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Israël : Défense au Moyen-Orient

Livnat : « mon neveu a été assassiné par des terroristes déguisés en policiers »

Livnat : « mon neveu a été assassiné par des terroristes déguisés en policiers » - © Juif.org
Quelques heures après la fusillade meurtrière à la tombe de Yossef dimanche matin, le cortège funèbre de Ben-Yossef Livnat, qui a été tué par des tirs de la police palestinienne, était en marche. Le cortège a commencé à la maison de la mère de Livnat dans le village d’Elon Moreh avant de continuer vers Jérusalem, où Livnat sera enterré au cimetière du Mont des Oliviers.
 
La ministre de la culture et des sports, Limor Livnat, qui est la tante de Ben-Yossef, a fait l’éloge de la victime en disant que « le fils de mon frère a été assassiné par un terroriste déguisé en policier palestinien, pour aucune autre raison que son désir de prier, il était innocent. »
 
Une des premières pistes de l’enquête montre que Livnat faisait partie d’une groupe de Hassidim de Breslev de 15 personnes qui n’a pas coordonné son arrivée sur la tombe avec les autorités compétentes, et a ensuite été abattu par des policiers palestiniens.
 
Dans le quartier religieux de Beit Israël, où vivait le défunt, les voisins ont été surpris alors qu’ils parlent d’un homme humble qui se distingue par sa volonté d’aider tous ses amis. « Il était un homme très spécial, » dit un voisin.
 
Livnat a été grièvement blessé dans l’incident, sa mort étant déclarée par les ambulanciers du Magen David Adom. Cinq autres personnes ont été blessées dans l’attaque.
 
Le conseil de la Yesha a publié la déclaration suivante : « le meurtre de ce matin par des policiers palestiniens ne peut être toléré. Les récents meurtres de juifs sont le résultat des incitations de l’autorité palestinienne, c’est donc un assassinat commis par l’autorité palestinienne elle-même, comme à l’époque d’Arafat. »
 

Selon des sources palestiniennes, des jeunes palestiniens se sont ensuite rassemblés autour du complexe de la tombe peu de temps après l’attaque et y ont mis le feu. Un groupe de jeunes palestiniens brûlait des pneus dans l’enceinte de la tombe, qui a été rénovée il y a quelques mois. Une fois de plus, les musulmans palestiniens prouvent leur animosité envers un site saint du judaïsme, une animosité qu’ils expriment aussi de plus en plus contre des sites chrétiens et la population chrétienne qui n’a pas encore fuit les territoires contrôlés par l’autorité palestinienne.

41 commentaires
Les juifs doivent de rendre aux évidences les palestiniens aspirent a un état qui sera reconnu a l o n u et de ce fait ils voudront faire respecter des règles elementaires d' état souverain Visa volant etc.... Leur territoire deviendrai autonaume mais visiblemt LA il y a eu excès de zèle et mort d' homme c est intolérable visiblement en cas d' autonomie ce sera comme avec moubarak paix sans plus ce ne sont pas les mêmes civilisations
Envoyé par Jcl - le Lundi 25 Avril 2011 à 12:23
Pousser à l’établissement quasi instantané d’un État palestinien aujourd’hui est totalement irresponsable.
admin No comments

Par Hélène Keller-Lind

Un État palestinien pour septembre 2011, entend-t-on de toutes parts….si les irresponsables qui poussent à cette création bâclée réussissent cela sera une catastrophe. A commencer pour les Palestiniens. Et pour la paix. Une analyse détaillée publiée dans le Jerusalem Post le démontre.
Tout le monde n’a pas encore perdu les pédales… et il semble qu’Angela Merkel, par exemple, ne suive pas la doxa actuelle qui prétend que les Palestiniens seraient prêts à établir un État incessamment sous peu…ni le Congrès américain, ni l’opinion publique américaine… Thank God for America…
Si des progrès indéniables en matière de finance ont été réalisés sous la houlette de Salam Fayyad, un ancien du FMI, après tout, il ne faut pourtant pas oublier que, d’une part, l’Autorité palestinienne vit sous perfusion internationale à coup de millions d’Euros ou de dollars, et que, d’autre part, elle dépend totalement d’Israël pour fonctionner...Ce qui n’est pas mince. A supposer qu’Israël doive se retirer immédiatement de la totalité de la Judée Samarie, si, d’aventure l’ONU devenait encore plus folle qu’elle ne l’est déjà, les habitants des implantations risqueraient fort d’être massacrés – un Palestinien sur trois s’en chargerait avec plaisir comme le montrent trois sondages récents – s’ils n’étaient pas évacués aussitôt. Ce qui n’est pas le
Envoyé par Elie_043 - le Lundi 25 Avril 2011 à 12:26
"Un État palestinien pour septembre 2011, entend-t-on de toutes parts"
septembre noir ?
et pourquoi pas le déclarer cet état le 11 septembre pendant qu'ils y sont.

"et il semble qu’Angela Merkel, par exemple, ne suive pas la doxa actuelle qui prétend que les Palestiniens seraient prêts à établir un État incessamment sous peu…ni le Congrès américain, ni l’opinion publique américaine… Thank God for America…"

heureusement qu'il y a dans ce monde des gens sages malgré que la France essaye de mener le monde en influençant tout le monde.

comme le précise Nessim Cohen-Tanuggi : « En 1967 il n'y avait aucune frontière reconnue entre les pays concernés : Israël, Liban, Syrie, Jordanie, Egypte. Soit dit en passant, il y a bien un conflit israélo-arabe mais aucun conflit israélo-palestinien puisque la Palestine n'existe plus dès lors qu'elle a été remembrée en trois Etats : la Jordanie, Israël et la Cisjordanie »
effectivement, je constate que les états favorables à un état « palestinien » confondent tout
pays arabes et « palestiniens »
la jordanie a renoncé à la cis-jordanie : En cisjordanie il y avait des juifs des chrétiens et des arabes de palestine mais pas de palestine ou de peuple palestinien et la présence juive était bien antérieur à celle des arabes : donc ce sont des territoires disputés et non des territoires occupés

« Mais les "Palestiniens" ont tous les droits, en particulier celui de squatter le nom de Palestine, laquelle était juive bien avant qu'aucun Etat arabe existe et que la Jordanie et Israël la remplacent »
L’ONU ne peut pas reconnaître un état sans frontières sécuritaires reconnus de toute part d’un côté comme de l’autre
Envoyé par Anne_011 - le Lundi 25 Avril 2011 à 13:07
Pousser à l’établissement quasi instantané d’un État palestinien aujourd’hui est totalement irresponsable.
admin No comments

Par Hélène Keller-Lind

Un État palestinien pour septembre 2011, entend-t-on de toutes parts….si les irresponsables qui poussent à cette création bâclée réussissent cela sera une catastrophe. A commencer pour les Palestiniens. Et pour la paix. Une analyse détaillée publiée dans le Jerusalem Post le démontre.
Tout le monde n’a pas encore perdu les pédales… et il semble qu’Angela Merkel, par exemple, ne suive pas la doxa actuelle qui prétend que les Palestiniens seraient prêts à établir un État incessamment sous peu…ni le Congrès américain, ni l’opinion publique américaine… Thank God for America…
Si des progrès indéniables en matière de finance ont été réalisés sous la houlette de Salam Fayyad, un ancien du FMI, après tout, il ne faut pourtant pas oublier que, d’une part, l’Autorité palestinienne vit sous perfusion internationale à coup de millions d’Euros ou de dollars, et que, d’autre part, elle dépend totalement d’Israël pour fonctionner...Ce qui n’est pas mince. A supposer qu’Israël doive se retirer immédiatement de la totalité de la Judée Samarie, si, d’aventure l’ONU devenait encore plus folle qu’elle ne l’est déjà, les habitants des implantations risqueraient fort d’être massacrés – un Palestinien sur trois s’en chargerait avec plaisir comme le montrent trois sondages récents – s’ils n’étaient pas évacués aussitôt. Ce qui n’est pas le problème du FMI ni de la Banque Mondiale, on le conçoit. Mais Israël, sans compter une opération militaire rendue nécessaire, cesserait dès lors toute coopération économique avec les Palestiniens et leurs poumons financiers éclateraient alors aussitôt.
Par ailleurs, les auteurs de l’analyse, donnée ci-dessous, évoquent toutes les graves carences restant sous gouvernance de l’Autorité palestinienne, sans parler du Hamas….
Cette frénésie d’État est donc totalement stupide et potentiellement criminelle…

Adaptation de l’article pré-cité
Est-ce que l’Autorité palestinienne est vraiment prête à devenir un État ?
Par Patrick Clawson et Michael Singh
04/24/2011
Analyse : Si la coopération bilatérale cessait, l’Autorité palestinienne ne serait pas en mesure de payer les salaires ou de remplir ses autres engagements.Discussion (2)
Lors de la réunion du 13 avril à Bruxelles du groupe des donateurs pour la Cisjordanie et Gaza , connu sous le nom de Comité de liaison ad hoc, le Fonds monétaire international et la Banque mondiale ont présenté des rapports selon lesquels les Palestiniens sont prêts pour établir un État. Pourtant, ce jugement nécessite trois réserves importantes.
D’abord, cela dépend de la coopération israélo-palestinienne, d’autre part, cela est subordonnée au retour de Gaza sous le contrôle de l’Autorité palestinienne et troisièmement, cela ne tient pas compte d’une plus large préparation politique nécessaire pour établir un État par l’Autorité palestinienne, ce qui continue à être à la traîne.
Le rapport du FMI souligne à juste titre qu’Israël jouera un rôle central dans l’avenir économique de l’Autorité palestinienne : « Pour maintenir la dynamique de croissance, rééquilibrer la composition de la production, réduire les disparités régionales [à savoir, Bande de Gaza par rapport à la Cisjordanie], et accélérer le processus de construction d’un État, il est essentiel que [Israël] élimine toutes les restrictions dans les plus brefs délais. “
Cela implique qu’une déclaration unilatérale de création d’un État ne serait pas l’aboutissement des efforts de renforcement de l’État de l’Autorité palestinienne, mais leur perte, car on ne pourrait pas compter sur une coopération israélienne dans un tel scénario.
Considérons l’augmentation spectaculaire des recettes fiscales de l’Autorité palestinienne, qui a réduit la dépendance excessive des Palestiniens sur l’aide étrangère. En creusant dans les tableaux accompagnant le rapport du FMI, on constate que deux tiers des recettes actuelles de l’Autorité palestinienne sont des “recettes douanières,” c’est-à-dire les taxes perçues pour le compte des Palestiniens par Israël et transmises à l’Autorité palestinienne. Il s’agit notamment de taxes sur les marchandises expédiées d’Israël vers la Cisjordanie et Gaza, tels que les droits de douane et les tarifs élevés sur les produits pétroliers. En 2010, l’Autorité palestinienne a reçu 1, 26 milliards de dollars en recettes fiscales et douanières, comparativement aux 750 millions de dollars de recettes intérieures propres qu’elle recueillie.
En d’autres termes, l’Autorité palestinienne est en mesure de payer ses factures uniquement grâce à l’argent transféré par Israël. Si la coopération bilatérale cessait, l’Autorité palestinienne ne serait pas en mesure de payer les salaires ou tenir ses autres engagements.
La situation à Gaza met en évidence la centralité d’Israël pour l’économie palestinienne. Comme les rapports du FMI et de la Banque mondiale le montrent, une fois qu’Israël a autorisé que plus de marchandises soient être expédiées à Gaza, en dépit du contrôle qu’y exerce le Hamas, il y a eu une belle reprise économique.
Le rapport du FMI fait l’éloge d’un exemple étonnant de la coopération israélienne à Gaza, à savoir, la manière dont les banques commerciales israéliennes ont travaillé avec les banques palestiniennes pour faciliter des transferts d’espèces « opportuns et réguliers » sur ce territoire, en surmontant les inquiétudes israéliennes quant aux « conséquences juridiques » liées au fait de faire des affaires avec l’organisation terroriste du Hamas.
Selon le rapport du FMI, « L’Autorité palestinienne est désormais en mesure de conduire des politiques économiques saines que l’on attend d’un État palestinien fonctionnant bien, compte tenu de sa solide expérience en matière de réformes et de renforcement des institutions dans le domaine des finances publiques et financières. »
Le rapport passe ensuite à une liste d’une série d’activités conduites par l’Autorité palestinienne ces dernières années, mesures dont le FMI avait sévèrement critiqué l’absence sous la présidence de Yasser Arafat. En particulier, l’Autorité palestinienne a été en mesure de « renforcer la transparence », « préparer et exécuter des budgets annuels », « préparer des états financiers annuels » et « contrôler étroitement et ses dépenses dont les priorités ont été établies » – réalisations qui sont toutes importantes.
Malheureusement, ces progrès s’appliquent uniquement à l’Autorité palestinienne, et non pas aux autorités du Hamas qui contrôlent la Bande de Gaza. Les méthodes de celles-ci en terme de fiscalité et de dépenses sont exactement le contraire de ce que le FMI recommande. Elles ne sont pas transparentes, ne sont pas effectuées en conformité avec un budget, ne s’accompagnent pas d’états financiers, et ne sont pas étroitement contrôlés sérieusement et aucune priorité n’est établie.
Le rapport du FMI fait l’éloge du renforcement continu du système de gestion des finances publiques de l’Autorité palestinienne, mais il omet de mentionner la façon dont le Hamas contrôle des sommes importantes qui sont complètement en dehors de ce système et échappent au contrôle de l’Autorité palestinienne.
Le rapport de la Banque mondiale note des problèmes graves dans la Bande de Gaza, tels que des juges n’appliquant pas le droit commercial.
Mais il ne dit rien de l’absence de transparence, de responsabilisation et de bonne gestion des finances publiques sur ce territoire.
Le FMI et la Banque mondiale auraient dû noter que les progrès observés en Cisjordanie ne correspondent pas à la Bande de Gaza, faisant de la création d’un État palestinien unifié intégrant ces deux territoires difficile à envisager sans le retour à Gaza d’un total contrôle de l’Autorité palestinienne.
Le rapport de la Banque mondiale affirme que si l’Autorité palestinienne « maintient ses performances dans le renforcement des institutions et la prestation des services publics, elle est bien placé pour la création d’un État à n’importe quel moment d’un avenir proche. »
Cette affirmation va au-delà de l’expertise de la Banque mondiale, cependant, étant donné que l’établissement d’un État implique de nombreuses autres éléments allant au-delà de la simple sphère économique.
En apparence, le rapport de la Banque semble répondre à certaines de ces questions : « Bien qu’il n’existe pas de recette pour la construction d’un État, l’Organisation de Coopération et de Développement Économique a constaté que certaines fonctions essentielles sont stratégiquement importantes. Ainsi, dans son orientation stratégique de 2011 « Soutenir la construction d’États dans des situations de conflit et de fragilité », l’OCDE décrit ces fonctions clés, telles que la sécurité et la justice, la gestion des recettes et des dépenses, le développement économique, la création d’emplois en particulier, et la prestation de services ».
La Banque conclut qu’elle « a recensé certaines des réalisations de l’Autorité palestinienne dans les fonctions essentielles d’un État posées comme postulats par l’OCDE.”
Pourtant, l’évaluation de l’Autorité palestinienne par la Banque mondiale est de fait limitée par rapport aux critères de l’OCDE. Le rapport ne tient pas compte – et n’a pas à le faire compte tenu du mandat de la Banque et de son expertise – des questions de « sécurité et de justice » au-delà d’un examen restreint portant sur l’exécution des contrats et le droit commercial. Il est certain que le Premier ministre palestinien Salam Fayyad a fait de grands progrès dans le renforcement des capacités d’un État, et l’ordre a été rétabli en grande partie.dans de nombreuses villes. Des progrès supplémentaires sont nécessaires portant sur d’autres aspects de la « sécurité et de la justice », cependant, y compris le respect des droits de l’homme, une absence de violence politique, et la prévention du terrorisme, en particulier à Gaza.
Plus généralement, les critères énumérés par la banque comprennent seulement l’un des trois aspects d’un État décrits dans les lignes directrices de l’OCDE : « capacité de l’État et capacité de réaction. »
L’Autorité palestinienne a fait peu de progrès concernant les deux autres dimensions : « règlement et processus politiques » et « attentes sociales » de la relation État-société, qui sont tous deux au cœur des soulèvements déferlant sur le monde arabe. Les efforts dans ces domaines ont été contrecarrés par la résistance acharnée du Fatah et des autres partis politiques qui dominent l’Autorité palestinienne et sont réticents à se réformer ou à abandonner la corruption et le népotisme qui ont propulsé la victoire électorale du Hamas en 2006.
La Banque mondiale et le FMI ont raison de faire l’éloge de l’Autorité palestinienne et de Salam Fayyad et en particulier, pour leur progrès durement acquis pour construire les aspects économiques d’un futur État Les réalisations de Salam Fayyad se sont faites en dépit des difficultés et seront essentielles pour que réussisse et dure tout accord de paix israélo-palestinien. Mais ils ont été mis en danger par la stagnation des négociations de paix et la perspective d’une déclaration unilatérale d’un l’État palestinien. En outre, elles sont insuffisantes sans qu’une plus grande attention soient portée aux aspects politiques nécessaires au renforcement d’un État.
L’Autorité palestinienne et ses partenaires du Quartet – les Nations Unies, l’UE, les États-Unis et la Russie – seraient bien avisés d’accomplir le même genre de travail constant et résolu dans ces domaines que ce que Salam Fayyad a fait pour l’économie palestinienne
source : desinfos.com

Envoyé par Elie_043 - le Lundi 25 Avril 2011 à 13:07
c'est un journaliste arabe qui ecrit ce commentaire important,il est necessaire de le lire meme si on connait tout d'israel;
Envoyé par Elie_043 - le Lundi 25 Avril 2011 à 13:56
Merci, Elie, pour ce texte - qui fournit notamment des précisions sur l'origine de la mosquée Al-Aqsa.
Envoyé par Edmond_002 - le Lundi 25 Avril 2011 à 14:03
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Envoyé par Joseph_075 - le Lundi 25 Avril 2011 à 14:03
J'm'xcuse mais ce que je dis depuis perpette ! Autre chose, pourquoi les sites Juifs ne parlent pas des milliers de victimes en syrie, ou des dizaines de milliers ?

Pour le moment ils font un génocide en syrie, les médias eurabiens nous font croire qu'il n'y a eu que 350 depuis un mois !

Alors pour cacher les massacres en syrie ils bombardent la libye comme des malades pour occuper les news !

Ils croient pouvoir sauver el assad de cette manière, ils se plantent !

C'est ne pas compter sur les kurdes qui n'ont qu'une obsession, créer un état kurde et je vous le promet il sera bientôt déclaré, c'est pour ça que la presse et les chiens de la politique française appuient sur un état palo, c'est pour pouvoir ignorer la création d'un état kurde. (armé par Tsahal)
Envoyé par Moshé_007 - le Lundi 25 Avril 2011 à 14:44
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Envoyé par Joseph_075 - le Lundi 25 Avril 2011 à 14:51
Allez voir concernant la syrie et le rôle de ce pays et la raison pour laquelle ont attire l'attention sur Israël pour cacher les saletés commise par les politiques français avec la syrie et le pillage de l'ex-liban.

bashar vient de faire virer 6 milliards de $ sur ses comptes suisses, en plus des centaines de milliards pillés lors de l'occupation de liban avec la complicité de la france !

Arrêtons de nous prendre pour des c.ons !
Envoyé par Moshé_007 - le Lundi 25 Avril 2011 à 15:44
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 37 minutes