Israël : Défense au Moyen-Orient

...HEBRON SE TROUVE EN TERRE D'ISRAEL ????
ALORS DEBERRASSONS CETTE VILLE ISRAELIENNE DE SES TERRORISTES ISLAMISTES !!!!!!
AINSI QUE NAZARETH , JERICHO , .............ET AUTRE JERUSALEM-EST

vacances tranquilles dans son pays ? et beinh non !!!! pourquoi ? à lire ci-dessous....

Le voyage en Israël de cinq Juifs américains a tourné au cauchemar vendredi après-midi, lorsqu'ils ont été agressés par un groupe de jeunes hommes ivres avec des barres métalliques, des pierres et des chaises sur la plage de lac de Tibériade, au cours d'une attaque gratuite et brutale.


Issac soigné à l'hôpital vendredi.
Photo: courtesy , JPost
Isaac, 21 ans, qui a demandé que son nom de famille ne soit pas cité, a décrit sa douloureuse expérience au Jerusalem Post, quelques heures avant son vol retour vers les États-Unis, où il va subir un examen pour s'assurer de n'avoir subit aucune lésion cérébrale.

« J'étais en Israël et je suis Juif. Je suis venu ici pour différentes raisons, mais j'ai toujours pensé que c'était le lieu où je pouvais être en sécurité. Les hommes qui nous ont attaqués étaient Juifs eux aussi », a t-il déclaré.

Après avoir étudié pendant un semestre à l'Université hébraïque de Jérusalem, Isaac s'est porté volontaire pour apprendre l'anglais à des demandeurs-d'asile et à des travailleurs migrants. Avec quatre autres Américains qui participent à ce programme, il prenait une semaine de repos sur la côte est du lac de Tibériade.

« A côté de nous, un groupe de 10 jeunes hommes parlaient et chantaient en hébreu. Ils buvaient. L'un d'entre eux s'est approché, criant à l'un de mes amis qu'il ressemblait à sa petite amie. Il lui a donné un coup de boule, et mon ami a commencé à saigner. »

Mais ce n'était que le début. Trois jeunes hommes s'en sont ensuite pris à Isaac.

« On a réussi à aller sur la rive. Ils nous ont alors lancé des pierres et des chaises en bois. L'un d'entre eux m'a frappé plusieurs fois sur la tête à l'aide d'une chaise, jusqu'à ce qu'elle se fende. »

Isaac a alors fui ses agresseurs en courant. Sur la plage, il a rencontré une famille arabe, dont une vieille femme et des enfants.

« Ils nous ont dit qu'on était en sécurité, que personne ne nous attaquerait avec eux. Alors les agresseurs sont arrivés et s'en sont pris à la famille, qu'ils ont bombardée de pierres. Une barre métallique m'a ensuite brisé le dos, et ils m'ont balancé une pierre en pleine tête. J'étais couvert de sang, mon front était ouvert », a t-il poursuivi.

Un groupe de kibboutznikim est alors arrivé. L'un d'eux était médecin et a fourni les premiers soins médicaux. Un autre a appelé la police.
« Les jeunes agresseurs sont alors montés dans leurs voitures, mais la famille arabe et les kibboutznikim se sont mis devant les véhicules, formant une barrière humaine pour les empêcher de s'enfuir. Mais ils ont roulé à 40 ou 50 kilomètres heures en direction du groupe. S'ils ne s'étaient pas mis à l'écart, il y aurait eu des morts. »

Les agresseurs ont été stoppés dans leur fuite par la police qui arrivait au même moment. Ils ont déclaré à la police être ceux qui se faisaient agresser, les implorant de partir, car leur vie était en danger. Les policiers ont noté leur numéro d'immatriculation avant de laisser les agresseurs s'enfuir.

La police a utilisé le numéro d'immatriculation pour retrouver l'un des agresseurs, de 25 ans, originaire de Kiryat Ata, actuellement en garde à vue.

Le commandant Efi Partuk, chef de la police de Tibériade, a déclaré au Jerusalem Post qu'une enquête interne avait été lancée, pour examiner l'attitude des policiers qui ont laissé s'enfuir les agresseurs. Mais il a ajouté que leur confusion pouvait se comprendre, au vu du chaos qui régnait sur les lieux.

« Quand les officiers de police sont arrivés sur les lieux, voyant des gens qui semblaient fuir une agression, leur première considération a été leur sécurité. Ils ont noté les plaques d'immatriculation. Je ne pense pas qu'il faille les juger de façon négative. »

Il a ajouté que la police travaille 24 heures sur 24 pour retrouver les autres agresseurs.