Tous les pays
européens n'ont pas leur Dupont-Aignan déchirant devant les caméras des faux
billets de 10 euros pour manifester leur détestation de la monnaie unique.
Dupont Aignan candidat de la sortie de l'euro
envoyé par dlrtv. - L'actualité du moment en vidéo.
Mais
tous sont le théâtre d'une montée du souverainisme exacerbée par la crise
économique et l'apparente impuissance des institutions communautaires à la
maîtriser. Il y a bien sûr les partis d'extrême droite qui ont fait leur miel
du désarroi de populations qui se sentent à la fois dépossédées des moyens de
réagir et menacées par «l'invasion» ?«l'occupation»,
a dit Marine Le Pen dans une formule trop française ? des étrangers. Ils ont
gagné des points à toutes les élections récentes, dans la plupart des Etats
européens, même dans ceux qui semblaient immunisés contre ce genre de dérive,
comme la Suède.
Mais ce ne sont pas toujours les formations de l'extrême droite
traditionnelle. Ils se sont «modernisés». Ils ont abandonné leur
antisémitisme viscéral. Hans-Christian Strache, le jeune chef du FPÖ, le parti
«libéral» autrichien longtemps dirigé par Jörg Haider qui a
récupéré pendant longtemps les nostalgiques de l'Anschluss, vient de faire un
voyage en Israël. Une première! Son parti a recueilli 25% des suffrages
aux dernières élections municipales de Vienne, un fief socialiste, et est crédité
du même score au niveau national. L'anti-européisme et la haine de l'autre ?le
musulman a pris la place du juif' constituent l'essentiel de son fond de
commerce.
Et pourtant les
Autrichiens ne sont pas les plus à plaindre. Sans être passés à travers les
gouttes de la crise, ils s'en sortent plutôt mieux que les autres, à l'instar
de leurs voisins allemands. Ceux-ci sont immunisés par l'histoire contre le
poison de l'extrême droite. Les courants xénophobes ne sont pas absents mais
ils restent marginaux. La peur de l'étranger ne s'en exprime pas moins
ouvertement quand elle peut prendre une forme présentable, salonfähig disent les Allemands. Digne de figurer dans les salons. Le
livre de Thilo Sarrazin, L'Allemagne court à sa perte (à cause de
l'immigration), a fait un tabac. L'auteur était membre du conseil
d'administration de la Bundesbank et adhérent au Parti social-démocrate.
Pour les Grecs ou les
Irlandais, qui ont défilé contre les mesures d'austérité imposées par l'Union
européenne et le Fond monétaire international, les institutions internationales
servent de boucs émissaires. Tous ne réagissent pas de la même façon. Certains
pensent même que l'intervention extérieure est bienvenue pour mettre fin à des
excès ou des dérives. Mais même chez les gouvernants qui n'ont guère d'autre
choix que de passer sous les fourches caudines des «marchés», la
tentation est grande de faire porter à l'Europe et/ou aux banquiers apatrides
la responsabilité des sacrifices qu'ils infligent à leurs électeurs.
Toutes ces réactions
ne doivent pas être confondues avec la poussée des forces d'extrême droite bien
que celles-ci fleurissent sur ce terreau. Le souverainisme, cette croyance
qu'on s'en sortirait mieux si on était livré à soi-même dans un cadre national,
peut prendre des formes plus anodines, et quasi-officielles. Exemple la
Hongrie: le nouveau gouvernement de droite issu des élections d'avril
2010 qui lui ont donné une majorité des deux tiers au Parlement, a claqué la
porte au nez du FMI, nationalisé les fonds de pension privés et renvoyé aux
calendes l'adhésion à l'euro. Compter sur ses propres forces: le très
conservateur Premier ministre Viktor Orban a adopté le slogan maoïste.
La variante hongroise
est une forme exacerbée de souverainisme officiel. Il en est de plus
insidieuses. La chancelière Angela Merkel serait sans doute indignée d'être
taxée de souverainiste, mais sa politique qui consiste à préserver jalousement
un droit de veto dans toutes les matières financières européennes, nourrit ce
soupçon. Jean-Claude Junker, le Premier ministre luxembourgeois, l'a qualifiée
de «a-européenne». Angela Merkel n'est pas la seule dans le cénacle
des 27 chefs d'Etat et de gouvernement.
Son prédécesseur à la
chancellerie, Gerhard Schröder, avait déjà montré la voie. Il n'en reste pas
moins que l'Allemagne jadis pionnière de la méthode communautaire et de la
solidarité européenne quand elles lui étaient profitables, est devenue une
adepte de l'intergouvernemental. Un mot barbare du jargon bruxellois pour signifier
que les intérêts nationaux passent avant l'engagement en faveur de
l'intégration. Afin de justifier leur tiédeur européenne, les dirigeants
allemands s'abritent derrière le Tribunal constitutionnel de Karlsruhe qui a
rappelé à plusieurs reprises le primat de la souveraineté du peuple allemand et
de ses institutions représentatives. Mais il a chaque fois ajouté: en
l'absence d'une véritable démocratie européenne.
Qui, aujourd'hui,
songe à construire cette démocratie' Personne. Alors qu'une des solutions
à la crise de l'euro et de l'Europe passe par des progrès dans l'intégration,
les dirigeants avancent à reculons, n'écornant les égoïsmes nationaux que
contraints et forcés par une aggravation des tensions monétaires. Les peuples
ne veulent pas d'une intégration plus poussée, dit-on. Mais comment les
détourner de leurs réflexes souverainistes, si les responsables eux-mêmes y
succombent.
Daniel Vernet
A mon sens, une action d'envergure contre les sites nucléaires iraniens est inévitable parce qu'indispensable de la manière la plus absolue.
Israël ne peut ni courir le risque d'une deuxième Shoah ( UNE SEULE charge nucléaire au but détruirait le peuple et l'Etat ), ni celui d'un chantage permanent à la destruction.
Il ne peut se reposer sur les doctrines de la dissuasion, parce que celles-ci ne valent qu'avec un adversaire pleinement rationnel - ce qui n'est pas le cas des fanatiques mahdistes iraniens.
Israël ne peut pas non plus abandonner son rôle de " cheval fort " , sa suprématie militaire et voir celle-ci passer entre les mains d'un pays qui a déjà commencé à placer dans sa zone d'influence et sous sa coupe des Etats comme le Liban et la Syrie et qui, une fois sa puissance nucléaire confirmée, y entraînerait inévitablement la Jordanie ( les manoeuvres en ce sens ont déjà commencé ), l'Arabie séoudite puis l'Egypte.
Je tiens donc que l'attaque des sites nucléaires iraniens par Israël est indispensable.
Mais le renforcement des blindages et des protections de ces sites va rendre inévitable l'emploi de matériels offensifs dotés d'un grand pouvoir de perforation et de destruction : en clair, il faudra sans doute utiliser des engins à uranium appauvri ( comme ce fut fait
d'ailleurs, par l'OTAN au Kosovo et en Serbie ). De quel degré devra être l'appauvrissement ? - Je n'en sais rien, n'étant nullement un spécialiste. Mais, plus il sera laissé de temps à l'Iran pour renforcer les protections de ses installations, plus il faudra frapper fort - c'est-à-dire plus augmentera le risque de nucléarisation de certaines zones et régions de l'Iran.
Shalom à tous , votre ami Jonathan_13
Il etait 8h ce matin...Juif.org ,ce serait bien si le blog pouvait etre mis à jour en temps réel
Il y a 29 minutes - Juif.org
Miracle au sud d’Ashkelon : une roquette a explosé près d’un jardin d’enfant dans un kibboutz du conseil régional de la côte d’Ashkelon mardi matin, alors que des dizaines de parents amenaient leurs enfants à l’école maternelle.
Un certain nombre de personnes ont été blessé, dont une jeune fille de 14 ans qui a été touché par des débris de verre. Elle a été transférée à l’hôpital Barzilai d’Ashkelon. D’autres ont souffert de choc, dont un jeune garçon et un chauffeur de camion transportant de l’essence. Les deux ont été évacués par les ambulanciers du Magen David Adom.
La roquette a explosé vers 8 heures, quelques secondes après que la sirène « code rouge » ait retenti. Les résidents se sont précipités pour se mettre à couvert. Le blessé de 14 ans était dans sa maison, non loin de l’école maternelle.
Alors de quel danger vous parler?
Envoyé par Adel
Adel
Tu m'as l'air d'être un expert en la matière, il faut combien de temps pour que refroidisse un fût?
Le même temps que pour construire une bombe nucléaire.
Tu peux attendre de te faire cambrioler pour blinder ta porte.
Mais si aprés des années de menaces, pour demander à ce que la force publique intervienne, tu attends encore que tes enfants se fassent agresser, c'est que tu es un irresponsable.
Si l envie en prenait à ces malades d'envoyer un quelconque missile sur notre terre, ils seraient vitrifiés ainsi que leurs peuple et leurs amis, plongeant par la même le monde dans le chaos. Le plus inquiétant c est de voir tous ces pays soit disant civilisés qui laissent faire et qui n ont pas pris consciences de la répétition de l'histoire à un argument prêt. Israël est là pour les juifs.
c'est toi qui bissif veut nous persuader qu'il n'y a rien à craindre, malgré toutes leurs declarations de menace.
dors si tu veux, mais en quoi ça t'empêche de vivre normalement qu'israel soit sur ses gardes?