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Blog : Torah-BoxJe n'ai jamais voulu faire mon Alyah![]() Je n'ai jamais voulu faire mon Alya. Enfin, si, le temps d'un été après avoir profité de la plage séparée, mangé un énorme hamburger, revu mes amies d'enfance ou prié au Kotel. Mais une fois de retour en France, cette idée fut vite reléguée au second plan. Les deux premières questions semblent surprenantes, mais il faut savoir qu'en Israël, les gens choisissent leur lieu d'habitation et l'école de leurs enfants en fonction de leur niveau religieux que l’on peut classer en quatre grandes catégories : laïcs, traditionalistes, sionistes religieux et ‘Harédim (orthodoxes). L'école se terminant à 13h, les enfants sont souvent dehors l'après-midi et fréquentent les enfants de leur quartier, d'où l'importance de se définir et de choisir un endroit dans lequel on partage les même valeurs que nos voisins. Etape n°1 : déterminer à quelle mouvance nous voulions appartenir. Vu notre désir de progresser religieusement, il nous semblait évident que nous habiterions dans un quartier orthodoxe (même si, je l’avoue, j'avais un peu peur d'étouffer en étant entourée de personnes qui vivaient et étaient habillées de la même manière). Pour les garçons, chaque école est indépendante. Heureusement que nous nous sommes renseignés auprès de l'association Ner Yaalé (neryaale@gmail.com) pour y voir plus clair [Torah-Box peut également vous orienter]. C'est à ce moment-là que tu repenses à ta femme de ménage roumaine qui essayait de te parler français, en te disant que désormais, la roumaine, c'est toi… C'est à ce moment-là qu'un choix s'offre à toi : soit tu passes les 20 prochaines années de ta vie entourée de français à te plaindre des israéliens et à te remémorer le bon vieux temps, soit tu fonces à l'Oulpan (cours d’hébreu) et tu cherches à comprendre ce qui fait d'Israël un si beau pays... Peu avant notre Alya, j'avais entendu un très beau cours du Rav de l'école de mes enfants sur les dangers de l'environnement et des nouvelles technologies pour leur développement spirituel. Pour illustrer son Dvar Torah, il avait donné cet exemple : pour cuire une grenouille, il faut la laisser dans de l'eau fraîche et augmenter progressivement le feu. La montée de la température se faisant lentement, elle ne sera pas vigilante, ne prendra pas conscience du danger puis mourra. En tant que juifs, il nous comparait à cette grenouille qui, petit à petit, baisse sa garde face aux mauvaises mœurs locales qui entrent insidieusement dans nos foyers. lea.nabet@hotmail.com 3 commentaires
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27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
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Positive attitude.
J'AVAIS JURE a TOUTE MA FAMILLE QUE JE RETOURNERAIS Y VIVRE DANS MON PAYS ISRAEL.
Il m'a fallu 50 ans pour revivre en ISRAEL
Je vous assure que c'est un boheur , tous mes enfants m'ont suivi et ma belle-mère de 91 ans aussi, tout le monde travaile, BAROUKH HACHEM.
Ecoutez votre coeur et faites le saut
BEASLAHA a tout le monde