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Dictionnaire amoureux du Judaisme ???

Dictionnaire amoureux du Judaisme ??? - © Jeremie BERREBI

Il y a plusieurs semaines de cela, je découvrais que Jacques Attali venait de faire paraitre un “Dictionnaire amoureux du judaisme”.  Jacques Attali ? un romancier économiste qui compte nous éclairer sur le Judaisme ? Moi qui vis à Bnei Brak, la ville ayant la plus grande concentration de maîtres du judaïsme au monde, je me disais déjà que le profil de Jacques Attali était sans doute mal choisi.

Mais je me trompais peut être… Le titre ne parle t’il pas d’un amour du judaïsme ? et notre histoire même récente ne traite t’elle pas de dizaines voire centaines de milliers d’hommes ayant fait “Teshouva”. (Retour aux sources)

Jacques Attali est, peut être, comme l’a fait le philosophe Benny Levy en son temps, revenu aux sources et étudié réellement ce qu’est le judaïsme, compris sa valeur et la beauté de sa pratique.

Je me suis mis à chercher le contenu du livre en ligne. Jacques Attali ayant suggéré, sur son blog, aux artistes de publier leurs œuvres gratuitement afin d’augmenter leurs ventes, je pensais qu’il allait donc appliquer ce qu’il recommande… mais non, cet ouvrage n’est ni disponible via son blog, ni via Google Books … Passons … ce n’est pas le sujet.

A ce moment là, j’abandonne mon idée de le consulter en espérant que le bouquin ne fasse pas trop de dégâts. J’ai déjà près de 800 livres sur le judaïsme dans mes bibliothèques de maîtres prestigieux, je ne voulais pas m’encombrer.

J’apprends il y a 15 jours que l’un de mes oncles reçoit ce livre 2 fois en cadeau d’anniversaire (Quel succès !)… Je lui demande donc de me faire parvenir son 2ème exemplaire en Israël afin que je puisse le lire.

Il y a quelques jours, l’un de mes amis juifs à New York me dit : “Jeremie, il faut absolument que tu lises ce livre, il est vraiment fabuleux et donne de vraies bases de judaïsme”… La semaine dernière, encore, dans un hebdomadaire juif, une personne interviewée affirme que c’est son livre de chevet.

Je me disais que finalement, il fallait absolument que je le lise, moi qui ai justement un projet assez complexe d’écrire un ouvrage d’initiation au Judaïsme qui, je l’espère, verra le jour dans les prochaines années mais surtout, moi qui ai découvert le véritable judaïsme alors que j’avais déjà plus de 20 ans, car je trouvais le mien complètement incohérent… le mien, qui ressemblait un peu à celui que décrit Jacques Attali dans son ouvrage.

Je découvre donc ce livre vendredi après-midi dernier.

Commençons par le bon côté des choses, Jacques Attali, dans son introduction, avoue son incompétence pour écrire ce livre. Il affirme même avoir refusé net la proposition de Jean Claude Simoen qui dirige la collection des “Dictionnaires amoureux”. Il affirme “Bien des gens sont plus compétents que moi pour écrire un tel livre”… Il relève toutefois le défi car il pense que le Judaïsme est “très mal connu”… et il a bien raison …
Se rend il compte du pouvoir qu’il a en écrivant cet ouvrage ? du pouvoir de faire changer les choses ? Malheureusement, je ne le pense pas… et c’est bien dommage.

Page 13 commence ma première déception. Jacques Attali affirme qu’il n’aurait “peut-être pas choisi” le judaïsme s’il n’y était pas né. Étonnant. Je me vois mal dire à ma femme: “Si je n’étais pas déjà marié, je ne t’aurais peut être pas choisie finalement” ou à mes parents “Je vous aime mais j’aurais peut-être préféré avoir d’autres parents”. Bizarre comme amour …

Jacques a l’air de vouloir le transmettre afin de ne pas trahir ses ancêtres, mais non pas parce qu’il est porteur du plus beau message de l’humanité. Il avoue toutefois que ses découvertes l’ont “fasciné, donné à réfléchir, inspiré”. Parle t’on donc d’amour ? Le titre de cet ouvrage correspond-il réellement aux sentiments de l’auteur ? ou s’est il forcé à parler d’amour afin de coller au nom de la collection dont ce livre fait partie ?

En fait, en lisant, ce livre, ce n’est pas le judaïsme qui est décrit. C’est le judaïsme de Jacques Attali, un judaïsme quasi abandonné, un judaïsme malheureusement incohérent et en décomposition.

Car l’incohérence est le mot qui décrit le plus cet ouvrage… et qui, effectivement, décrit aussi la vie de beaucoup de juifs d’aujourd’hui qui auraient dû trouver justement dans ce livre de la cohérence.

L’auteur aurait pu appeler ce livre “Dictionnaire de mon judaïsme”, cela aurait été moins dérangeant (toujours incohérent mais moins directif). Ici l’auteur a décidé de faire un dictionnaire du Judaïsme en général… en faisant croire à tous les débutants juifs ou non que c’est vraiment cela le judaïsme.

Soyons clair dès le départ, Jacques Attali par ses écrits insulte pas seulement le véritable judaïsme (qu’il adore définir d’orthodoxe sans expliquer pourquoi il ne conviendrait pas), mais insulte toutes les religions monothéistes en qualifiant le récit biblique d’”évidemment imaginaire” , “mythologique” (Page 27) (Notons qu’à cette même page, l’auteur appelle Evel l’ancêtre d’Avraham, qui se nomme plutôt “Ever”-mot à l’origine du terme “Hebreu”)

La Bible ? Imaginaire ? Rien de ce qu’il s’y serait passé ne serait vrai ? pas d’enfants de Jacob arrivés en Egypte ? Pas de 10 plaies ? Pas d’ouverture de la mer ? Pas de don de la Torah au Mont Sinai devant plus de 600 000 hommes ? Une histoire aussi énorme aurait été inventée à un moment donné de l’histoire ? On aurait réussi à faire passer à un peuple tout entier un faux passé ?

L’auteur ici bascule entre des thèses d’historiens révisionnistes, de “spécialistes” de la critique biblique et de la Bible. Difficile d’y comprendre quelque chose et de comprendre ce que l’auteur pense vrai ou imaginaire… ce qui est certain, c’est que le tout donne un grand mic-mac très éloigné de la tradition juive. Pour lui, le roi David serait “le premier personnage biblique dont la réalité historique semble établie” (Page 31) (sic!)

Jacques ? Vous êtes certain d’être toujours amoureux là ? ou avez vous déjà divorcé ? (Je dirai pourquoi tout ceci manque de cohérence un peu plus bas lorsque je parlerai de la Hagadah de Pessah.)

Dieu est peu présent dans cet ouvrage (l’auteur n’y accorde même pas une place dans son dictionnaire). Il est cité mais l’auteur n’a pas l’air d’y avoir la moindre relation particulière avec lui. Il affirme de toutes façons que le Judaïsme ne se réduit pas à une foi. “Bien des juifs sont devenus athées sans cesser pour autant d’être profondément juif” . Pourquoi ? L’auteur ne le dit pas, ne l’analyse pas… L’auteur parle sans doute de sa situation personnelle… mais non, ce n’est toujours pas clair… Cela veut dire quoi d’être profondément juif ? Alors que c’est justement à cette question que cet ouvrage est censé répondre. Jacques Attali dit que le judaïsme est “d’abord un ensemble de souvenirs”. Ah bon? le Judaïsme serait mort pour que l’on ait besoin de se souvenir de ce qu’il est ?

Oui, le Judaïsme reprend des fondements millénaires mais pourquoi parler de souvenir ? Pourquoi avoir besoin de s’en souvenir au lieu de le vivre tout simplement ? L’auteur ici décrit encore SON judaïsme, un judaisme pratiqué en partie par ses parents, beaucoup plus, sans doute, par ses ancêtres, mais qui est en voie de disparition. Est-ce de cela dont ce livre doit parler ? d’un judaïsme abandonné ?

Jacques Attali ne cache pas son attachement à la communauté libérale, communauté ayant rejeté la majorité des préceptes religieux de leurs ancêtres au cours des 300 dernières années. Est-ce que l’on doit donc parler de Judaïsme ici ? Oui, les libéraux représentent une majorité aux Etats-Unis mais les libéraux sont aussi ceux qui quittent en masse le judaïsme et dont les enfants et petits enfants risquent de ne même plus savoir qu’ils sont juifs dans les prochaines décennies. Est-ce de ce judaïsme voué à la disparition dont il faut parler ?

Le Judaïsme serait aussi une langue, un livre (mythologique tel que l’auteur le décrit) et une théologie (Page 20): Théologie que l’auteur ne sait pas décrire et qu’il réduit à quelques principes, fondamentaux, certes, mais Ô combien incomplets. Le judaïsme serait aussi une pratique que l’auteur limite à quelques concepts présents aujourd’hui partout “enseignements aux enfants”, “apprendre un métier”, “la charité”, des synagogues pour prier (euh ? Pour prier qui?), des tribunaux, “l’ouverture aux autres”. Où sont passés les 613 commandements juifs dont le Chabat ? l’Etude la Torah ? la Cacheroute ? les fêtes juives ?

Vous voyez une différence avec le christianisme d’aujourd’hui vous ?

L’auteur affirme que les conversions au judaïsme sont souhaitées, encouragées, bénies, jamais forcées et affirme que les rabbins ultra orthodoxes (j’adore ce mot ultra) d’aujourd’hui sont particulièrement restrictifs. Analyse t’il ce que pensent ces rabbins orthodoxes ? Non… Essaye t’il de comprendre en quoi les rabbins d’aujourd’hui sont restrictifs ? Non… Annonce t’il le nombre de conversions orthodoxes chaque année ? Non…. (ce sujet est d’ailleurs intéressant et j’y reviendrai sans doute un jour mais parler de “restriction” n’est pas du tout adapté. Ces rabbins demandent juste une véritable conversion qui adhère à tous les principes du judaïsme car il vaut mieux pour l’homme de ne pas être juif qu’être un juif non pratiquant).

L’auteur a son avis que l’on ne comprend pas… l’auteur n’essaye pas de comprendre l’autre et n’en parle pas, ne donne pas d’autres avis afin de décrire ce qu’il se passe et pourquoi certains ne penseraient pas (ou peut être pas) comme lui. Non, l’auteur balaye le judaïsme orthodoxe d’un revers de main comme il le fait souvent dans cet ouvrage.
Que le Judaïsme soit aujourd’hui dirigé même en France par des Rabbins orthodoxes (Grand Rabbin Bernheim, Grand Rabbin Sitruk) n’a aucune importance dans cet ouvrage. Ils n’existent pas.

L’auteur affirme aussi que les régles de Kashrout (le fait de manger Kasher) sont “pour l’essentiel, l’hygiène et qui englobe tout ce qui vient de la bouche, c’est à dire tout ce qui se mange et tout ce qui se dit” (Page 25). Bizarre… utiliser le terme de Kashroute pour “ce qui se dit” est, à ma connaissance (je me trompe peut être), utilisé par les chrétiens qui ont d’ailleurs abandonné les régles de Kashroute de la Torah. La Kashroute est citée dans l’introduction du livre sur 4 lignes mais ne mérite pas non plus une entrée dans le dictionnaire amoureux. L’auteur ne justifie en rien en quoi la kashroute aurait un lien essentiel avec l’hygiène. Pourquoi est ce que la Kashroute interdit de manger de la viande avec du lait ? des animaux n’ayant pas de sabots fendus ? Quelle rapport avec l’hygiène ? D’ailleurs, l’auteur mange t’il Kasher finalement ?

Toutes les notions citées dans l’ouvrage sont vagues… très vagues… L’auteur avance des opinions sans justifications. Il affirme qu’il y a une obsession juive d’étudier ou de discuter mais non, Jacques Attali ne discute pas, il affirme des opinions de manière tranchée.

Je ne vais pas traiter de tous les sujets et toutes les incohérences de cet ouvrage, mais je vais citer quelques derniers exemples.
Traitant du Chabbath (7e jour de la semaine débutant le vendredi soir et se clôturant le samedi soir, comme on le sait), l’auteur dit que pendant les 18 premières années de sa vie, il participait au “qidouch” avec ses parents (bénédiction sur une coupe de vin destinée à séparer Chabbat des autres jours de la semaine). Que s’est-il donc passé après ses 18 ans ? Pourquoi l’auteur ne participe plus au qidouch ? Il ne le dit pas. Si le judaïsme de son père était une pratique entière du judaïsme (pas vraiment, comme nous le voyons ci-dessous), pourquoi ne pas au moins faire la même chose que lui ? Pourquoi affirmer que faire moins resterait du judaïsme ?

Il affirme que ses parents travaillaient quand même ce jour-là, tout en disant que son père lui expliquait que Chabbath permettait de prendre de la distance avec son travail. Il faut prendre de la distance, mais on travaille quand même ? Comment expliquer ce paradoxe ? Le but de ce livre est-il de traiter d’un judaïsme incohérent ? de notions abstraites que l’on ne s’appliquent pas à soi même ?

Pourquoi parler de la Hagada de Pessah (relatant l’esclavage, les plaies et la sortie d’Egypte) et affirmer aimer ce texte alors que celui-ci traite donc d’un mythe ? Les juifs seraient donc des bœufs qui fêteraient des événements n’ayant jamais existé sans aucune raison ? juste symboliquement ?

L’auteur parle du prophéte Jérémie qui est aussi le prénom de son fils (et le mien), parle de ce prophète qui mettait en garde le peuple juif de la punition divine qui arrivait. Qu’est ce que vient faire la punition divine dans le judaïsme de Jacques Attali? Puisque l’on peut être juif et athée ? comment tout cela peut s’assembler ? peut être cohérent ? Oui, le Judaïsme est encore ici un grand mic-mac incompréhensible

Je vais finir par un dernier point important:
L’auteur, dans son dictionnaire, ne traite pas du Temple de Jérusalem (il le cite seulement), pourtant pilier de toute la croyance juive et objectif central de toutes nos prières et de tout le service divin (nous prions pour sa reconstruction 3 fois par jour tous les jours de notre vie). Non, l’auteur a balayé ce Temple qui n’a pas l’air si important pour ce judaïsme là… l’auteur n’y traite d’ailleurs pas de l’importance de la prière non plus.

Jacques, en lisant votre livre, j’ai d’abord été choqué… puis j’ai eu de la peine… beaucoup de peine que votre judaïsme soit aussi vide que cela, beaucoup de peine que bon nombre de juifs en quête d’identité se retrouvent avec votre livre entre leurs mains…

Vous reprenez principalement des thèses de Baruch Spinoza qui remettait en cause toute l’histoire juive et tout le judaïsme sans en avertir le lecteur qui s’attend à avoir une vision globale de Judaïsme. Le lecteur ne sait pas que vous allez traiter d’un courant de pensée et d’une thése incohérente et incompatible avec toute notre tradition (Aucun des 35000 livres présents sur Hebrewbooks.org ne cite une telle thèse)

Non Jacques, vous n’êtes pas amoureux du judaïsme…Vous êtes en train de l’abandonner comme bon nombre de Juifs. Vous citez vous même le problème de l’assimilation mais le judaïsme que vous pratiquez ne permet pas de s’en protéger.

Oui Jacques, vous vous sentez toujours juif car vous êtes toujours sous contrat avec Dieu, mais vous n’en respectez pas les clauses pour l’instant.

Nous l’aurons compris, le titre de ce livre n’est finalement dû qu’au fait qu’il fasse partie d’une collection de Dictionnaires amoureux aux éditions Plon Fayard (Dictionnaire amoureux de la médecine, de l’Egypte, de la chasse, de la justice, des chats) mais tout comme vous n’aurez peut être pas choisi le Judaïsme comme religion, je ne pense pas que vous auriez choisi ce titre s’il ne vous était pas imposé.

Je vais donc vous en proposer d’autres

Dictionnaire du judaisme détesté
Dictionnaire du judaisme abandonné
Dictionnaire du judaisme décomposé
Dictionnaire du judaisme incohérent
Dictionnaire du judaisme incompris
Dictionnaire du judaisme en voie de disparition

Je me ferais un plaisir de discuter avec vous d’amour du véritable Judaïsme*… et d’écrire la 2nde édition de votre ouvrage à vos côtés mais en attendant, n’hésitez pas à revenir sur celui-là. Vous ne vous rendez pas compte du désastre que vous pouvez générer.

*Évidemment, certains pourront me dire que je ne peux pas moi même définir ce qu’est le véritable judaïsme dont je parle. Je réponds tout simplement, que ce judaïsme là doit être complètement cohérent avec notre histoire, notre torah, nos traditions et notre morale. Tout ce judaïsme doit être 100% cohérent en lui même.
Il n’y a que le judaisme orthodoxe qui a su répondre à l’ensemble de mes problématiques à ces sujets. Aucun autre… et je suis prêt à répondre à toutes les incohérences que d’autres y décèleront.

23 commentaires
je suis tout a fait d'accord avec jeremie
attali ne connait rien du judaisme et les gens qui pensent qu'on peut etre athée et juif sont les artisans de la perdition du judaisme
car etre juif c'est croire en D achem lire la torah appliquer les 613 mitsvot
c'est pas comme viviane et hilda le dit vivre sans principe ni morale ni pudeur En colère ! En colère ! En colère !
Envoyé par Nadine_005 - le Dimanche 7 Juin 2009 à 11:53
serge tu as quelle age ? car attali a ecrit dans "l'homme nomade" qu'il fallait inciter l'euthanasie des plus de 65 ans car trop cher pour la societé des parasites qui coutent trop cher a la secu
mais sur l' avenir du judaisme a cause des mariages mixtes avec des femmes non juives c'est vrai il a raison c'est inquietant.
et que la liberté etait symbolisé par le suicide dc il faut encouragé le suicide
en effet il a dfinitivement tourné le dos au judaisme quelle egaré si je puis me permettre
Envoyé par Nadine_005 - le Dimanche 7 Juin 2009 à 13:08
à Nadine,
je suis surpris de vos propos tranchés !?
on peut être Juif et athée, à partir du moment où l'on se rattache à l'Ethique juive, à sa culture
me semble-t-il....
pour ma part je suis pratiquant et croyant...
mais j'ai vu dans des communautés juives, des athées être très présent, participer même à des Talmud Torah
donc ce n'est pas si simple...
de plus Israël a été l'oeuvre de Juifs qui pour la plupart état athées ou agnostiques...
les religieux au départ étaient pour le moins distant vis à vis du sionisme
ils ont pris le train en marche après la guerre de 6 jours...
un peu de nuances
la judaîté est complexe, elle possède des dimensions, ethniques, nationales, culturelles, religieuses
qui ne se recoupent pas forcèment
Chalom Sourire
Envoyé par Bernard_050 - le Dimanche 7 Juin 2009 à 13:49
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 3 minutes