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Israël : Défense au Moyen-OrientVers une troisième intifada'La tension est perceptible dans les territoires de Cisjordanie depuis plusieurs semaines. Des entrefilets dans la presse annoncent régulièrement des incidents. La recrudescence d'actes de terrorisme contre des civils ou des militaires inquiète les experts israéliens. Des cocktails Molotov ont été lancés au passage de véhicules. De nombreux jets de pierre ont lieu quotidiennement sur des voitures ou des autocars circulant en Cisjordanie. Les troubles se sont propagés à Jérusalem où le Fatah, le parti du président Mahmoud Abbas, a appelé les palestiniens à manifester en masse pour marquer leur solidarité avec la mosquée Al-Aqsa et pour rappeler que Jérusalem reste la «capitale éternelle de l'Etat palestinien indépendant». Des renforts de policiers ont été dépêchés à Jérusalem et dans plusieurs ville de Cisjordanie afin d'éviter les troubles lors de la prière du vendredi sur le Mont du Temple. Le Hamas en profite pour appeler à «faire chuter le régime de Mahmoud Abbas et lancer une intifada». La situation est prise au sérieux par les dirigeants israéliens qui voient dans ces signes avant coureurs une tentative de lancer une troisième intifada. La première appelée «guerre des pierres» avait débuté le 9 décembre 1987 tandis que la seconde, appelée «intifada Al-Aqsa», avait été lancée le 29 septembre 2000 à la suite de la visite d'Ariel Sharon sur l'esplanade du Mont du Temple. Chacune de ces révoltes, aux motivations différentes, constituait à la fois un affrontement direct avec les Israéliens et une réponse collective à des problèmes internes au peuple palestinien. Les jeunes tenaient à manifester leur colère contre les échecs et les divisions de leurs dirigeants accusés de népotisme et de corruption. Une étincelle a entrainé la première intifada. Un accident de la route, le 9 décembre 1987, impliquant un camion israélien et une voiture palestinienne, a entrainé la mort de quatre passagers. Ce prétexte a donné l'occasion à la foule palestinienne d'envahir la ville de Gaza pendant les funérailles et de s'en prendre à l'armée israélienne dans le camp de réfugiés de Jabalya. Les réelles motivations étaient à chercher ailleurs. Les manifestants de 1987 tenaient à prendre en main leur combat, jusqu'alors géré par leurs dirigeants de l'étranger, et voulaient s'opposer aux luttes de factions en réclamant « l'unité nationale » et en fustigeant la désunion et la discorde. De nouveaux visages, jeunes pour la plupart, ont alors bataillé avec la vieille garde totalement dépassée. Israël a réagi avec brutalité à cette première intifada qui a été déclenchée sous le gouvernement de droite de Yitzhak Shamir et qui s'est poursuivie sous celui du travailliste Yitzhak Rabin. Les Premiers ministres estimaient qu'il fallait écraser la révolte avant qu'elle ne se propage mais ils s'étaient complètement trompés sur son origine en imputant à tort à Yasser Arafat l'instigation de la révolte dans le but de redorer son blason. Les jeunes avaient agit d'eux-mêmes. La deuxième intifada a été déclenchée dans la foulée des accords d'Oslo de 1993 qui avaient suscité beaucoup d'espoir mais qui avaient débouché sur un processus stérile puisque la situation sur le terrain n'avait pas évolué à l'exception d'une certaine autonomie financière obtenue par la direction palestinienne. Cette deuxième révolte a été à l'origine de l'arrivée au pouvoir d'Ariel Sharon et, parallèlement, de la cassure du mouvement palestinien en deux entités antagonistes Fatah et Hamas. Elle eu pour conséquence d'inciter les Israéliens à créer le mur de protection et à multiplier les colonies de peuplement chargées de mailler la Cisjordanie à des fins sécuritaires. Aujourd'hui la troisième intifada, qui semble poindre à l'horizon, est liée au dilemme auquel est confronté le peuple palestinien dans le choix de l'une des trois stratégies qu'il peut suivre pour sortir de son conflit avec Israël. La première est diplomatique. Le président palestinien Mahmoud Abbas s'est rendu aux Etats-Unis pour obtenir des Américains leur implication plus directe et plus active dans le processus de paix. Or, plusieurs mois après l'arrivée de Barack Obama à la Maison-Blanche, la situation reste figée et la diplomatie américaine est mise en échec. Benjamin Netanyahou s'est opposé ouvertement au gel de l'extension des implantations israéliennes et n'a pas aidé le président palestinien à se prévaloir d'une quelconque avancée politique. La persistance du blocus de Gaza déconsidère Mahmoud Abbas vis-à-vis de ses compatriotes. Le deuxième choix implique une résistance civile, non violente, prônée au cas où les palestiniens veulent éviter une rupture totale avec le gouvernement israélien qui repousserait alors aux calendres grecques tout espoir de solution permettant l'émergence d'un Etat palestinien. Le cessez-le-feu a déjà été expérimenté en Cisjordanie et il avait pour avantage de ne pas porter atteinte aux conditions économiques de la population. Même si l'occupation militaire est reconnue comme humiliante et difficile, l'amélioration des conditions de vie est réelle tandis que le monde arabe se satisfait de cette situation de ni guerre ni paix. La troisième approche reste la résistance violente, l'intifada, au moyen d'attaques contre les militaires et les civils israéliens. Bien qu'elle soit justifiée par une minorité de palestiniens, elle semble aujourd'hui avoir la faveur des jeunes qui ne se satisfont plus d'une réaction timorée de dirigeants espérant toujours que le salut viendra de l'étranger. L'incitation du Hamas, qui a fait la preuve de son efficacité à Gaza, à s'opposer à la fois à la direction actuelle palestinienne et à Tsahal commence à germer dans les esprits. Le seul frein à cette option réside dans la dépendance vis-à-vis de l'économie israélienne d'autant plus que les palestiniens ont volontairement modifié leur structure sociale en réduisant le nombre d'agriculteurs au profit d'un prolétariat qui s'expatrie en Israël. La situation politique est à présent bloquée et plusieurs signes annonciateurs donnent à penser que les mêmes causes risquent de produire les mêmes effets. En 1987, un officier israélien avait été tué, des camps militaires avaient été attaqués, des émeutes avaient été déclenchées dans différentes villes, des jets de pierre contre les véhicules se généralisaient et des barrages de pneus brûlés s'étendaient. Ce même type d'actions délibérées se reproduit aujourd'hui. Il reste à analyser le caractère spontané ou non de ces incidents dans les territoires. Sauf à choisir le suicide politique, le président palestinien Mahmoud Abbas n'a rien à gagner à susciter ces troubles car l'intifada est une arme à double tranchant. Le soulèvement populariserait certes auprès des milieux internationaux la question palestinienne pour qu'elle revienne au premier plan de l'actualité mais, elle risquerait de délégitimer une direction palestinienne déjà discréditée. Les pays arabes, la Jordanie en particulier, verraient d'un mauvais ?il les flambées de violence se propager au delà de leurs frontières au moment où ils sont particulièrement inquiets de l'évolution de l'Iran. Ils accuseraient la main d'Ahmadinejad d'avoir trempé dans un éventuel déclenchement d'une troisième intifada ayant pour but de détourner l'attention des occidentaux de ses centrales nucléaires. La volonté du gouvernement israélien d'intervenir rapidement et en masse pour éteindre le feu relève de cette analyse. Mais l'Etat juif pourra difficilement, comme les fois précédentes, étouffer dans l'?uf le mouvement nationaliste comme il l'avait fait à l'arrivée du Likoud au pouvoir. Il devra inventer une nouvelle stratégie quand les germes d'un soulèvement seront de plus en plus visibles en Cisjordanie. Et il risque aussi d'agir plus vite contre l'Iran pour déstabiliser tous ses soutiens palestiniens. Jacques Benillouche Lire également: Le Hamas et la tentation du djihad mondial et Pourquoi Israël attaquera l'Iran. Image de Une: Un palestinien utilise un lance-pierre contre les troupes israéliennes près de Naplouse
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65 commentaires
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Ma confiance dans les actions de Tsahal et la détermination de nos combattants n’est pas exempte de méfiance envers ce gouvernement et les raisons profondes de notre intervention. Ceux qui ont accepté le transfert forcé des Juifs du Gouch Katif, la destruction des implantations sionistes sur la Terre d’Israël sans mentionner la deuxième guerre du Liban, ne me paraissent pas les mieux placés pour sauvegarder notre avenir.
L’opération actuelle de Tsahal aurait du être réalisée dès le tir du premier Kassam. Autoriser dans l’impavide attente qu’un deuxième missile soit tiré contre Sderot a ouvert la voie au lancement de 8000 missiles sur toutes les villes avoisinant Gaza. Le soutien à l’opération « Plomb durci » qui est sans réserve ne doit pas empêcher de considérer que les préoccupations électorales des trois personnages déjà cités ont peut être pesé autant que le souci longtemps oublié de défendre la population d’Israël, de restaurer notre force de dissuasion et rétablir notre honneur national.
La certitude que notre opération militaire sera couronnée de succès est tempérée par la crainte que les decisions politiques risquent une fois de plus de priver Israël d’atteindre les buts recherchés.
Mon inquiétude provient du fait que certains dans l’actuelle équipe dirigeante étaient prêts à un nouveau cessez-le-feu avec les terroristes arabes et c’est finalement l’ennemi qui nous a poussé à la seule option restante qui aurait du être la première réalisable. Si le but de la guerre en cours est d’obtenir un cessez-le-feu, ce ne saurait être qu’une trêve plus ou moins longue. La tumeur à sa naissance peut être traitée par une intervention circonscrite mais laisser la tumeur se développer et devenir un cancer généralisé nécessite une opération définitive.
Le but d’une guerre ne peut en aucun cas être un cessez-le-feu. Il peut être la reconquête d’un territoire et il doit être la victoire sur l’ennemi, sa reddition et la destruction de toute possibilité adverse de nuire. L’ennemi doit subir une défaite telle que même l’imaginaire arabe ne puisse en faire une victoire. Si après la trêve, une seule roquette Kassam est encore tirée depuis Gaza, les terroristes verront la situation comme une victoire. Certes, on nous présentera un éventuel cessez-le-feu comme garantissant la sécurité des habitants du sud d’Israël et on nous affirmera encore une fois qu’au moindre missile, nos forces interviendront!
Pour que notre victoire soit réelle et efficace, un sentiment de défaite et de désespoir doit submerger Gaza et tous ses habitants. Ils doivent ressentir la perte non seulement de leurs « martyrs » qui partent retrouver les vierges au paradis, mais la douleur de la vie quotidienne comme résultat de leur soutien au Hamas et de leur haine viscérale d’Israël.
La guerre contre des barbares assoiffés de sang ne peut être soumise à des lois civilisées. Nous menons un match de boxe anglaise où nous respectons des règles strictes avec une main liée derrière le dos par le regard attentif d’un arbitre partial face à des équipes qui utilisent pieds, poings et armes. Ils tirent sur nos villes et nous ouvrons des passages « humanitaires » pour leur fournir de quoi s’alimenter et se soigner. Ils utilisent les ambulances, les écoles et les mosquées comme lieux de guerre et nous veillons à organiser des frappes « chirurgicales » précises.
Nous devons stopper tout convoi « humanitaire » et n’autoriser exceptionnellement leur passage qu’en échange de Guilad Shalit vivant et en bonne santé. Que la population de Gaza meure de faim et sache que c’est par la faute du Hamas si ce dernier ne veut pas libérer notre prisonnier.
Il est certain qu’une victoire ne s’obtient que par l’entrée de forces terrestres sur l’espace tenu par l’ennemi. Il est pourtant regrettable de voir nos soldats risquer leurs vies pour conquérir des bâtiments et les fouiller. Que l’aviation et les bulldozers rasent des agglomérations serait préférable et que nos journalistes cessent de parler de victimes innocentes gazaouies. Ils ont voté Hamas, défendu le Hamas, participé aux manifestations de haine, ont lancé des cris de joie pour chaque attentat criminel réussi. Ils ne sont pas plus civils et certainement pas plus innocents que les habitants d’Hiroshima ou de Dresde.
Nous devons également clairement déclarer que ceux qui font moult moulinets et s’agitent au Proche Orient pour établir un cessez-le-feu font un acte parfaitement inamical. Certains personnages politiques ne le comprennent pas encore en Europe. S’il faut attendre qu’un Kassam ou une Katioucha soit tiré de Barbes ou de Seine Saint Denis sur l’Opéra ou le Trocadéro à Paris pour qu’ils comprennent, prenons patience. Il n’y a pas longtemps à attendre!
Si le Hamastan persiste après la guerre, ce sera un exemple suivi par les terroristes arabes dits « modérés » de Judée Samarie. Ce sera surtout un encouragement à la cinquième colonne arabe en Israël qui possède la nationalité israélienne. Il est impensable de continuer à permettre à des étudiants arabes parvenus dans nos universités à Jérusalem et Haiffa grâce à la discrimination positive, de manifester en faveur du Hamas. La preuve est faite que ces ennemis de l’intérieur qui prennent la place des enfants d’Israël, qui bénéficient de tout ce que notre société démocratique et parfois masochiste leur accorde, ne deviennent pas des adeptes de la coexistence comme le pensaient nos doux rêveurs. Ils deviennent nos pires adversaires car, nous connaissant parfaitement, ils exploitent notre amour de la liberté contre nous. Ces étudiants et ces manifestants arabes contre notre armée doivent être traités sans ménagement et expulsés du pays.
Toute autre attitude que celle d’une absolue fermeté sur tous les fronts est interprétée par les arabes comme des signes de faiblesse et attise leur espoir de pouvoir nous détruire. Si nous sommes partis du Gouch Katif et avons détruit toute présence juive sioniste, si nous avons crée une zone d’Israël « judenrein », pourquoi ne quitterions nous pas Sderot, Ashkelon ou Ashdod? Notre prochain gouvernement devra proclamer que le temps des concessions est définitivement révolu et alors, peut être aurons nous la possibilité d’un avenir de sécurité.
Israël et le peuple Juif se retrouvent une fois de plus aux avant-postes de la guerre contre la barbarie et le terrorisme. Israël et le peuple juif doivent vaincre.
C’est pourquoi Gaza doit pleurer. Pas faire semblant pour les télévisions étrangères mais réellement. Gaza doit pleurer des larmes de sang.
Jacques Kupfer
Jérusalem est en proie à des tensions religieuses. La police israélienne, après s'être à nouveau déployée ce mardi, a arrêté dans la soirée le chef islamiste radical cheikh Raed Salah pour incitation à la violence. Il est soupçonné d'être lié aux heurts sporadiques qui ont lieu depuis lundi autour de l'esplanade des Mosquées, une poudrière politico-religieuse au coeur de la ville sainte.
Un lieu saint pour les deux religions
Toute la journée, des milliers de personnes, dont des chrétiens évangélistes pro-sionistes, ont défilé dans les rues de Jérusalem à l'occasion de la fête juive de Soukkot, la fête des Cabanes (appelée aussi fête des Tabernacles). La police a maintenu les restrictions d'accès à l'esplanade des Mosquées, autorisant seulement l'entrée aux musulmans âgés de plus de 50 ans, à condition qu'ils soient Arabes israéliens ou résidents de la partie orientale annexée par Israël.
L'esplanade, qui héberge les mosquées Al-Aqsa et du Dôme du Rocher, est le troisième lieu saint de l'islam après La Mecque et Médine. Bâtie sur le site du Temple juif détruit par les Romains en l'an 70 de l'ère chrétienne, dont le principal vestige est le Mur des Lamentations, elle est aussi l'endroit le plus sacré pour les juifs qui l'appellent le Mont du Temple.
Zone ultra-sensible
«Nous avons dû maintenir l'état d'alerte et notre déploiement massif à cause d'une série d'incidents lundi soir qui ont conduit à l'arrestation d'une vingtaine de Palestiniens», a déclaré le porte-parole de la police locale. La tension autour de l'esplanade des Mosquées s'est ravivée fin septembre à Jérusalem-est, faisant une trentaine de blessés. Les Palestiniens protestaient contre l'intrusion selon eux de pélerins juifs -un groupe de touristes, selon la police- venus prier sur l'esplanade.
C'est une visite -perçue comme provocatrice- du chef de la droite israélienne de l'époque, Ariel Sharon, sur la même esplanade qui avait déclenché la seconde Intifada, dite «L'Intifada d'Al-Aqsa» le 28 septembre 2000, et embrasé les Territoires palestiniens.
Le cortège, hérissé de drapeaux de toutes les nationalités, a défilé jusqu'aux portes de la Vieille ville alors que la tension restait vive à Jérusalem après deux jours de heurts entre des Palestiniens et la police israélienne. "Nous sommes tous des porte-drapeaux pour Israël au moment où des forces du mal cherchent à diviser Jérusalem", a indiqué Grace Galindez-Gupana, une Philippine.
La fête de Soukkot, baptisée fête des Cabanes ou fête des Tabernacles, commémore le séjour des Hébreux dans le désert après la sortie d'Egypte.
je rend hommage aux amis chretiens, manifester pour exprimer son soutien au peuple juif , cela met du baume au coeur, merci amis chretiens pour votre soutien
Mais, tout ient à point à qui sait attendre, et le retour de bâton va se manifester bientôt dans les rangs de ces nuisibles. No problem.
AM ISRAEL HAY
Les juifs ont laissé les arabes faire le RAMADAN en leur laissant
la possibilité de prier en paix et de faire leurs prières sans être
importunés et en retour ceux-ci font le maximum pour perturber
les juifs de fêter YOM KIPPOUR.
Dans le domaine de l'intolérance ils font une démonstration bien
évidante et sectaire.
Comme toujours, le monde relate mais dit rien!
Je crois qu'il est plus que temps, que les arabes israéliens
et ceux qui vivent à JERUSALEM et qui ne sont pas d'accord
pour accepter de vivre dans un état juif doivent partir.
Le refus de vivre avec les israéliens ne peut en aucun cas
accepté être cela conduisant à une confrontation et au terrorisme.
Pour les autres qui souhaitent vivre en paix dans un pays démocratique
qui permet à leurs enfants d'être éduqué et de prospérer il n'y a
pas de problème.
A EUX DE CHOISIR.
Un protestant
[Mercredi 07/10/2009 17:05]
Le mot d’ordre de « calmer les esprits » ayant été donné, il est appliqué de manière singulièrement différente par les deux parties : les leaders musulmans continuent à inciter à la haine contre Israël, accusant toujours les Juifs de « menacer gravement la Mosquée Al-Aqsa », et du côté israélien, le Président de l’Etat, « arbitre » des conflits, a dit mercredi « qu’il est absolument interdit d’effectuer des travaux sous les mosquées » !!! Shimon Pérès, qui assistait à un rallye en bicyclette réunissant jeunes juifs et arabes, n’a trouvé rien de mieux à dire qu’ « Israël était tenu de respecter les lieux saints de l’Islam, et que d’après la loi juive comme celle de l’Etat d’Israël, il était interdit de creuser sous l’emplacement des mosquées du Mont du Temple » ! « Il faut que chacun puisse prier convenablement dans les endroits les plus saints de leur religion », a-t-il rajouté, oubliant soudain sur les ruines de quoi furent construites les deux mosquées…
Actu.co.il
Peres le dhimmi de service qui ferait même la bise à ahmadinedjad si obama lui ordonnait