avec un Etat  juif d’Israël… 

 

Le léopard arabe ne change pas ses tâches sur cette question du « patrimoine purement arabe ».

 

Et il ne le fera pas non plus après Annapolis.

On mettra de nouveau la pression sur les Juifs pour céder aux plans arabes bien connus de destruction par étapes d’après 1967, grâce à leurs amis américains… Munich 2007…

Il faut espérer qu’Israël sortira rapidement de sa stupeur, et aura son propre mot à dire sur la façon dont ce dernier conte des nuits arabes s’achèvera.

 

Source: Article soumis par l’auteur, écrivain agréé par l’IHC (Israël Hasbara Committee)

 

Edité par le bureau de l’IHC, www.infoisrael.net,

 

Publié le 7 Novembre 2007

 


Tales of the Modern Arabian Nights...or, Abu Alaa and the Tightening Screws

By Gerald A. Honigman

Forget Aladdin, Ali Baba, Sinbad, & Co., those wondrous tales of yore.

Have you heard about Abu Alaa'

Well, his story really begins, for those non-Arabians reading these tales, when ’s Rabin shook hands with his dear friend and colleague, Arafat, at President Clinton’s prompting.

During that subsequent 1990s “Oslo Peace,” Ahmed Qurei’--Abu Alaa--was one of Arafat’s chief marionettes. Prior to that, he was just another Fatah plotter or disemboweler of Jews...Diplomacy as war by another means.

Predictably, got non-stop barbarism for each unilateral, concrete concession it was pressured to make. A similar scenario would take place a bit later at Camp David and Taba when Clinton, seeking to salvage his stained reputation, gave ’s Barak an offer he couldn’t refuse. And Barak did offer to give away the store...despite the Arab spin masters’ twist of this today.

While the late Egyptian ghoul, Arafat, confirmed by refusing Taba that it makes no difference how big Israel is, but that Israel is that is the Arab problem--I mean, how dare Jews want in one tiny, resurrected state in which they have thousands of years of continuous history, what Arabs have created almost two-dozen of for themselves on over six-million square miles of territory, mostly by conquering and forcibly Arabizing non-Arab peoples--the ghosts of Arafat and Taba still haunt us today. Taba is now the Arabs’ starting point for “negotiations.”

In the Arab vision of justice, virtually the entire region is “purely Arab patrimony.” Hence the millions of dead, intimidated, subjugated, and so forth Kurds, Copts, Berbers, black African Sudanese, native kilab yahud--Jew dogs--and so forth. Dr. Butros Butros Ghali--’s Sadat’s Uncle Tom Copt Foreign Minister--put it to this way. I’ll paraphrase him: If you want to gain acceptance, you must consent to Arabization.

And that brings me back to the 1002nd Arabian nights tale...

A translation by the highly respected Middle East Media Research Institute (MEMRI) on 3 July 2003 dealt with an interview with Abu Alaa. Among other things, he was asked about the Arabs' problem with having the word "Jewish" placed in front of the words "State of Israel" at the Summit leading up to the evolution of the current Roadmap. Here was his response:

"What is the meaning of a Jewish State' Do we say...Sunni state...Shi'ite state....Christian state' These are definitions that will bring...turmoil."

It is not unusual to hear critics of , even some academics, proclaim, "if Jews can have a state, then why not Catholics, or Protestants, or Hindus, and such'" a la Alaa.

Now think about this for a minute...

Someone from England is English, from Poland is Polish, from Ireland is Irish, from Sweden is Swedish, from Denmark is Danish, and so forth.

Indeed, while there are other ways of describing one's nationality or ethnicity (i.e. we're not Americanish), the addition of the suffix "-ish" denotes this as well. That's how Webster's Collegiate Dictionary primarily defines it.

So what's Abu Alaa's and his buddies' problem here'

It's really very simple...

If they admit that Jews are a nation or a people, it makes Arab rejection of their national movement--Zionism--more difficult to defend; i.e. how could Arabs demand a twenty-second state for themselves--and second, not first, one in “Palestine” (Jordan carved out of the lion’s share of the land) while denying Jews their one'

When the Roman historian, Tacitus, wrote the following amid the Jews’ struggle for independence against their imperial Roman conquerors, ask yourselves if he was only referring to a religion or to a people who coincidentally had specific religious beliefs. Tacitus and other contemporary Roman historians, like Dio Cassius, wrote extensively on this topic, and I quote them frequently to those who babble as Abu Alaa and his fellow Arabs do...

Titus was appointed by his father to complete the subjugation of Judaea... he commanded three legions in Judaea itself... To these he added the twelfth from Syria and the third and twenty-second from Alexandria... amongst his allies were a band of Arabs, formidable in themselves and harboring towards the Jews the bitter animosity usually subsisting between neighboring nations (Vol. II, Book V, The Works of Tacitus)

So, Abu Alaa’s tale is the ongoing saga of Arabs denying anyone and everyone in “their” region even a miniscule portion of the very same rights they demand for themselves. That’s what the Anfal Campaign was against Kurds in Iraq; what Ismet Cherif Vanly wrote about in his book, The Syrian Mein Kampf Against The Kurds, (Amsterdam, 1968); what Arab genocide in Darfur and the Sudan is about today, along with murder and intimidation of Copts in Egypt, Berbers in North Africa, and what’s left of native Jew dogs, in “their “ lands. The latter now make up one-half of ’s Jewish population...the refugees no one ever talks about.

On 31 October 2007, the Associated Press wrote of Abu Alaa--now the Arabs’ chief negotiator at yet another American President’s attempt to improve his legacy before leaving office by consenting to traditional State Department Arabist arm-twisting of Jews--“raising the stakes” prior to the proposed gang-up-on-the Jews “Peace” Summit at Annapolis .

Dalia Nammari wrote...“Queria tightened the screws Tuesday” and demanded a specific deadline for establishing a Palestinian state. “We will not accept negotiations without a timetable...”

The quoted response given by the Israeli spokeswoman was all too typical of the spineless crew now running the show at that end, “negotiations should be held behind closed doors, not through the media.”

Since Olmert and the Israeli leadership are now incapable of responding to Abbas, Querei’ and all the other State Department alleged Arab good cops properly (Condi knows how to twist such Jews’ arms well too), let me propose the following Israeli response to Abu Alaa’s modern Arabian tale...

No nation is obligated to take part in its own suicide...despite what was forced to do by its “friends” via Munich in 1938.

is not obligated to withdraw to the U.N.-imposed 1949 armistice lines, which made it 9-miles wide in parts and a constant invitation to be attacked. Those lines merely marked the point where invading Arab armies were stopped after the rebirth of in 1948 on roughly 11% of the original 1920 Palestinian Mandate created after the collapse of the Ottoman Turkish Empire which ruled it for the previous four centuries.

After the latest Arab attempt on ’s life in 1967, UN Resolution 242 made this quite clear. A reading of all of its final draft architects, quotes from Presidents Johnson and Reagan, Secretary of State Shultz, and others understood this well.

was to get “secure and recognized borders”--not armistice lines--in return for any withdrawal from territories it came to occupy in a defensive war and this was to be done in the context of real peace treaties, not hudna-type ceasefires.

Regardless of State Department Arabist attempts to bury this over the years (the same folks who fought Israel’s very rebirth in the first place), Israel must hold its ground and demand that Judea does not once again become Judenrein, and seek a fair territorial compromise on that “West Bank.”

Again, Arabs are already controlling over three-quarters of the original territory--just in alone. All of Gaza has since been handed over as well--with Arab mortars and rockets constantly launched from there against anyway. This occurred under Fatah’s watch as well as Hamas’, for those bent on excusing the good cops. Much of the “West Bank” is now also under Arab control , courtesy of the one-sided concessions of Oslo .

There will be no timetable for the creation of Arab state # 22.

As Arabs show themselves true partners for a true peace--not their well-known “hudna” games --then more steps can be taken towards that Arab goal.

No nation would consent to being a partner with another whose school textbooks, maps, television and radio stations, children camps, religious leaders, etc. and so forth are unrelenting in calling for the other “partner’s” destruction. All of this was supposed to change as of Oslo . None of it did. And Abbas, Abu Alaa, & Co. insist that they will flood a miniscule Israel, after it withdraws to the ’49 armistice lines, with millions of jihadist alleged Arab refugees. Recall Abu Alaa’s problem with a “Jewish” ...

The Arab leopard does not change its spots on this “purely Arab patrimony” issue.

And it won’t after Annapolis 2007 either.

The Jews will once again be pressured to cave in to the Arabs’ well-known, post-‘67 destruction in stages plans, courtesy of their American friends... Munich 2007...

Hopefully, will quickly snap out of its stupor and have its own say at how this latest tale of the Arabian Nights will end.

 


Source: Article submitted by the author, an IHC Featured Writer
Edited by IHC staff, www.infoisrael.net,

 

Published 7 November 2007

 

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Dernière mise à jour, il y a 58 minutes