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Israël : Défense au Moyen-OrientHaniyeh : Israël n'a plus le dessus dans la régionLe Premier ministre Hamas a affirmé ce mardi lors de l'inauguration d'une stèle à la mémoire des victimes de la flottille pour Gaza : ''C'est une nouvelle ère où Israël n'a plus le dessus, ce sont les peuples de la région qui décident''. Il a condamné l'appel du secrétaire général de l'Onu aux peuples de la région pour empêcher le départ d'une nouvelle flottille pour Gaza. Haniyeh a appelé Ban Ki-moon à s'excuser pour de tels propos. 12 commentaires
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Lettre des avocats et juristes internationaux à Ban Ki Moon S.G de l'ONU, sur le caractère illégal d'un Etat palestinien déclaré unilatéralement
Lettre au Secrétaire Général des Nations-Unies
Une résolution de l'Onu de reconnaître un "Etat palestinien dans les "Frontières de 1967" serait illégal
Ce qui suit est une lettre rédigée conjointement par les avocats du Forum Juridique pour Israël et par Alan Baker Directeur des Affaires contemporaines au
La lettre est adressée au Secrétaire Général des Nations Unies et signée par des juristes et avocats internationaux du monde entier.
La lettre met en garde le Secrétaire Général de l'illégalité intrinsèque, des dommages à l'ONU et au processus de paix au Moyen-Orient qui serait causé par l'adoption d'une résolution déclarant un état palestinien avec détermination de ses frontières.
25 05 2011
Son Excellence Monsieur Ban Ki Moon
Secrétaire général des Nations Unies
New York – NY 10017
Excellence,
Sujet – le projet de résolution de l'Assemblée générale à reconnaître un "Etat palestinien "'dans les "frontières de 1967" – une action illégale.
Nous les soussignés, avocats à travers le monde qui sommes impliqués dans les questions générales du droit international, étant liées étroitement au conflit israélo-palestinien, faisons appel à vous pour user de votre influence et de votre autorité auprès des Etas membres de l'ONU, en vue d'empêcher l'adoption que la délégation palestinienne entend présenter à la prochaine session de l'Assemblée générale de reconnaître un "Etat palestinien" sur les "frontières de 1967".
Selon toutes les normes et critères, une telle résolution, si elle était adoptée serait en violation flagrante de tous les accords conclus entre Israël et les Palestiniens, elle contreviendrait également aux résolutions de l'ONU telles que la 242 (1967) et la 338 (1973) et des autres résolutions qui découlent de celles-ci.
Notre raisonnement est le suivant :
1 La base juridique pour la création de l'Etat d'Israël a été la résolution adoptée à l'unanimité par la Société des Nations en 1922, confirmant la création d'un foyer national pour le peuple juif sur le territoire historique de la Terre d'Israël. Cela comprend la Judée-Samarie, Jérusalem et les implantations juives à proximité. Ce fut ensuite confirmé par les deux chambres du Congrès américain.
2 L'article 80 de la Charte des Nations unies détermine la validité des droits accordés à tous les Etats et les peuples sur la base des documents internationaux existants (y compris ceux adoptés par la Société des Nations) En conséquence, la résolution ci-dessus (1) reste valable pour les 650.000 israéliens vivant actuellement en Judée-Samarie et de Jérusalem-est, qui résident légitimement dans ces endroits.
3. "Les frontières de 1967 "n'existent pas et n'ont jamais existé.
Les Accords d'armistice de 1949 conclu entre Israël et ses voisins qui établissent les lignes de démarcation d'armistice indiquent clairement que ces lignes "sont sans préjudice pour les règlements territoriaux ultérieurs, tracé de frontières ou revendications de chacune des parties liées".
En conséquence, elles ne peuvent ni être acceptées, ni être déclarées comme les frontières internationales d'un "Etat palestinien."
4 Les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU (242 et 338) ont appelé les parties à parvenir à une paix juste et durable au Moyen-Orient et ont plus particulièrement insisté sur la nécessité de négocier afin de parvenir à des 'frontières sûres et reconnues".
5. La proposition palestinienne de tenter de modifier unilatéralement le statut du territoire et déterminer les 'frontières de 1967" comme des frontières reconnues, dirigées carrément à l'encontre des résolutions 242 et 338 , serait en plus une violation fondamentale de l'accord intérimaire israélo-palestinien de 1995 sur la Judée-Samarie et la bande de Gaza, dans lequel les parties s'engagent à négocier la question des frontières et de ne pas agir pour changer le statut des territoires en attendant l'issue des négociations sur le statu permanent.
6. Les Palestiniens sont signataires des différents accords constituant les 'Accord d'Oslo" en pleine connaissance de l'existence des implantations, et que ces mêmes implantations seraient l'une des questions qui serait débattue lors des négociations sur le statut permanent. En outre, les "Accords d'Oslo" n'imposent aucune limitation des activités d'implantation d'Israël dans les domaines où les palestiniens ont convenu d'être sous la juridiction et le contrôle d'Israël en attendant le résultat des négociations sur le statut permanent.
7. Bien que l'accord intérimaire ait été signé par Israël et l'OLP, les témoins de cette signature ont été l'ONU, l'Union Européenne, la Fédération de Russie, Les Etats-Unis, l'Egypte et la Norvège. Il est donc inconcevable que de tels témoins, y compris en premier lieu l'ONU, soient désormais prêts à donner licence à une mesure de l'ONU visant à violer cet accord et de saper les principales résolutions du Conseil de Sécurité.
8. Alors que l'ONU a maintenu une politique persistante sur la non-reconnaissance de la souveraineté d'Israël sur Jérusalem dans l'attente d'une solution négociée,- en dépit des droits historiques d'Israël sur la ville,- il est inconcevable que les Nations Unies reconnaissent aujourd'hui un "Etat palestinien" proclamé unilatéralement dont les frontières seraient notamment à Jérusalem-Est. Cela représenterait le comble de l'hypocrisie, les doubles standards et la discrimination, et surtout un mépris flagrant des droits du peuple Juif et des droits d'Israël.
Une telle action unilatérale par les palestiniens pourraient donner lieu à des initiatives réciproques au Parlement Israélien (Knesset) qui pourrait inclure des projets de loi déclarant la souveraineté d'Israël sur de vastes parties de Judée-Samarie, si et quand les palestiniens devaient exercer leur action unilatérale.
Excellence,
Il semble manifestement clair par tous que l'exercice palestinien visant à faire avancer leurs revendications politiques, représente un abus cynique de l'Organisation des Nations unies et des membres de l'Assemblée Générale. Son but est de contourner le processus de négociation demandé par le Conseil de Sécurité.
Malheureusement cet abus de l'ONU et de son intégrité, en plus de miner le droit international, à le potentiel de faire dérailler le processus de paix au Moyen-Orient.
Nous espérons que vous utiliserez votre pouvoir pour protéger les Nations-Unies et son intégrité de cet abus, et agir pour empêcher toute affirmation ou reconnaissance de cette dangereuse initiative palestinienne.
Signée par les juristes et avocats internationaux.
UN Resolution to Recognize a Palestinian State
within the "1967 Borders" Would Be Illegal
• The following is a letter drafted jointly by lawyers of the Legal Forum for Israel and by Amb. Alan Baker, Director of the Institute for Contemporary Affairs at the Jerusalem Center for Public Affairs.
• The letter is directed to the Secretary-General of the United Nations, and signed by jurists and international lawyers from around the world.
• The letter cautions the Secretary General as to the inherent illegality and harm to the UN and to the Middle East peace process which would be caused by the adoption of a resolution declaring a Palestinian state and determining its borders.
May 25, 2011
His Excellency Ban Ki-Moon,
Secretary-General of the United Nations,
1st Avenue & 44th St.
New York, NY 10017
Excellency,
Re: The Proposed General Assembly Resolution to Recognize a Palestinian State "within 1967 Borders" - An Illegal Action
à ces deux questions unies , je répondrais que c 'est , non seulement un défi --puisque l 'égypte s 'est déconnecté carrément des accords de paix avec israël , ce qui veut dire en clair , que l 'égypte , dans son euphorie d 'un soit disant preintemps arabe , a prouvé son manque de maturité politique , elle est menée par le bout du nez et par les palestiniens , par la ligue arabe , par alqaïda et surtout par les frères musulmans -- parce qu' elle vient de recevoir un armement , et se croit capable de reprendre ses bombardements sur le sud d 'israël ... comptant surtout sur le hezbollah , la syrie , la turquie , l 'égypte , les factions palestiniennes , et les djihadjistes , qui sont arrivés à s 'installer à gaza...un armement sophystiqué, avec les personnes qui vont avec ...pour ce qui est de l 'aveu , ismaël hannié vient de vendre la mèche... l ' égypte est coupable de trahison envers le G8 , l 'égypte ne mérite pas que lui soit alloué ces 20 milliards de dollars , dans sa trahison--elle n 'en est pas à une trahison près ,--l 'égypte peut ne pas respecter le pacte signé avec le G8 , et même être responsable au premier chef , d ' une guerre , d 'une 3 ème guerre mondiale , une guerre terrible qui va opposer l ' islam au christianisme , car aujourd 'hui les chrétiens qui vivent dans les pays arabo-musulmans ne sont plus en sécurité...je pense aux coptes qui vont essayer de fuir l 'égypte , un état aux mains sales des frères musulmans !