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Culture Israël

Si la fiction israélienne s'exporte si bien, c'est justement à cause de son identité

Si la fiction israélienne s'exporte si bien, c'est justement à cause de son identité - © Slate .fr
Quand BeTipul a été adaptée aux Etats-Unis pour devenir In Treatment en 2008, Israël a débarqué dans le monde des séries cultes. Ça aurait pu être un succès sans lendemain. Mais il y eut ensuite Hatufim, (devenu Homeland), Mary Lou, Ta Gordin, Pillars of Smoke, Arab Labor, Mom and Dad's, Hostages, Mekimi... Et Israël fut soudain célébré comme «la terre promise des séries». Il est logique que ça ne se soit pas fait plus tôt: le marché des séries est jeune en Israël. La première chaîne commerciale, Channel 2, a été lancée en novembre 1993, mettant fin à vingt-cinq ans de monopole de l'Autorité de radiodiffusion israélienne et de programmes vieillots qui se terminaient à minuit passé. Il fallait bien un peu de temps pour arriver à maturité. Mais depuis que ce marché s'est développé, l'étroitesse du pays (8 millions d'habitants) lui a donné l'habitude de se tourner, comme dans d'autres secteurs, vers l'étranger. Notamment vers les Etats-Unis, avec lesquels le pays entretient des rapports privilégiés. Surtout, concernant le divertissement, depuis que l'actrice et productrice américano-israélienne, Noa Tishby, ayant entendu parler de Be Tipul pendant ses vacances en Israël, et décidé de tout faire pour l'importer aux Etats-Unis, a réussi à la vendre à HBO, initiant un mouvement de fond. S'est ensuivi un effet de mode: les premières séries israéliennes qui ont attiré la lumière ont contribué à ... Lire la suite
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Dernière mise à jour, il y a 3 minutes