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Blog : Torah-Box10 conseils une éducation réussie, des enfants bien dans leur peau !![]() Quelle maman ne souhaite pas que son enfant arrive au sommet ? Qui ne prie pas devant les bougies de Chabbath en versant des larmes pour que ses enfants aient de bons traits de caractère et soient mus de la crainte du Ciel ? Malgré tout, il est bon de savoir que dans le domaine de l’éducation, il n’y a pas de promesse de réussite totale, mais uniquement la possibilité d’augmenter les chances de réussite. Comment augmenter nos chances de réussir dans l’éducation des enfants ? Voici une liste de dix conseils. Voici le fondement le plus significatif et profond pour réussir l’éducation de nos enfants : une bonne entente entre les parents. Lorsque le couple vit en connivence, dans la compréhension, l’écoute mutuelle, le soutien et l’amour, l’enfant peut tolérer des situations compliquées à la maison, tout en restant sain d’esprit et heureux de son sort. C’est le fruit d’une atmosphère agréable à la maison, et les parents continuent à transmettre de l’amour et de la sérénité à leurs enfants. 2. Tolérance et écouteIl est très important que les membres du couple sachent d’avance que les hommes proviennent de Mars et les femmes de Vénus : chacun d’eux est structuré différemment, a une disposition d’esprit différente, et naturellement, ils sont divergents. La femme a des opinions très arrêtées, est bavarde et a besoin d’un mari disposé à l’écouter. Le mari, en revanche, est plus concret, et lorsque la femme lui raconte ses petits malheurs, de manière générale, il réfléchit concrètement pour trouver des solutions, à un moment où ce n’est pas forcément nécessaire. Il est connu que ce qui rapproche le plus les gens, c’est le don. Lorsqu’on donne à quelqu’un, on crée une relation avec lui, en communiquant avec lui, et en s’intéressant à lui. Il en va de même dans le couple : tu souhaites approfondir la relation avec ton épouse ? Donne-lui ! Ne cherche pas à recevoir, mais cherche à offrir, et tu recevras bien davantage en retour ! La vérité, c’est que nous créons de nos propres mains des situations où nous attristons notre conjoint. Lorsque nous communiquons à notre conjoint que nous avons confiance en lui et nous reposons sur lui, c’est ce sentiment que nous obtiendrons en échange de sa part. Notre conjoint est en réalité notre miroir : la patience dont nous faisons preuve à son égard, le bon œil, le mot gentil, la bienveillance ; ce sont ces qualités dont nous bénéficierons à notre tour. Les enfants savent très bien identifier les failles dans la gestion parentale et les exploiter à leur avantage. En conséquence, il faut veiller à conserver une unité parentale pour tout ce qui a trait à l’éducation des enfants, au moins devant les enfants. Si les parents ont des divergences d’opinion - c’est légitime, mais il vaut mieux qu’ils s’abstiennent de les montrer devant les enfants. Il est important que les deux parents puissent définir des limites claires aux enfants et savoir leur dire « non », en se montrant ferme sur ce point lorsque nécessaire, sans céder aux pleurs ou implorations des enfants. Il importe également que l’autorité parentale ne soit pas accompagnée de cris. Le Rav Dan Benhaïm relate l’histoire d’un père et de son enfant venus le trouver pour obtenir des conseils dans le domaine de l’éducation des enfants. Avant même qu’ils n’entrent dans la pièce où se trouvait le Rav, ce dernier entendit le père dire à son fils : « Tu vois ? Je t’avais dit que tu ne réussirais pas ! ». Cette phrase écorcha l’oreille du Rav, et il attendit le moment approprié pour en parler avec le père. Il faut toujours veiller à instaurer une communication positive à la maison, en employant des termes positifs, agréables et encourageants. Dans une maison où les enfants sont toujours grondés ou blâmés, les enfants ne seront pas heureux de rentrer chez eux chaque jour, et ceci aura une influence très négative. Il est important chaque jour de consacrer à l’enfant un bon moment. On s’assoit avec lui, on lui parle, on s’intéresse à lui, on lui pose des questions sur sa journée, on fait preuve de sollicitude à son égard. Le moment où un parent et son enfant s’assoient pour regarder la télévision n’est pas considéré comme un tel moment. On raconte que le Rav Chlomo Zalman Auerbach zatsal, avant de rentrer chez lui après une journée tumultueuse, s’arrêtait chaque jour un instant devant la porte, arrangeait ses habits et faisait de l’ordre dans ses idées. | Membre Juif.org
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