Communauté Juive

"Le mariage de Chelsea Clinton est une Shoah spirituelle"

C'est- toujours la même rengaine de nos "autorités spirituelles" PAR MANQUE DE COURAGE elles s'accrochent à la réforme religieuse du Scribe Ezra FAITE en l'an 398 av. n. ère mandaté par le roi Artaxerxès; Cette réforme religieuse permuta le PATRIARCAT de la THORA (l'ENSEIGNEMENT de MOÏSE) par le matriarcat chaldéen pour des raisons purement politiques et certainement pas religgieuses.

Il est temps pour le JUDAÏSME de revenir à ses VERITABLES SOURCES RELIGIEUSES et SPIRITUELLES !

Puisque le MOT de SHOAH a été utilisé pour STIGMATISER ce mariage, je signale que cette dénomination doit être attribué au MATRIARCAT qui prive le judaïsme des meilleurs de ses fils.

j'ai aussi dans mon sac à idées farfelues une pensée horripilante selon le politically correct. L'Islam rend idiot, j'en suis persuadé. L'idiotie modifie les gênes, c'est presque prouvé.

Mais alors.....?

le problème du mariage mixte c est aussi le ressentiment des enfants... le nom n est pas juif.. il savent que un seul parent est juif et ça procure une forme de complexe de manque d assurance et de besoin de pratiquer aussi....j ai le cas ... premier mariage mixte un fils.........second mariage juif un fils ( qui écoute de la musique israélienne toute la journée)et sa force dans la vie D ETRE UN JUIF...a 100 pour 100 ..... eh oui tout ça on y pense pas quand on est jeune tout s apprend avec la vie.. C EST UNE SIMPLE CONSTATATION... MAIS LES GOYS NOUS VOIENT BIEN COMME CA AUSSI ) SHALOM

Abraham, c'est quoi ce matriarcat dont vous parlez?

cette photo est truquée !

Elie , je n'avais pas lu tes derniers messages . Pour moi , chacun sa vie . Si tu es heureux comme tu es , c'est l'essentiel . C'est un choix et ça ne regarde que toi . Tu sais Elie , la vie c'est comme au casino , chacun veut récupérer sa mise . Que ce soit dans la finance , en amour ou en amitié . Parfois tu mises sur le rouge , et c'est le noir qui sort . Quand on est gosse on fait des rêves et le reste de sa vie , on essaye de les réaliser .

Je suis attristé de lire vos commentaires. Je vais vous dire pourquoi et j'espère que vous comprendrez.
Je suis juif et me suis marié à une juive il y a fort longtemps. Les choses de la vie ont fait que ce mariage n'a pas marché et 9 ans plus tard nous avons divorcé. J'ai souffert alors le martyre et ai frolé la mort. Je priais Dieu pour qu'il me ramène à lui. C'est alors qu'une jeune femme s'est amouraché de moi. Elle est catholique non pratiquante. Je lui ai toujours tourné le dos et ai été à la limite "salop" avec elle. Je ne la voulais pas et la rejetais. Elle était pourtant très belle et super gentille. Elle s'est accrochée et avec le temps j'ai eu des sentiments pour elle. Nous avons alors vécu ensemble et avons eu une merveilleuse fille. Nous nous sommes mariés après 15 ans de vie commune. Je suis tellement heureux aujourd'hui (25 ans de vie commune) !... je me dis que c'est Dieu qui me l'a envoyée comme pour me dire: "Tu as souffert, tu m'as demandé de te rappeler à moi, mais ton temps sur terre et ton oeuvre n'étaient pas finis. Tu as cru en moi, alors je te donne toute la force et le bonheur que tu mérites". Croyez vous que Dieu fasse une différence entre un juif et un non juif ? Nous sommes tous ses enfants. Mais le plus dur aujourd'hui est qu'après avoir inculqué une certaine judaïté à ma fille, celle-ci se sent très juive sans pour autant avoir le droit de l'être !!...

Daniella002, je vous donne raison : étant moi-même "nom-juif" depuis deux générations, je sais que c'est pas évident de s'en remettre. Le suicide de mon cousin n'est sans doute pas sans lien avec cette identité difficile. En même temps, c'est aux "noms juifs" de se chercher une identité propre et collective. Accepter les règles du peuple Juif et accepter de faire partie des "pots cassés", c'est une façon d'être juif en négatif. Le juif du juif si on accepte une formule ironique. Difficile à définir mais en relation forte avec l'histoire juive et humaine.
Globalement quand même, nom-juif, j'ai l'impression que ça rend nihiliste. En effet, quand vos ancêtre ont connu cette identité forte de valeurs et de traditions dont vous n'héritez pas, la tendance est à relativiser beaucoup de choses peut advenir. S'accrocher à des idéaux irréalisables et dénués de sagesse , éviter les certitudes sur lesquelles on peut bâtir, hésiter à avoir des enfants....
Pour ma part, comme pour beaucoup de "noms juifs", se racrocher au judaïsme dans le dernier wagon, celui de la communauté de valeurs, voire faire de l'entrisme est une façon de s'accrocher au Gros Repère. Faire une croix (sic) sur ses origines en est une autre. L'entre-deux est plus difficile à tenir, c'est une zone instable. On my opinion.

Bonheur à vos deux fils 100% juifs, sauf si vous êtes un homme (lol

Daniella,
bonjour ,
je lis ton commentaire plutôt comme une réponse que tu as trouvé en cheminant.
A mon avis lors de ton second mariage tu avais trouvé des réponses qui parle d'essentiel et donc pas la même façon de transmettre un héritage juif à tes deux fils ....selon ou on en est de notre cheminement personnel
c'est en tout cas mon ressenti.

L’interdiction de ce que l’on appelle communément le « mariage mixte » est stipulée dans la Guemara (Qiddouchin 68b), par interprétation du verset : « car il détournera ton fils de derrière moi… » (Devarim 7, 4) :

« Ton fils » issu d’une femme israélite est appelé : “ton fils”, tandis que ton fils issu d’une femme idolâtre n’est pas appelé : “ton fils”.

Ravina a enseigné : Le fils de ta fille issu de son union avec un idolâtre est appelé : “ton fils” ».

Il existe deux autres versets d’où l’on déduit cette interdiction :

« Tu ne t’allieras pas par mariage avec eux, tu ne donneras pas ta fille à son fils, et tu ne prendras pas sa fille pour ton fils… » (Devarim 7, 3), et : « [Le peuple s’est engagé par un serment solennel à] « ne pas donner nos filles aux peuples du pays, et à ne pas prendre leurs filles pour nos fils » (Néhémie 10, 31).

si, notre peuple existe encore, nous le devons a ces commendements, le reste n est que litterature
ROLAND