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Culture Israël

Gaza : D. Barenboïm dirigera un "concert de la paix" demain

Le chef d'orchestre israélo-argentin Daniel Barenboïm dirigera un "concert de la paix" demain dans la bande de Gaza, à la tête d'un orchestre composé de musiciens européens.
27 commentaires
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Envoyé par Joseph_075 - le Lundi 2 Mai 2011 à 12:54
De toute façon ce Barenboim c'est un traitre anti sioniste...
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Lundi 2 Mai 2011 à 13:08
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Envoyé par Joseph_075 - le Lundi 2 Mai 2011 à 14:14
Et alors, il fait quoi d'autre que de vendre ses amis en critiquant le Sionisme a longuer de temps et en pactisant avec nos ennemis... C'est un traitre a son peuple.
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Lundi 2 Mai 2011 à 15:06
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Envoyé par Joseph_075 - le Lundi 2 Mai 2011 à 15:31
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Envoyé par Joseph_075 - le Lundi 2 Mai 2011 à 15:37
tu semble manquer singulierement d'information... evite de afirmer de choses que tu ne sais pas

Daniel Barenboim, né le 15 novembre 1942 à Buenos Aires, est un pianiste et chef d'orchestre de nationalité argentine et israélienne. En 2002, il reçoit la nationalité espagnole et depuis janvier 2008, il est également porteur d'un passeport palestinien.
En 2005, Daniel Barenboïm avait refusé d'accorder une interview à la radio de l'armée. « Vous n'avez pas honte de vous présenter devant moi, en uniforme », avait-il lancé à une jeune soldate qui lui tendait son micro.

N. O. - Le 15 mai, Israël va fêter l'indépendance, et il y aura des contre-manifestations en Palestine. Qu'allez-vous faire, à Paris ou ailleurs ?
D. Barenboïm -A Paris, ce serait trop facile. Je vais organiser un concert à Tel-Aviv, qui s'appellera «Jour de l'Indépendance-Al Nakba», qui veut dire «la catastrophe», parce que c'est ainsi que les Palestiniens nomment ce jour-là. On ne peut pas fêter l'un en oubliant l'autre. Ce sera donc un concert israélo-palestinien. Il y aura des musiciens du conservatoire que nous avons fondé pour les Palestiniens à Nazareth, le Conservatoire Barenboïm-Said.
En 1966, j’ai rencontré à Londres la violoncelliste Jacqueline du Pré. Nous sommes tout de suite tombés amoureux et avons décidé de nous marier. De son propre chef, elle a décidé de se convertir, sans doute en pensant aux enfants que nous pourrions avoir. Et c’est ensemble, alors que la guerre semblait inévitable et que les tanks étaient en chemin, que nous avons pris, le 31 mai 1967, l’un des derniers vols de passagers pour Israël, afin d’y donner des concerts. La musique était notre arme.

Jusque-là, je n’avais guère rencontré de Palestiniens et ne m’étais pas préoccupé de leur sort. On nous les décrivait comme ignorants, voleurs, dénués de culture. On affirmait qu’ils étaient tous partis, en 1948, parce qu’ils n’acceptaient pas l’Etat hébreu. La vérité, c’est que dans le meilleur des cas on les avait encouragés à partir et dans le pire on les avait jetés dehors !En1970, après le fameux Septembre noir qui vit le massacre de milliers de Palestiniens par les troupes du roi Hussein de Jordanie, Golda Meir, le premier ministre israélien, s’est exclamée : « Qu’est-ce qu’on a à nous parler des Palestiniens ? C’est nous le peuple palestinien ! » Ce fut pour moi un choc et un éveil. Notre attitude m’est apparue soudain moralement inacceptable, et j’ai commencé à m’intéresser à ceux qui, contrairement à l’opinion commune en cours, avaient déjà peuplé notre sol avant que nous nous y installions. Il n’était que temps, j’avais 27 ans !

Tout a changé, de toute façon, après la guerre des six jours. Israël s’est résolument tourné vers les Etats-Unis. Les traditionalistes ont dit :« Pas question d’abandonner les nouveaux territoires : ils ne sont pas occupés, ils sont libérés. » Les religieux ont renchéri : « Ils ne sont pas uniquement libérés, ce sont des territoires “bibliques” libérés. » Adieu, le socialisme.

Au lieu de se comporter en conquérant responsable du sort des conquis, comme l’aurait voulu la règle, Israël a agi envers les Palestiniens avec le plus grand mépris. Où sont les écoles, les hôpitaux, les conservatoires qu’il aurait dû avoir à coeur de construire sur la rive ouest du Jourdain ? Pourquoi la survivance de ces camps de réfugiés misérables, quand il aurait été si facile pour l’armée de les remplacer par des logements décents ?

Tout serait alors différent ! Réalise-t-on que 85 % des Palestiniens vivant dans les territoires ont moins de 33 ans et n’ont pas connu une autre vie ? On sait que la haine se transmet de génération en génération. On a manqué non seulement d’humanité, mais aussi de vision. Où est il passé, le mythe de l’intelligence juive ? Comment ne pas comprendre que notre obstination à ne pas reconnaître l’histoire met en danger l’existence même d’Israël ?

La violence n’a fait que succéder à la violence, la guerre aux attentats terroristes. Cela a longtemps fait la une des journaux. Aujourd’hui, c’est en pages intérieures, « notre » conflit étant désormais englobé dans une crise plus mondiale. Mais le drame demeure. Chaque nuit, les Israéliens rêvent qu’à leur réveil les Palestiniens auront disparu, et les Palestiniens rêvent qu’au petit matin les Israéliens seront repartis.

Je fais, moi, un autre rêve. D’abord qu’on reconnaisse qu’il n’y a pas de solution militaire pour résoudre le conflit. Annapolis est une caricature, et chaque triomphe militaire israélien n’a fait qu’affaiblir politiquement Israël. Ensuite, qu’on revienne sereinement à la source du problème, qui est la conviction, partagée par deux peuples, d’avoir le droit de vivre sur le même territoire. C’est là-dessus qu’il faut se concentrer.

Il faut avoir le courage d’affronter le passé. Les Palestiniens ont besoin que les Israéliens reconnaissent que la terre qu’ils ont investie et dont ils ont voulu faire leur propriété exclusive après la tragédie de la Shoah – avec l’assentiment du monde occidental rongé de culpabilité – était déjà peuplée. Les Israéliens ont besoin que les Palestiniens acceptent la légitimité de l’Etat d’Israël. Les Palestiniens ont besoin de justice, les Israéliens de sécurité. Toute violence est contre-productive. Les destins de nos deux peuples sont inextricablement liés.

Envoyé par Israel, Eden_001 - le Lundi 2 Mai 2011 à 16:12
Je vais te dire une chose rapide et cash...
les gens de gauches ou sympatisants qui on quelque compassion que ce soit pour les palestinien ils me casse les c..ll.s .
Les donneurs de leçons egalement et j'ajouterais dans la corbeille de la marié ceux qui parlent sans savoir

viens vivre 6 mois en Israel et tu diras ensuite ce que tu en pense, mais pas au kiboutz, trop facile, non tu prend un appartement tu trouve un travail et le tout de preference pres de la frontiere, je te laisse le choix...
Alors barenboim il peut aller se faire enc.......
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Lundi 2 Mai 2011 à 16:17
Je ne le pense pas et je me batterai pour qu'il ai droit à la parole comme tout un chacun.
Envoyé par Joseph_075 - le Lundi 2 Mai 2011 à 15:31
ça s'eleve à combien les droit d'auteur pour Voltaire... antissemite lui aussi d'ailleurs
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Lundi 2 Mai 2011 à 16:20
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Envoyé par Joseph_075 - le Lundi 2 Mai 2011 à 16:46
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 6 minutes