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La caricature du momentObama : le plan catastrophe4 ans d'Obama ont changé la face du Proche Orient, pour le pire. Des islamistes ont pris le pouvoir en Tunisie, en Libye et en Egypte. Ils ont pris le pouvoir au Liban et sont proches de l'obtenir en Syrie. On a du mal à imaginer quels dégâts supplémentaires Obama pourrait encore faire si il était réélu… mais il ne faut pas douter du fait qu'il en fera !
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Dernière mise à jour, il y a 55 minutes
Il me semble que l'essentiel c'est que Obama soutienne Israël et combatte avec la plus grande fermeté le terrorisme, et que dans le même temps il améliore la situation de son pays qui traverse une crise gravissime.
Après, il est vrai que ce qui s'est passé à Benghazi est inadmissible, mais pour le moment tout n'est pas clair.
Bref, tout ça c'est pour relativiser un peu, on ne peut pas reprocher à Obama tous les maux du monde !
dans les pays arabo-musulmans les églises sont détruites et sont remplacées par des mosquées , et il n ' y a pratiquement plus de juifs dans ces pays arabo-musulmans...en europe et en amérique , les lmosquées se muiltiplient et seront bientôt plus nombreuses que les églises...les islamiquies ocuppent les capitales européennes et les villes principales !
Tu as raison, ce n'est que le début, l'Iran avec sa bombe nucléaire fera du chantage, l'horizon est noir, j'ai bien peur que nous allons vers une troisième guerre mondiale.
La FRANCE commence à avoir une puissance militaire en Afrique en accord avec les USA.
Au mali tous les pays arabes ils ont vu le travail des rafales et des missiles dernières générations, on peut frapper n'importe quel pays qui nous menacerait. La Turquie sait bien avisé de fermer sa grande gueule.
Dans le système solaire, toute modification importante du climat dépend du soleil. Un peu de la même manière, dans le monde, le poids des décisions, ou des indécisions, de l'Amérique est déterminant. Il n'est donc pas vraiment exagéré d'attribuer à Obama une grande responsabilité dans l'évolution des affaires du monde. Ce qui, bien sûr, ne veut pas dire qu'il contrôle tout ce qui se fait ou ne se fait pas depuis le bureau ovale de la Maison Blanche : Pharaon, oui ; D- ieu, non.
Je crois qu'il y a eu, à partir de l'automne 2010, un grand changement de pied de la diplomatie américaine concernant le Proche-Orient. Jusqu'alors, dans cette région du monde, les Etats-Unis appuyaient ( et s'appuyaient sur ) des cliques nationalo-militaires ( Ben Ali en Tunisie ; Hosni Moubarak en Egypte ; voire, en Syrie,, le clan Assad avec lequel les Etats-Unis ont eu pendant très longtemps des relations privilégiées - ce qui n'empêchait pas les Assad de jouer en même temps - comme l'avait fait aussi en Egypte Gamal Abd El-Nasser - la carte soviétique ou russe ). Mais, à partir, en gros, de novembre 2010, les Etats-Unis décident de lâcher les dictateurs militaro-nationalistes ( comme, en d'autres temps, Jimmy Carter avait lâché le shah d'Iran ) et de tenter de jouer une autre carte : l'alliance avec des éléments islamistes.
C'est une politique, nouvelle au Proche-Orient, mais que les Etats-Unis avaient déjà
pratiquée auparavant, dans au moins deux circonstances ou régions, mais dans un contexte différent, celui de la lutte contre le communisme : en octobre 1965, pour contrer la tentative de putsch du lieutenant-colonel Untung, favorable au parti communiste indonésien ( pro-chinois ), les Etats-Unis décident d'appuyer les généraux indonésiens musulmans ; en 1979, ils décident de soutenir et d'armer les mouvements islamistes afghans - y compris les plus " sauvages " , comme celui de Gulbuddin Hekmatyâr - contre le gouvernement communiste de Babrak Karmal soutenu massivement par un corps expéditionnaire soviétique.
Les " printemps arabes " sont la mise en oeuvre de cette nouvelle politique.
Il semble bien que les Etats-Unis aient quelques difficultés à " chevaucher le tigre " islamiste ( on l'a vu notamment en Libye, au moment où l'ambassadeur américain y a été assassiné ). On le voit tous les jours dans des pays comme l'Egypte ( et la Tunisie ) et surtout la Syrie où le processus de lâchage / substitution ( Assad étant lâché au profit, comme en Egypte, des " Frères Musulmans " - mais ceux-ci n'arrivent pas franchement à dominer une nébuleuse islamiste où s'agitent aussi toutes sortes de courants, notamment des courants liés à " Al-Qaïda " ) n'arrive pas à se conclure dans le sens souhaité par Washington ( certes, je ne méconnais pas le poids de la Russie dans ce blocage. Mais le fait est là : le processus est bloqué ).
C'est pourquoi je crois que la nouvelle
d'une visite officielle d'Obama en Israël ( il était allé au Caire, lors de son premier mandat, mais pas à Jérusalem ) est fort intéressante. Il se pourrait qu'une partie au moins de l'establishment politique démocrate commence à tirer les leçons des blocages de la politique des " printemps arabes " . Je ne dis pas que l'administration américaine va renoncer à cette politique. Mais peut-être est-elle en passe de la rééquilibrer. Après tout, même l'ineffable Jimmy Carter avait dû se rendre à l'évidence que sa politique hostile au shah n'était pas payée de retour et que ( la prise en otage du personnel diplomatique américain à Téhéran le montrait ) pour les fanatiques iraniens, l'Amérique demeurait " le grand Satan " .
Le voyage prochain d'Obama en Israël pourrait être un indice d'une volonté de rééquilibrage ( il faut aussi le rapprocher des pressions américaines sur l'Union Européenne pour que le " Hezbollah " soit reconnu par elle comme une organisation terroriste ; ainsi que du feu vert donné au général Aviv Ko'havi pour l'opération qui a eu lieu il y a quelques jours en Syrie-Liban ). Il se peut que commencent à être entendus ceux qui, au Département d'Etat, plaident que, dans l'état de déliquescence où se trouvent des pays comme la Syrie, l'Egypte, voire le Liban, Israël demeure plus que jamais le seul allié solide sur lequel les Etats-Unis puissent compter dans dette région.