Blog : Europe-Israel

Ce organisateur de terroristes a su mené le Premier Ministre a la dérition, au chantage. Mais si on réfléchit bien, le greviste a profité de la faiblesse du Premier Ministre de se laisser entrainer dans une mascarade de soutenir les terroristes au lieu de soutenir les familles juif des attantas par les Palestiniens qui agise sur des ordres de leur chef Abbas et de certains pays Européens en leur fournissant l'argent que Abbas pays des salaire, pensions , décorations, pour tuer des juifs Israeliens et ça le Premier Minstre a jeuer un jeu puisqu'il ne fait rien pour empêcher le chef terroriste Abbas de continuer a agire et a inciter a faire des attentats, au contraire puisqu'il avait déjà auparavant liberer un terroriste qui a fait la greve de la faim
. Cette affaire médico-judiciaire a été propulsée au sommet de l’actualité depuis des semaines et a fini par tenir tout le pays en haleine, depuis la classe politique jusqu’au conseil de l’Ordre des médecins en passant par le système judiciaire, les hôpitaux, les services pénitentiaires et les médias. Au final et quelque soit le résultat, la mémoire collective retiendra qu’un membre d’une organisation djihadiste qui préparait des attentats suicide anti-Juifs sera devenu le héros victorieux d’un bras-de-fer avec l’Etat d’Israël.

Cette attitude de soumission à un prix. Dans le cas de Muhammad Allan, elle diffuse le message qu’un terroriste détenu pourra désormais faire plier le gouvernement en entamant une grève de la faim. Il sera même soutenu par une Cour suprême complaisante et par des députés arabes qui ne ratent jamais une occasion de soutenir les terroristes. Des voix dans la classe politique se sont fait entendre à propos de ce dangereux précédent qui risque de devenir une arme de plus aux mains des terroristes. Le plus dangereux terroriste en grève de la faim et soutenu par une campagne médiatique entraînera toujours plus de compassion que ses victimes potentielles dont on ne connaîtra jamais l’identité.

Lors des discussions qui précèdent leurs décisions, les responsables politiques devraient impérativement avoir à l’esprit un élément fondamental : quel message sera compris par la partie adverse ? Dans la culture proche-orientale, où tout renoncement, même tactique, est interprété comme de la faiblesse, un pays qui lutte pour sa survie comme Israël ne peut se permettre le luxe de donner sans cesse des gages et de céder aux menaces en espérant une quelconque compréhension en retour.

Le plus dangereux terroriste en grève de la faim et soutenu par une campagne médiatique entraînera toujours plus de compassion que ses victimes potentielles dont on ne connaîtra jamais l’identité.

Dans la délicate question des visites de Juifs sur le Mont du Temple, ce sont exactement les mêmes termes qui sont utilisés par les organisations islamiques, les députés arabes à la Knesset et même par le gouvernement jordanien : l’accès de Juifs sur l’Esplanade « risque d’embraser toute la région ». L’effet de ces menaces se fait nettement sentir dans l’attitude de la police israélienne, qui adopte une extrême sévérité envers les visiteurs juifs dans le but de ne pas fâcher la population musulmane. Et alors que les drapeaux du Hamas ou même de Daech sont monnaie courante sur ce lieu le plus sacré du Judaïsme, une femme juive s’est par exemple fait refouler récemment parce qu’elle portait des boucles d’oreilles et un collier en forme de chandelier !