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Blog : Rencontre Judaïque FM"Le Monde" est-il en train de tourner ?Les lecteurs fidèles l'auront surement noté, je fais rarement référence au journal "Le Monde" sur mon blog ... Une très ancienne tradition d'hostilité envers l'état d'Israël, d'une part, et un "politiquement correct" souvent complaisant envers les totalitaires - islamistes ou autres - et critique envers les démocraties, d'autre part, m'en ont éloigné durablement ; même si, et cela m'est aussi arrivé de les signaler, il y a eu (rarement) dans ce journal des articles sortant de cette ligne. J'essaie, au moins, de ne pas adopter la rigidité bornée de trop de publications communautaires qui refusent la simple lecture de la presse de gauche, ou n'y relèvent que les publications hostiles ; je serais d'ailleurs un piètre journaliste si je ne lisais que les journaux d'un seul bord, ou si je passais mon temps à faire partager des rancoeurs, exercice dont certains semblent ne pas se lasser, hélas ! J'ai relevé ces dernières semaines deux éditoriaux qui marquent un changement notable par rapport à "l'ère Plenel", du nom de l'ancien rédacteur en chef qui avait - par exemple - combattu la loi interdisant le port des signes religieux ostensibles à l'école, et maintenu une chappe de plomb dans son journal sur les massacres au Darfour. Ces deux éditoriaux, revenant sur ces deux sujets, méritent d'être signalés et je les reproduis intégralement !----------------------------------------------------------------1 : La Burqa, symbole "Peut-on devenir française quand on porte la burqa, ce vêtement qui, à l'exception des yeux, masque entièrement les femmes dans les pays (ou les familles) musulmans les plus rigoristes ? Non, vient de répondre sans détour le Conseil d'Etat dans un arrêt qui, sans aucun doute, fera date. L'affaire sur laquelle la haute juridiction a tranché tient en quelques mots : une Marocaine mariée à un Français et mère de trois enfants nés en France s'est vu refuser, en 2005, la nationalité française, au motif qu'elle porte la burqa et que cela constituerait un "défaut d'assimilation". Saisi en appel, le jugement du Conseil d'Etat tient, également, en quelques mots, manifestement pesés au trébuchet : cette femme "a adopté, au nom d'une pratique radicale de sa religion, un comportement en société incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française et notamment le principe d'égalité des sexes". Voilà donc relancée la controverse sur la place des religions, et de l'islam en particulier, en France. Le débat sur le port du "voile" à l'école avait déjà soulevé la question il y a quelques années : la France doit-elle, avec tolérance et sagesse, accepter l'expression publique de l'identité religieuse et de la différence culturelle ? Ou doit-elle, au contraire, marquer nettement les limites au-delà desquelles le principe de laïcité, fondement de la République, serait bafoué. En adoptant la loi de 2004 interdisant le port de tout signe religieux ostensible dans les établissements scolaires, le Parlement avait clairement choisi la seconde réponse. Dans son arrêt du 27 juin, le Conseil d'Etat adopte une position similaire. Nul doute qu'il va se voir reprocher, à nouveau, de stigmatiser une religion, l'islam. Et de ne pas mesurer le fossé qui le sépare de la réalité complexe de la société française. Le Conseil, il est vrai, s'en tient à une appréciation de principe : à ses yeux, la burqa est tout sauf un signe religieux banal, qui relèverait d'un simple choix privé ou de la liberté de conscience ; à ses yeux, c'est au contraire un symbole majeur pour les musulmans les plus militants et minoritaires, qui revendiquent une pratique extrême de leur religion. Un symbole de ségrégation entre les hommes et les femmes. Un symbole inacceptable du statut d'infériorité de la femme dans cette conception de l'islam. Comment lui donner tort ?" Editorial du journal "Le Monde" paru dans l'édition du 12 juillet 2008-----------------------------------------------------------------------2 : Solidarité africaine "Après le Zimbabwe, le Soudan. A quelques semaines d'intervalle, deux dirigeants africains mis en cause sur la scène internationale pour des crises, et des crimes, qui frappent en premier lieu leurs populations appellent leurs pairs à leur secours. Robert Mugabe, le président zimbabwéen, a pu compter sur la solidarité continentale, au sein de plusieurs organisations, notamment l'Union africaine (UA), pour se protéger. Mais des voix africaines discordantes, lassées de son entêtement à se maintenir au pouvoir à tout prix, fût-ce en ruinant son pays, commencent à émerger. Des présidents africains se refusent à ce que la mise en question des agissements de l'un des leurs soit assimilée à une trahison au profit des ex-puissances coloniales et des pays occidentaux. Omar Al-Bachir, son homologue soudanais, est le premier président en exercice mis en cause par la Cour pénale internationale (CPI). Il l'est sur la base d'accusations présentées lundi 14 juillet par le procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, pour son rôle dans la tragédie du Darfour. La nature de ces accusations est, à la mesure des faits, d'une gravité exceptionnelle. Elle s'appuie sur "des preuves sur les crimes commis dans l'ensemble du Darfour (ouest du Soudan) au cours des cinq dernières années" pour mettre en cause directement le chef de l'Etat soudanais. Le président Al-Bachir compte sur des réflexes d'autodéfense pour que l'UA et la Ligue arabe s'emploient à torpiller une éventuelle action de la CPI. Les premiers résultats sont déjà visibles. Hisham Youssef, chef du bureau du secrétaire général de la Ligue arabe, a enjoint la CPI de "ne pas politiser" son action et de ne pas s'immiscer dans les affaires intérieures soudanaises, contestant ainsi la légitimité de la juridiction, désignée en filigrane comme le bras judiciaire des pays occidentaux. Une réunion de la direction de l'UA s'est conclue, elle, par un communiqué rappelant "la préoccupation de l'UA face à la mise en accusation abusive de dirigeants africains". Pourtant, tous savent à quel point Omar Al-Bachir est coupable. La dignité serait pour la Ligue comme pour l'UA de se désolidariser de ceux qui humilient et martyrisent l'Afrique et le monde arabe." Editorial du journal "Le Monde" paru dans l'édition du 15 juillet 2008 13 commentaires
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ne peut dire q'est ce que je suis. La religion a la maison. Mai maison ets colle a celle d'une famille pakistanaise
musulmane pas extremistte, ils savent que nous sommes juifs,> Ils font ce qu'ils veulent chez eux et moi aussi.
Nous nous entendons tres bine. Meme que les enfants viennentchez-moi et mangent ma nourriture. Les parent
savent. Alors pourquoi ces diffrencesextremes et ne font que separer les etres humains. La buka, c'est
deguelasse.Ce n'es pas vrais, que les fammes choisissent. Tout leur est impose, et quand je vois des
petites filles de 5ans avec la tete couverte, je trouve ca anormale que l'on me dise cx'est son choix.
salut/.
Mais hélas, il ya des imbéciles qui croient le contraire,Ils imposent leur religion quitte à la transformer, diviser pour mieux régner, des ambitieux qui sous couvert de Hallah ,inculquent aux leurs : l'antisémitisme, l'anti-sionisme et même l'anti-blanc, l'anti-occidental .
Nous Juifs, lorsqu'on à été obligés de nous exiler poussés par les répressions spoliations tortures etc..etc..; lorsqu'on arrivait dans un pays on épousait les us et coutumes et la langue du pays. On faisait prospérer le pays , et quand enrichit , ils avaient peur de perdre le pouvoir, ils instauraient une loi pour nous mener une vie impossible afin qu'on parte et qu'on laisse nos bien et les prêts octroyés. Dans notre communauté , il y a aussi des malhonnêtes, des tordus, des imbéciles comme dans toute communauté et religion , mais nous , contrairement aux Musulmans ,nous enrichissons les pays par notre installation et nous sommes respectueux , alors qu'eux , prennent, dégradent, revendiquent, imposent leurs lois , leurs coutumes, et ne sont ni respectueux ni reconnaissant de ce que le pays leur offre. Oui, ils y a des musulmans qui sont pacifiques , discrets ,tolérents . Oui, chez eux il y a des intelligents , Mais nous ne parlons pas de ceux là, mais de ceux qui mettent la pagaille dans ce monde et hélas : c'est la majorité.