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Israël : Défense au Moyen-OrientUn haut responsable iranien rencontre les chefs du Hamas et du Djihad islamique à DamasAli Akbar Velayati, principal conseiller du guide suprême de la révolution iranienne, l'ayatollah Ali Khamenei, chargé des questions internationales, a rencontré le chef du Hamas à Damas Khaled Mechaal et le chef du Djihad islamique, Ramadan Shallah. "Nous avons parlé des affaires régionales et des menaces d'Israël et des Etats-Unis", a dit Mechaal. "L'avenir est à la résistance, nous sommes capables de faire face à tous les défis", a-t-il affirmé. Le ministre iranien des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki a déclaré dimanche que "l'Iran était prêt à soutenir le Liban et la Syrie pour faire face à toute agression israélienne". Velayati est arrivé samedi à Damas pour discuter avec les responsables syriens et palestiniens de la situation dans la région. Articles connexes
45 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 1 minute
pensez vous vraiment qui-il un bonne pense seulment,pour nous Israeliens?? mefiez vous les menteurs!!!
Soutien à Israël.
Claude04
un regard synoptique sur douze siècles de relations privilégiées entre Turcs et Arabes interrompues par l'arrivée au pouvoir d'Ataturk. La parenthèse semble se refermer aujourd'hui. Les récentes prises de position d'Erdogan sur le conflit palestino-israélien, de plus en plus fermes sont les prémices d'un renversement d'alliances. Un évènement capital qui va certainement modifier le rapport de forces dans la région:
Le Monde Arabe et la Turquie sont historiquement et indissolublement liés. Aucun pays arabe n’a été soustrait à ce brassage entre les deux peuples. La Tunisie n’y a pas échappé, non plus car un grand nombre de familles à Tunis, dans les villes côtières et les îles, et même à l'intérieur du pays ont des origines turques.
Les Turcs n’ont cessé d'immigrer en Tunisie et ce, depuis que les Espagnols ont été forcés de quitter le pays en 1574, grâce aux Ottomans, sous le commandement de Sinan Pacha.
Ils ont occupé des postes militaires et administratifs, ainsi que divers autres métiers et professions; cela n’a pas manqué d’influencer les traditions culinaires et vestimentaires des habitants autochtones, et même leurs rites religieux, notamment avec l’introduction du rite hanéfite.
Ces relations privilégiées entre les Turcs et les Arabes se sont détériorées depuis le début du XXème siècle avec, l’arrivée au pouvoir turc du Parti de l’Unité et du Progrès, qui n’a pas respecté ses promesses d’égalité entre les différents peuples de l’Empire Ottoman.
En représailles, les Arabes, se sont alliés aux Britanniques, ennemis des Ottomans pendant la 1ère guerre mondiale, parce qu'ils leur promettaient de les aider à édifier un "Royaume arabe"; Ce qui n'a fait qu'attiser les rancoeurs des Turcs.
Ces relations ont duré tout le siècle dernier, et ce n’est que depuis une décennie, et grâce à l’arrivée au pouvoir du Parti de la Justice et du Développement, que les relations se sont améliorées, la Turquie ayant procédé à un recentrage de sa politique, épousant la thèse arabe sur la question palestinienne, tout en critiquant sérieusement l’hégémonie de l’Etat israélien. Une attitude qui n’a pas manqué, d’exercer une influence positive sur le monde Arabe.
Cette amélioration dans les rapports entre Arabes et Turcs nous amène à poser certaines questions ; ce rapprochement ira-t-il en se renforçant ou y aura-t-il des obstacles, venant aussi bien de l’intérieur de la Turquie que de l’Etranger, qui entraveront ce retour aux sources dans les rapports entre les deux peuples ?
Maintenant Israël doit prendre ses distances avec ce pays.
Il est fini le temps où la Turquie était notre alliée.
Mais, outre qu'il ne convient pas, je crois, d'exagérer la puissance militaire turque ( aux prises, au demeurant, avec le redoutable problème interne que constituent les Kurdes ), une victoire israélienne pourrait au contraire donner aux élites turques le désir de renouer des liens avec Israël et celui de ne pas compromettre sa position vis-à-vis de l'OTAN et de l'Occident ( ce qui, certes, reposerait - pour les Européens, notamment, la question de l'entrée de la Turquie dans l'UE ... ).
Tout cela, j'en conviens, c'est beaucoup d'incertitudes et de points d'interrogation ...