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Israël : Défense au Moyen-OrientAbbas : le peuple doit résister, comme à BilinLe président palestinien Mahmoud Abbas a réaffirmé vendredi qu'il n'y aurait pas de pourparlers avec Israël tant que la construction dans les implantations se poursuivait. Dans une interview à la British Broadcasting Corporation, le leader palestinien laisse entendre que son peuple devait adopter un nouveau type de lutte contre Israël : la "résistance". Articles connexes
29 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 59 minutes
C'est vraiment le début de la fin de notre civilisation...
AM ISRAEL HAY
ecouter cette vidéo dont j ' ai mis le lien ci-desus ...c 'est vachement bien ...vous aurez tort ne ne pas l ' écouter
Car ne nous y trompons pas, la retraite imminente de Mahmoud Abbas risque à coup sûr de défaire toute la direction palestinienne. En dehors de l'actuel président, personne en effet ne semble avoir aujourd'hui la capacité, ni même la volonté nécessaire pour s'imposer comme un interlocuteur crédible face à l'Etat hébreu. Le Congrès du Fatah organisé l'été dernier n'a pas permis de faire émerger la moindre figure charismatique à même de prendre le relais de Mahmoud Abbas que ce soit parmi les représentants de la vieille garde en exil comme chez les plus jeunes d'ailleurs.
Marwan Barghouti est l’unique et seul qui peut et doit remplacer Mahmoud Abbas. Car il est l'un des rares aujourd'hui à pouvoir sans aucun doute assumer ce rôle. Mais les Israéliens l’ont bien compris depuis fort longtemps, c’est pour cela qu’ils le font croupir ignoblement en prison. Il purge actuellement une peine de prison à vie en Israël. Quant à Mohamed Dahlan, ce droitier proche de Mahmoud Abbas, sa réputation d'intransigeant ne fait certainement pas de lui l'homme providentiel capable d'aller négocier un accord de paix avec Israël.
Dans ces conditions, le danger, et bien c'est de voir les islamistes profiter de la brèche ainsi ouverte. C'est sans d'ailleurs la raison pour laquelle Mahmoud Abbas ne jettera pas l'éponge avant les prochaines échéances électorales. Selon la Constitution, et en cas de démission, ce serait en effet au président du Parlement de prendre sa place. Or depuis la victoire du Hamas au précédent scrutin de 2006, cela reviendrait tout simplement à donner les clefs de la maison palestinienne aux islamistes et ce sur l'ensemble du territoire, Cisjordanie comprise. Un autre scénario reste toutefois possible : la dissolution de l'Autorité palestinienne. Nombreux sont ceux notamment au sein de l'opposition qui considère en effet cette autorité comme un gouvernement inféodé aux israéliens.
qu 'en pensez-vous ? c 'est grâve non ???
Président de l'Autorité palestinienne [modifier]
À la mort de Yasser Arafat en novembre 2004, Mahmoud Abbas remporte l'élection présidentielle du 9 janvier 2005. Trois jours avant, il avait déclaré : « Je suis obligé de poursuivre la politique de Yasser Arafat. Je suis lié au dernier discours d'Arafat devant le Conseil constitutif — du 18 août 2004 — S'il s'agit d'un discours extrémiste, comme certains le prétendent, je suis également extrémiste, mais en fait je ne le suis pas. Je l'ai relu et je peux vous confirmer que les propos d'Arafat sont logiques et pragmatiques et que j'y adhère complètement ». Il prend ses fonctions dès le 16 janvier. Ariel Sharon déclare que la condition sine qua non à tout progrès vers la relance d'un processus politique est « l'arrêt total du terrorisme » c’est-à-dire de toutes les phases de la résistance à l'occupation, y compris de la lutte contre l'armée d'occupation et contre les colons, ainsi que l'écrasement de toutes les organisations décrites comme "terroristes" par Israël, « Il s'agit d'actes sur le terrain et non pas de paroles en l'air. »
Dès le 13 janvier, dans la semaine même de l'élection, des activistes palestiniens tuent six Israéliens dans une attaque contre le poste-frontière de Karni entre Israël et la bande de Gaza. L'attentat est revendiqué, comme une action conjointe, par les Brigades Izz al-Din al-Qassam, par la branche militaire du Hamas, par les Bataillons de Saladin, par les Brigades des martyrs d'Al-Aqsa, un mouvement de la mouvance du Fatah, le propre parti de Mahmoud Abbas. Le poste-frontière de Karni est particulièrement stratégique, car il est le seul point d'entrée des marchandises qui ravitaillent la bande de Gaza et les 1,5 million de Palestiniens qui y vivent.