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Parachat MATOTE-MASSÊ, par rav Arié LEVY

« Si un homme fait un vœu à Hachem, ou s’impose par un serment une interdiction à lui-même, il n’enfreindra pas sa parole ; tout ce qu’a proféré sa bouche, il doit l’accomplir » La législation insiste sur l’importance de la parole qui engage et du vœu qui prend son pouvoir absolu dès qu’il est exprimé. L’expression « lo ya’hèl » traduite par « il n’enfreindra pas » peut être dérivée de « mo’hèl » qui veut dire pardonner ou annuler, aussi bien que de « mé’hallèl » qui veut dire profaner. C’est dans ce double sens qu’il est entendu : 1/ La première interprétation est que lui ne peut pas l’annuler, mais d’autres peuvent l’annuler. Lorsqu’un homme se voit dans l’impossibilité matérielle de réaliser un vœu, il doit en référer à un tribunal de trois Rabbanim qui seront seuls juges pour l’en délier. Le Kol Nidré de Kippour consiste entre autres, à annuler les vœux prononcés et non tenus, qui n’ont pas été annulés. 2/ La seconde interprétation de lo ya’hèl est citée par Rachi : « il ne profanera pas sa parole. »...
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Dernière mise à jour, il y a 44 minutes