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Communauté JuiveVos prières au tombeau de Rachel imenou !
Quarante jours durant, des grands rabbanim vont prier au tombeau de notre mère Rachel. A partir du jour de sa hilloula, ce 29 octobre, ils lui transmettront vos suppliques à Hachem ! Dans ce lieu saint, baigné des larmes de Rachel imenou, les portes du Ciel sont grandes ouvertes, rappellent les grands Maîtres de notre génération qui s’associent tous à cet événement L’opération est exceptionnelle. Le 11 Hechvan prochain, ce jeudi 29 octobre, un groupe de talmidei ra’hamim de très haut niveau se rendront sur le tombeau de Rachel imenou, notre mère Rachel. Emmenés par le Rachmastrivker Rebbe, ils prieront pour les donateurs de Koupat Ha’ir et tous ceux qui nous auront adressé les suppliques qu’ils destinent à Hachem*. Il en sera ainsi durant quarante jours ! Nuits et jours, un mynian sera en effet présent à l’endroit où repose notre mère Rachel. Monter une telle opération -mobiliser tant d’érudits en Torah, assurer leur transport vers le tombeau situé au sud de Jérusalem, s’assurer de la coopération des autorités israéliennes- était un réel défi logistique. Mais c’est la raison d’être de Koupat Ha’ir, sa mission : réunir les deux faces d’une même pièce que sont la tefilah et la tsdeka…. D’un côté, vos dons sont une main tendue aux familles juives en détresse. De l’autre, les grands de la Torah vous offrent, par notre intermédiaire, la bénédiction divine grâce à l’intensité et la profondeur de leurs prières. Le mérite de ces quarante jours exceptionnels de prières au kever Rachel revient d’ailleurs entièrement aux grands Maîtres de notre génération. Ce sont eux qui ont ordonné à Koupat Ha’ir de s’adresser à Rachel imenou pour le bien du klal Israël et de ceux qui soutiennent nos actions. Au plus fort des difficultés, des persécutions et des drames de la galout, les Juifs de toutes les générations se sont en effet tournés vers notre mère Rachel. Après tout, grâce au mérite de Yossef et Benyamin, ne sommes-nous pas tous ses enfants ? Et nos Sages n’expliquent-ils pas que les larmes que Rachel verse sur les malheurs de sa descendance ouvrent les portes du Ciel et montent directement au Tout Puissant ? En son temps, le Rabbi de Brisk, rav Its’hak Zev Soloveitchik zatsal, assurait d’ailleurs que l’endroit définit par la Torah comme un « lieu de prière » (makom tefilah) n’était autre que le tombeau de Rachel. Et avant lui, le Gaon de Vilna disait qu’après la destruction du Temple, la She’hinah, la présence divine, continue à résider sur le tombeau des tsadikim, et en particulier sur celui de Rachel imenou. On comprend donc que les prières prononcées durant ces quarante jours par les envoyés de Koupat Ha’ir seront empruntes d’une émouna et d’une intensité rare. Et pour être certain de leur donner le plus de poids possible, nos Grands Maîtres, eux-mêmes, ont fixé la manière dont elles devront se dérouler. Selon les instructions du Gaon Rav Yaakov Edelstein, les dix érudits pieux et droits qui se tiendront dans le lieu saint réciteront les quatrièmes et cinquièmes livres des Téhilim tous en observant un jeune de la parole. Leur récitation terminé, ils devront prier lentement et sans omettre aucun détail des suppliques qui auront été adressé Koupat Ha’ir. Les larmes que versera notre mère Rachel lorsqu’elle sera ainsi sollicitée durant quarante jours seront, pour nous tous, une source de bénédictions : c’est l’assurance que Hachem entende nos suppliques ! Cette fois encore, les grands Maîtres de notre génération ont donné à Koupat Ha’ir l’impulsion nécessaire pour organiser ce mynian unique. Ils savent en effet que la prière est le seul moyen de hâter la délivrance…. « Le tombeau de Rachel est le meilleur et le plus propice des lieux de prières », expliquait récemment notre Maître, Rav Haïm Kanievski. Il faudra d’ailleurs ajouter une onzième voix à ce mynian : celle, Là-Haut, de l’Admour de Lelov zatsal. Il a quitté ce monde lors du dernier Yom Kippour, juste après la prière du Kol Nidrei, lavé de tous ses péchés ; un mérite réservé aux plus grands tsadikim. Quelques semaines auparavant, à l’occasion de rosh rodesh Elloul, il s’était, lui aussi, rendu au kever Rachel. L’Admour de Lelov avait alors eu ces paroles, qui sonnent aujourd’hui comme une bénédiction : « Koupat Ha’ir est une institution formidable. Poursuivez toutes vos actions… Tenez bon ! Ce que vous faites est extraordinaire ». Avant de rejoindre le monde de la Vérité (olam haemet), il avait également pris soin de signer l’appel de nos Grands Maîtres pour l’organisation du mynian au tombeau de Rachel. Alors, sans aucun doute, durant quarante jours et quarante nuits, son mérite accompagnera la prière de ceux qui demanderont à Rachel imenou d’intervenir auprès d’Hachem pour qu’Il entende nos suppliques…. Amen ! *Rendez-vous surle site Internet www.koupat-hair.com ou téléphonez au 0800 525 523 depuis la France ou au 03 908 80 97 depuis Israël Des larmes derrière la me’hitsa Lorsque Rabbi Haim Shmuelevitz zatsal, l’immense sage de la Torah qui dirigea la yeshiva Mir était encore de ce monde, il aimait aller prier sur le tombeau de Rachel. Un jour qu’il se trouvait dans le modeste bâtiment posé au bord de la route reliant Jérusalem à Bethléem, il entendit de lourds sanglots. Ces pleurs déchirants que rien ne semblait pouvoir arrêter, traversaient le rideau séparant hommes et femmes, remplissant toute la pièce d’une douleur infinie. Bouleversé, Rabbi Shmuelevitz interrogea du regard les élèves qui l’accompagnaient. Que se passait-il ? En tendant l’oreille, ils entendirent un murmure. « Rachel, notre mère, tu as dis toi même dit que si tu n’avais pas d’enfants tu préférais mourir. Comprends ma douleur : moi non plus je n’arrive pas à devenir mère et j’ai perdu le gout de vivre », suppliait entre deux accès de larmes une femme cachée par de la me’hitsa. « Intercède auprès du Tout-Puissant pour que je puisse enfin donner la vie. Tu es mon dernier espoir ». L’émotion dans le tombeau était maintenant à son comble. Touchés au plus profond d’eux même par la sincérité de ces pleurs, les hommes du mynian qui entourait Rabbi Haim Shmuelevitz commencèrent eux aussi à prier. Et naturellement, sans même se concerter, ils tournèrent leur cœur vers Rachel imeinou afin qu’elle intervienne auprès d’Hachem pour qu’Il sèche les larmes de cette inconnue. Lorsque le dernier kaddish fut prononcé, Rabbi Shmuelevitz se tourna vers ses élèves et leur dit ceci : « Une prière comme celle-ci, dans un endroit comme celui-ci ne peut pas rester sans réponse. La supplique de cette femme sera exhaussée ». Et c’est ce qui arriva. Une dizaine de mois plus tard, l’inconnue qui inondait le tombeau de Rachel de ses larmes donna naissance à son premier fils. 3 commentaires
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Ainsi parle Adonaï : que ta voix cesse de gémir et tes yeux de pleurer, car il y aura une compensation à tes efforts, parole d'Adonaï, ils reviendront du pays de l'ennemi.
Et il y a de l'espoir pour ton avenir, parole d'Adonaï, tes enfants rentreront dans leur domaine."
Amen