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Israël : Défense au Moyen-OrientAhmadinejad bientôt au Liban: aucune escalade de la tension avec Israël (FINUL)La visite du président iranien Mahmoud Ahmadinejad au Liban à la mi-octobre prochain n'entraînera aucune escalade de la tension dans les relations entre Beyrouth et Israël, estime le commandant de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL), le général espagnol Alberto Asarta.
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Bonjour Claude 006. Bien sûr que vous avez 1000 fois raison, comme d'habitude. Le nabot persillé va au liban pour "faie la revue de ses troupes", les va-nus-pieds sanguinaires (ça doit lui rappeler ses années dans les cachots du Shah) prêts à fondre sur Israêl au moindre clignement d'oeil de ce psychopathe...
Quant à la Finul:shame on them pour touotes leurs "non-interventions" dès qu'Israêl était provoqué/agressé. Ces "finuliens" ont appris par coeur l'art et la manière de l'esquive et du détournement du regard pour ne pas "déranger" les barbares. De vrais pros en la matière. Shame on them.
AM ISRAEL HAY
Depuis plusieurs années, Israël est devenu un expert dans les technologies liés aux satellites, dans la production de satellites et de stations au sol. Non seulement les satellites israéliens sont plus légers que ceux conventionnels (cinq fois plus légers que les américains ou les européens avec les mêmes capacités) mais Israël a également développé ses compétences dans l’optique et les photographies radars que fournissent les satellites.
Cette expertise a encouragé de nombreux pays à prendre part à des projets communs de R&D avec Israël dans les domaines de recherche solaire et planétaire, des trous noirs et de l’univers. L’Etat hébreu a signé des accords de coopération dans le secteur spatial avec notamment le CNES en France, la NASA aux Etats-Unis, l’ASC au Canada ou encore le RKA en Russie.
Bien que l’industrie spatiale israélienne ai démarré à des fins militaires, elle s’oriente de plus en plus aujourd’hui vers les applications civiles. Le Général Itzhik Ben-Israël, Président de l’Agence Spatiale israélienne et ancien directeur de recherche au Ministère de la Défense, a déclaré : “Un satellite de défense israélien peut être envoyé au dessus de l’Iran pour une mission de reconnaissance, mais vous pouvez prendre le même satellite et l’utiliser sur votre propre territoire pour détecter la pollution, et ce qui se passe dans la mer, ou encore étudier le réchauffement climatique. Une fois que vous l’avez, la même infrastructure peut servir pour d’autres applications, civiles ou scientifiques. Les satellites sont des technologies duales qui peuvent être produits sur les mêmes lignes d’assemblage que les entreprises israéliennes comme IAI utilisent déjà pour construire les satellites pour la défense.”
En 2005, Israël a signé un accord avec le CNES pour développer une technologie d’observation de la terre avec des applications agricoles et environnementales. D’ici la fin de l’année l’ISA devrait mener des essais sur une technologie innovante en collaboration avec l’Agence Spatiale italienne, l’ASI. Par ailleurs de nombreuses coopérations existent également avec la NASA dans le domaine scientifique.
Aujourd’hui, l’industrie spatiale israélienne exporte seulement 800 millions de dollars chaque année, mais le potentiel est énorme. L’aide gouvernementale sera onéreuse, mais, selon le quotidien Ha’aretz, Israël y gagnera plus qu’une simple fierté nationale : “Si les domaines à forts potentiels de l’industrie aérospatiale locale sont développés, les retombées économiques pourraient être énormes, et de la même façon l’éducation, la technologie et la société israélienne en général pourraient connaître un formidable bond”.