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Jeremie et Ra'hel accomplissent la Mitsva du Ma’asser (don de 10% de leurs revenus) de façon scrupuleuse. Mais D.ieu n’est pas ingrat : Il les a récompensés au centuple !

Nous avons reçu le témoignage suivant, encourageant et exaltant, de la part de Jeremie et Ra'hel, un couple vivant en Ontario, au Canada.

Leur lettre raconte l'histoire de la divine surprise qui leur était arrivé : 

« Je me suis senti obligé de vous écrire, commence Jeremie, car les gens ne comprennent probablement pas toujours la grandeur de la Mitsva du Ma’asser sur l'argent. Pourtant il est dit : "Hachem bénira ton Ma’asser et tu deviendras riche". Cela fait longtemps que je ne travaille pas, et j’investis mon temps et mon énergie dans le développement de la passion de ma femme Ra'hel, artiste et designer de bijoux fabriqués à la main.

Chaque fois qu'elle reçoit une commande, nous prélevons quelques pièces de monnaie pour la Tsédaka (10%). Nous agissons ainsi à chaque vente, même si parfois notre situation économique est au plus bas. Une fois que nous avons appris l'importance de donner régulièrement la dîme au travers de diverses conférences, nous essayons de donner chaque jour une certaine somme à la Tsédaka, même lorsque nous ne disposons pas de recettes provenant des ventes. »

« Le 28 avril dernier, je partais aider à réparer des livres de prières à la synagogue tout proche, quand ma femme me dit : "Puisque tu vas là-bas, mets 30$ dans la Tsédaka au titre de Ma’asser que nous devons donner". Pourquoi 290 $ ? Sur le moment je n'ai pas compris le calcul de mon épouse ni comment elle arrivait à cette somme, mais je me suis exécutée selon sa volonté. »

On sait que D.ieu conduit le monde mesure pour mesure ; le miracle qui se produisit pour le couple le même jour, le démontre clairement, si besoin est. « La nuit, Le téléphone a sonné en soirée ; en ligne, l'une des clientes de Ra'hel, raconte Jeremie avec beaucoup d'émotion. Cette cliente a commandé un collier et un pendentif d'une valeur de 2900$ (!) - en fait exactement dix fois la somme que nous avions versée au Ma’asser. »

Jeremie affirme que, dans le passé, avant qu'ils ne se renforcent spirituellement, ils ne "connaissaient" pas D.ieu tel qu'ils Le ressentent aujourd'hui. « Désormais, c'est comme si nous voyions D.ieu en face de nous. Aujourd'hui, je peux dire avec certitude que le judaïsme ne donne pas des commandements "par hasard". C'est bien un mode de vie qui se soucie de chaque détail. Il est capital que tout Juif s'efforce de vivre comme l'exige la Torah. Même si je n'utiliserai pas ici le terme de "miracle", je dois dire que depuis que nous nous sommes renforcés spirituellement, ma femme et moi jouissons d'une abondance particulière, à la fois spirituellement et matériellement. Et je remercie D.ieu pour la grâce qu'Il me témoigne », écrit-il en conclusion.
 

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