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Israël : Défense au Moyen-OrientLa tension monte au LibanDeux grenades ont été lancées dans la nuit de jeudi à vendredi sur un bureau appartenant au mouvement politique de la liberté, de Michel Aoun, qui est considéré comme un proche allié du Hezbollah.
L’attaque est survenue après que le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, ait promis que le retrait du Hezbollah du gouvernement, entraînant sa chute, ne conduirait pas à une guerre civile dans le pays.
Une agence de presse libanaise officielle a indiqué que les grenades ont été lancées sur une structure du parti chrétien de Michel Aoun, dans le village de Beit Habab, à environ 25 kilomètres de Beyrouth.
Selon les rapports, une seule des grenades a explosée, causant des dégâts mais ne faisant aucune victime.
Les forces de sécurité auraient ouvert une enquête sur l’incident, et il n’était pas clair si cette attaque était liée à la crise politique provoquée par la démission du Hezbollah du gouvernement.
Plusieurs forces politiques ont été promptes à condamner l’incident, selon les rapports.
Plus tôt jeudi, l’armée israélienne a augmenté son niveau d’alerte le long de la frontière nord par mesure de précaution, et des officiers ont dit craindre que la violence puisse éclater alors que le Liban sombre dans le désarroi dans une crise politique profonde. Ils ne perçoivent cependant pas de danger immédiat.
Le groupe terroriste chiite Hezbollah, soutenu par le Liban, s’est retiré à cause de la coopération continue du gouvernement avec le tribunal de l’ONU enquêtant sur l’assassinat en 2005 de l’ancien premier ministre libanais Rafic Hariri. Le tribunal devrait mettre en accusation des membres du groupe terroriste très bientôt.
Le Hezbollah a fait coïncider la dissolution du gouvernement avec la visite du premier ministre actuel, Saad Hariri, à la Maison Blanche.
Un officier supérieur du commandement nord de l’armée israélienne a déclaré que les commandants suivaient les événements au Liban de très près pour déceler tout signe dans le cas où le Hezbollah voudrait réchauffer la frontière nord pour détourner l’attention de l’agitation politique.
« Nous devons êtres préparé pour tous les scénarios possibles, » a déclaré un autre officier supérieur.
L’armée israélienne n’a pas rappelé de réservistes et s’est abstenue de mouvements particuliers le long de la frontière, mais les troupes qui y sont stationnées ont été invitées à être plus vigilantes lorsqu’elles sont en patrouille de routine.
Le général major (de réserve) Yaacov Amidror, l’ancien chef de la recherche dans les renseignements de l’armée, a déclaré à la radio militaire que le sentiment prévalant en Israël était que le Hezbollah n’avait aucun intérêt à ce point dans une guerre avec Israël. Autant le groupe terroriste que l’Iran, préfèrent garder le Hezbollah pour dans le cas où Israël attaquait l’Iran, selon le général en retraite. Il rappelle toutefois que la situation au Liban est tellement volatile que des prévisions sont presque impossibles à faire.
« Les choses sont susceptibles de s’échapper des mains des décideurs, » a-t-il dit. « On ne sait jamais où peut mener une telle situation instable et délicate, où tout le monde a beaucoup d’armes, beaucoup de ressentiment, beaucoup de frustrations. Vous ne savez jamais où cela peut conduire. »
Sur le front diplomatique, le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman a brièvement abordé la situation au Liban au cours de sa visite en Grèce jeudi, disant, après sa rencontre avec le premier ministre grec George Papandréou, que le Hezbollah utilisait les « extorsions et les menaces » pour empêcher la publication des conclusions de l’enquête Hariri.
« Ce n’est pas seulement une affaire interne au Liban, mais plutôt un test important pour la communauté internationale toute entière, » a-t-il dit.
Ni le premier ministre Benyamin Netanyahou ni le ministre de la défense Ehoud Barak n’ont fait de commentaire public sur la crise libanaise.
Saad Hariri a prévu de rencontrer vendredi son homologue turc Recep Tayyip Erdogan et Davutoglu lors d’une visite en Turquie pour des entretiens sur la situation.
Jeudi, le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a rencontré Walid Joumblatt dans une tentative de gagner le soutien du chef druze libanais. Joumblatt devrait se rendre à Damas sous peu, peut être pour rencontrer le dictateur Bachar al-Assad au sujet de la crise.
Dans un communiqué publié par le Hezbollah après la réunion, le groupe terroriste chiite a déclaré que les deux hommes ont discuté « des derniers développements politiques au Liban, du résultat des efforts de la Syrie et de l’Arabie Saoudite, et de la démission des ministres de l’opposition, » selon le journal libanais an-Nahar. Articles connexes
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L'antijudaïsme tunisien ne semblait pas une constante massive, parmi les habitants de ce petit pays pourtant mal entouré.
Bien sûr, ils n'ont que ça à faire?
En remerciement de quoi?
Alors, qu'ils chassent leurs dictateurs (qu'ils avaient pourtant élus "démocratiquement" soi-disant), ils seront ensuite envahis par la "lèpre verte" (car la nature muzz a horreur du vide). Ce sera le retour du djeddaï, les barbudos enturbannés qui vont leur en faire voir pire que pendre (assassinats, viols, emburquadage de leurs moukères, etc...), et re-belote.
Ces peuplades primitives ne savent pas ce que signifie le mot "paix" et encore moins "démocratie". Et même si ils ne veulent pas l'admettre, ce sont des dictateurs dont ils ont besoin à leur tête. C'est tout ce qu'ils sont capables de respecter.
En outre, il faudrait que leurs gouvernements corrompus nous remboursent de tout ce qu'ils ont volé à nos parents, grands-parents, etc... pendant des décennies, car nos ancêtres ont dû quitter leurs pays sans un sou en poche, encore heureux d'être en vie, si ils ne se convertissaient pas à leur religion "miréricordieuse -sic"....
Alors, "le violon" pour tous ces excités, à d'autres. Qu'ils se "dé...merdent entre eux". On a vu ce qu'ils ont fait de l'algérie dès qu'elle a eu son "indépendance", après qu'ils en aient chassé les colonialistes français à grands coups de babouches aux fesses"!!!!! Des bons à rien....
AM ISRAEL HAY
Maintenant les evenements actuels, Tunisie, Algerie, Liban, c'est la conquete du monde par l'Islam.
Donc arretons de nous lamenter et anticipons les risques que nous courrons.
Maintenant ISRAEL est indestructible, car creation d'ordre Divin.