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Blog : Victor PEREZLe ??Droit international'? et l'Etat d'IsraëlL'envoyé spécial de l'ONU au Proche-Orient, Nickolay Mladenov a déclaré récemment devant le Conseil de Sécurité : « Soyons clairs, aucune acrobatie juridique ne peut changer le fait que ces postes avancés -- qu'ils soient légalisés selon la loi israélienne ou non (...) -- demeurent illégaux au regard des lois internationales ». Quelles lois ? Nul ne le saura ! Si l'on s'en tient à cette vérité dominante, à ce discours ambiant, l'Etat d'Israël « occupe » et « colonise » depuis 1967 un territoire qui ne serait pas le sien. Ce qui stupéfiera tout historien sérieux connaissant le passé juif sur celui-ci depuis plusieurs millénaires et jusqu'à l'année 1948, date du nettoyage ethnique entrepris envers ce peuple par la Jordanie. Expulsion qui ne dura que dix-neuf années. Si historiquement nul ne peut contester ce lien charnel, beaucoup cependant affirment que le Droit international certifie cette « occupation ». Qu'en est-il exactement ? La première des lois concernant l'établissement d'un foyer juif national est le Traité de San-Remo adopté par la S.D.N. le 24 avril 1920. Rien dans celui-ci ne limitant son étendue, l'établissement du foyer national pour le peuple Juif est donc bien inclus sur la totalité de la Palestine du mandat, celle-ci s'étendant de la Mer méditerranée à l'Irak et de la Syrie à l'Arabie Saoudite. Sauf que les intérêts pétroliers de la Grande-Bretagne n'étant plus totalement en phase en 1922 avec ce projet, cette puissance viola sans pudeur cette loi internationale en offrant unilatéralement près de quatre-vingt pourcent de cette région à la tribu d'un des fils de l'Emir de la Mecque, les Arabes locaux n'ayant, semble t-il, aucun droit. Chacun pourrait donc penser que les vingt pourcent restant seraient attribué au foyer du peuple juif ! C'était sans compter sur le refus absolu du monde arabe qui contraignit la Grande-Bretagneà affirmer, en 1939, que « Le gouvernement de Sa Majesté déclare aujourd'hui sans équivoque qu'il n'est nullement dans ses intentions de transformer la Palestine en un État juif ». Ainsi est effacé le Traité de San-Remo ! Décision rendue malgré le refus quasi-planétaire énoncé à la Conférence d'Evian de 1938 de trouver une solution aux réfugiés juifs fuyant l'Allemagne et l'Autrichedevenus le Grand Reich. Ce qui a autorisé ensuite les uns à génocider six millions de Juifs sous le silence complice des autres ! Face à ce massacre sans nom, les puissances ne purent faire autrement que de faire voter le 29 novembre 1947 par l'Assemblée générale de l'Onu la création d'un état juif. Cependant, sur une partie restreinte de la rive ouest de la Palestine du mandat. Le monde arabe jamais en retard, lui aussi, d'une violation du Droit international décida d'en finir le 15 mai 1948 avec ce dessein en jetant les Juifs à la mer. Ce qui lui valut une sacrée défaite ainsi que l'absorption de centaines de milliers de réfugiés arabes. D'où la résolution 194 de l'Assemblée générale de l'Onu réclamant, dans son article onze, ??le retour des réfugiés dans leurs foyers, et une indemnisation compensant les biens pour ceux décidés à ne pas rentrer'?. Interprétant la loi à leur sauce, d'aucuns exigent aujourd'hui le retour de leurs descendances. Soit plusieurs millions de ??Palestiniens'? gorgés d'antisémitisme. Le 22 novembre 1967, le Conseil de Sécurité, tentant de mettre fin à ce conflit qu'il a initié quelques décennies plus tôt en bafouant le Droit international, vote la résolution 242 ordonnant un retrait DE territoires afin que l'Etat d'Israël se trace des « frontières sûres ». Malgré que ce dernier se soit retiré de la totalité du Sinaï, de la bande de Gaza et des zones A et B de la Judée et de la Samarie, le discours ambiant exige, contrairement à l'esprit de cette loi, un retrait de la totalité des territoires conquis suite à la guerre de légitime défense de juin 1967. Exit donc les ??frontières sûres'? ! A suivre les lectures biaisées successives du Droit international des uns et des autres, nul ne peut s'étonner que l'Etat d'Israël soit devenu, pour beaucoup, un ??hors la loi'?. Néanmoins, la lecture précise du droit international confirme que l'Etat d'Israël est bien maître de tout le terrain en sa possession, et qu'il est le seul à pouvoir décider, contre une Paix digne de ce nom, quelle partie attribuer à cet objectif. Nickolay Mladenovaura beau hurler au ??scélérat'? israélien jusqu'à en salir l'image, il est incapable, comme tout autre, d'en démontrer la réalité ni même la propriété ??palestinienne'? de cette terre. C'est dire le respect qu'inspire l'institution qu'il représente ! Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog 1 commentaire
C'est malheureux et triste; toutes ces organisations mondiales ainsi que tous les pays du monde entier ont tirer leur droit et règles de conduite qui régissent les sociétés des dix commandement du livre d'exode, de levitique et de deuteronome. D' ... Lui meme le premier Geometre a trace les frontieres d'israel par son serviteur Josue Cf la bible. Meme le coran a picore la-dedans. Aujourd'hui, ils sont tous ingrats. Qu'israel les laisse divaguer car tous ces incrédules ne peuvent compromettrent la volonté divine. L'or et l'argent ne peuvent corromprent les vrais fils de Jacob. Une foi encore c'est malheureux pour un israelien quel que soit son rang social qui accepte concéder une portion de la terre d'israel. S'il y en a alors qu'il prépare ses yeux pour pleurer car il rendra compte devant un tribunal divin
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