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Blog : La Chaîne d'Unionun livre, Petit frère d'Eric Zemmour.Des colloques et des conférences pour nos amis parisiens. Et pour tous, un livre, Petit frère d'Eric Zemmour. Jean-Pierre Chemla l'a lu pour Primo. Sa critique ci-après. Nous en recommandons chaudement la lecture. Tout d'abord, La fracture identitaire, une conférence d'Ivan Rioufol, journaliste, auteur du « Bloc-notes » du Figaro, Jeudi 17 janvier 2008 à 20h15, Maison de la Mutualité, organisée par France Israël Dimanche 20 janvier 2008 de 9h à 18h Collège des études juives de l’Alliance israélite universelle Symposium Le sionisme, Le sionisme est aujourd’hui couramment dénigré, au point même que le discours politiquement correct évite de prononcer ce mot, comme s’il s’agissait d’une insulte. C’est là une vision partielle et partiale de la réalité, car le sionisme représente aussi une espérance, et pas uniquement pour les Juifs. Des courants importants et puissants dans l’opinion globale, en dehors de tout intérêt concret ou de toute obligation, découvrent dans le projet du sionisme, ses combats, voire l’étrange hostilité dont il est universellement victime, des principes moraux et politiques pour lesquels il vaut la peine de se battre : comme un test capital pour la condition humaine. Ces courants parcourent les démocraties occidentales mais aussi le monde arabo-musulman. Ils ne concernent pas seulement une opinion religieuse, mais aussi laïque. Comment retrouver dans le sionisme la force d’une vision positive et affirmative ? Écoutons ces voix ! Bibliothèque de l’Alliance israélite universelle Intervenants Magdi Allam Yaakov Ariel Georges Bensoussan Lionel Ifrah Pierre Lefebvre Lucien Samir Arezki Oulahbib Shmuel Trigano Olivier Véron PAF : 15 euros (étudiants ou chômeurs : 8 euros) Petit frère, d'Eric Zemmour Par une nuit de novembre 2003, le jeune Simon Sitruk, DJ déjà célèbre, est assassiné dans le parking de son immeuble par son ami d'enfance. Un roman lucide sur la faillite tragique de l'intégration et les impostures d'une certaine élite. Partant d’un fait divers authentique, l’assassinat du DJ juif Sébastien Sélam (Simon Sitruk dans le roman) par son «ami» d’enfance arabe, Eric Zemmour nous décrit l’évolution sociologique délétère d’une France qui, depuis le début des années 80, a été le théâtre d’un glissement progressif. Insensiblement, la crispation communautaire s’y est substituée à la fête multiethnique des premières années de SOS-Racisme. (1) Zemmour ne s’encombre d’aucun tabou. Très habilement, il revêt, à travers son narrateur, homme de gauche aux yeux dessillés, les oripeaux de l’antiracisme des années quatre-vingts. Travesti en dandy rouge, il en profite pour asséner ces vérités qui écorchent tant les oreilles chastes du politiquement et sociologiquement correct. Cynisme des élites, opportunisme des lobbies gay ou féministe, orientalisme magnifié pour les besoins d’une politique étrangère, rien n’est épargné aux admirateurs béats de ces combats de la fin du 20e siècle. Ces derniers continuent d’ailleurs de sévir et constituent toujours la pensée dominante. Comme s’ils s’entêtaient à y voir leur raison de vivre, leur seule façon de sembler moralement beaux et fréquentables. Zemmour nous enjoint, dans un foisonnement iconoclaste, à y jeter un œil critique alors que la foule et les invités le vilipendent régulièrement sur les plateaux télé. Mais ces huées, plus qu’une condamnation, ressemblent plus à une supplique qui semble dire : «Monsieur Zemmour, par pitié, laissez-nous encore y croire. Pourquoi détruire nos illusions' Cette fraternité multiculturaliste est tellement belle. Cessez donc d’être notre empêcheur de nous tromper en rond. Encore une minute, monsieur le bourreau !». Et cela a commencé Nous sommes passés, sans nous en apercevoir, de l’heure des harangues à l’heure du crime. En première ligne : Ilan (2), Sohane (3), Ghofrane(4), Sébastien (5). Tous des jeunes, ceux pour lesquels les apôtres de l’antiracisme des années 80 croyaient jeter les fondations d’un monde meilleur. Ces jeunes qui se ressemblent tant, appartenant à la même classe sociale, mais qui, minés par bien des frustrations et des jalousies, ont commencé à s’entretuer. Zemmour n’oublie d’ailleurs pas de citer René Girard à ce propos : "On ne tue que celui qu’on rêve de devenir". Les coupables sont pointés du doigt : la gauche trotskiste qui a instrumentalisé ces nouveaux damnés de la terre avec, en point de mire, l’idée de déstabiliser l’Etat français tant honni et de précipiter l’arrivée du Grand soir. Mais aussi les grandes forces capitalistes qui se sont servies de l’immigration arabo-africaine pour réduire leurs coûts de production et tirer les salaires vers le bas, y compris ceux des salariés autochtones. Le constat est cruel, féroce, impitoyable, plutôt pessimiste, et le pire est à venir semble conclure Eric Zemmour. Jean-Pierre Chemla © Primo-Europe, 13 janvier 2008 Titre : Petit frère (1) Lire La bombe lente, texte datant de 2002 (2) Ilan Halimi, le canari dans la mine, aux éditions Yago (3) Sohane, Ghofrane et Shérazad, (5) L'antisémitisme, maladie mentale, par Yaël König
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