Blog : Balagan

Le soleil ne se couchait jamais sur l'empire britannique, la lumière devait empêcher les anglais de dormir ce qui explique pourquoi ils sont aujourd'hui si fatigués comme l'a démontré l'ignominieux comportement de leurs marins capturés sans se battre par les iraniens.

Quoiqu'il en soit, le déclin continue de plus belle puisque leur ministre des affaires étrangères, Margaret Beckett, vient d'avoir l'idée la plus con des ces dix dernières années: elle propose de résoudre le problème nucléaire en créant un monde dénucléarisé et d'ailleurs pour donner l'exemple, le Royaume-Uni a déjà réduit son arsenal atomique de 20%.

Je sais de source sure que l' "idée" de Maggie a reçu un soutien enthousiaste des sept nains, des trois petits cochons et de Cendrillon. En même temps, c'est encourageant pour Israël parce que même les prix Nobel de connerie comme Shimon Peres n'ont jamais été jusque là.

On en vient à regretter l'autre Maggie, Thatcher, qui était elle dotée de ce pragmatisme britannique si typique et qui en bonne Tory aurait chercher à minimiser la dépense publique.

En effet, pourquoi se lancer dans un processus long et coûteux de négociation puis dans un coûteux processus de démantèlement des ogives alors qu'il y a une solution plus simple et moins onéreuse: se débarrasser du surplus d'ogives en les balançant sur le monde musulman'

De cette manière, on règlerait à peu de frais différents problèmes en seule fois:
1) Les armes seraient détruites définitivement,
2) Le problème du jihad serait réglé pour un moment,
3) Le problème du global warming serait aussi réglé grâce à l'hiver nucléaire.

Maggie Thatcher avait dit à l'ignoble Yaqub Ibn Shiraq, I want money back. Moi je dis à l'autre Maggie: I want my Brits back.

Les égyptiens ont d'ailleurs lancé une initiative dans ce sens puisqu'ils veulent poursuivre Israël au prétexte que l'hôtel King David de Jérusalem leur appartiendrait. Emmener Maggie au King David lui rappelerait sans doute le bon vieux temps quand les anglais étaient encore des anglais et quand la droite israélienne savait y faire avec les ennemis d'Israël.