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Blog : Torah-BoxHalakha : Les Séli'hot au mois d'Eloul (partie 2)![]() Qui est apte à officier durant les Séli’hot ? Un officiant se doit d'être propre de toute transgression, humble, voulu par l'assemblée, doit savoir se taire lorsqu'on l'offense et avoir une voix entraînante. Si une telle personne ne peut être trouvée dans l'assemblée, on choisira la personne la plus pieuse, celle qui est connue pour sa sagesse et ses bonnes actions. Il ne faut pas uniquement prendre en compte le critère de la voix entraînante, en laissant le reste de côté. Il est clair qu'il est préférable de choisir une personne versée dans l'étude de la Torah, bien qu'elle n’ait pas une aussi belle voix qu'une autre, non érudite. (Pour lire la partie 1 sur les Séli'hot, cliquez-ici) Le but des Séli’hot L'essentiel des Séli’hot se situe dans le cœur, la concentration, la tranquillité, la circonspection et l'acceptation du joug divin. Car les supplications peuvent être d'une portée inouïe. En effet, un cœur brisé n'est jamais dénigré par E-lohim (autre Nom d'Hachem). Il y a lieu de faire attention à ne pas prononcer les Séli’hot dans la hâte. Lorsque nous réciterons le Vidouïe, ainsi que les Séli’hot, on aura soin de scruter nos actes et revenir à la Téchouva complète. Il est conseillé également d'augmenter nos bonnes actions, à l'approche du jour du jugement, car en ce jour les bonnes, comme les mauvaises actions sont sondées pour tout homme. Il y a une bonne coutume consistant à sonner du Chofar (en émettant le son de type Tachr“at), lorsque nous évoquons les Treize attributs de miséricorde. De même, il est bon de sonner du Chofar après le demi-Kaddich, à la fin des Séli’hot en faisant entendre les sons Tachr“at, Tach“at, Tar“at. Cependant, si la sonnerie réveille des voisins ayant des enfants en bas âge, on ne sonnera pas. Un langage juste Il y a lieu d'être rigoureux sur la prononciation des lettres et mots des Séli’hot. Ainsi lorsque nous récitons « Hachem mélekh », la mélodie doit être accentuée sur la lettre ? (mem) tandis que pour « Hachem malakh », la mélodie doit être accentuée sur la lettre ? (lamed). De même, lorsque nous prononçons Le Nom A-donaï, la mélodie se trouve sur la lettre ? (noun) et non sur la lettre ? (dalet). De plus, il faut prêter attention à la prononciation des chéva na’a et chéva na’h (voyelles s'entendant différemment, bien que symbolisées par le même signe « : » sous la consonne). Nos Maîtres prêtaient beaucoup d'attention, lors de la prononciation de « Vaya’avor Hachem al panav…», de faire une courte pause entre les deux mots « Hachem, Hachem […] » [ce qui renferme un secret profond. Et celui qui ne marque pas de pause entraîne sur lui des sanctions, Hachem nous en préserve.] Lorsque nous prononcerons « Hachem | Hachem […]», on inclinera un peu son corps, [tel qu'il est écrit dans la Torah après la mention des Treize attributs : « Et Moché se dépêcha et se prosterna jusqu'au sol »]. On récitera les Treize attributs à haute voix. [Tel que Moché Rabbénou les dit à haute voix] (Pirké de Rabbi Eliezer) Les différentes versions Les personnes récitant les Séli’hot, le soir, après minuit, auront soin, lorsqu'ils arriveront au passage « Etvadei ‘al ‘avérot kalot va’hamourot », de dire « Balaïla bétokh achmourot » et non « Balaïla lé sof achmourot ». « Atanou lévakech mimékha kapara, ayom vénora misgav lé’itot batsara » : à cause de la mélodie, les gens ont pris l'habitude de prononcer les mots kapara et batsaraavec un accent tonique en début de mot, alors qu'il se situe au milieu.
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