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Israël : Défense au Moyen-OrientL'ayatollah Khamenei : "les soulèvements dans la région sont islamiques, anti-américains et anti-sionistes"Le guide suprême de la Révolution, l'ayatollah Khameini a considéré que "le retour à l'islam et l'opposition aux États-Unis et aux Sionistes" constituaient les trois grandes lignes des mouvements populaires dans la région, et a ajouté que ces caractéristiques étaient spécialement visibles dans la brillante révolution du peuple égyptien. "La République islamique soutient tous les mouvements de ce genre à moins qu'ils ne soient provoqués par les États-Unis et les Sionistes, car nous sommes convaincus que le Grand Satan et ses complices ne travaillent pas au profit des peuples", a-t-il souligné. "La grande évolution des Égyptiens sur la question de la bande de Gaza et du passage de Rafah est un mouvement précieux qui doit être poursuivi", a-t-il poursuivi. A la fin de son intervention, l'ayatollah Khamenei a abordé la question palestinienne et a déclaré que "la Palestine était indivisible et appartenait aux musulmans, et quelle reviendra assurément au monde de l'islam". "Les solutions américaines en Palestine n'arriveront à rien, seule la proposition iranienne est valide qui veut que le régime politique qui gouverne toute la Palestine soit défini par un référendum des habitants de ce pays. Après la constitution d'un gouvernement choisi par la nation palestinienne, les Palestiniens décideront de ce qu'ils feront des Sionistes qui sont venus de l'étranger et se sont installés dans ce pays", a-t-il déclaré. Articles connexes
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Source : ZONE MILITAIRE
Un réseau de renseignement
Depuis quelques années, le sonar est épaulé par une forêt d'oreilles : celles des bâtiments de la marine nationale. Des navires de toutes tailles envoient au sous-marin la position des bâtiments qu'ils ont repérés. Les informations sont transmises par radio numérique en très basses fréquences - par conséquent très lentes -, capables de pénétrer dans l'eau jusqu'à 20 mètres de profondeur. A l'immersion périscopique, l'armée utilise une liaison satellite beaucoup plus rapide. Fin du fin : un écran LCD relié à un ordinateur rapide affiche la position des ennemis sur une carte du monde. Le commandant peut zoomer à volonté sur cette carte, devenue l'outil de référence pour « entendre l'ennemi mieux qu'on est entendu, comprendre l'ennemi mieux qu'on est compris ». Cette débauche de technologie a permis au Rubis, le sous-marin que nous avons visité, de s'illustrer dans des conflits majeurs. La guerre du Golfe, mais aussi la Yougoslavie - le Rubis a interdit la sortie des navires serbes des bouches de Kotor - ou l'Afghanistan, où il a protégé la Task Force 473.
Reste que les rochers, eux, à la différence des navires ennemis, ne font strictement aucun bruit. Le sonar ne les « voit » donc pas. Comment tracer sa route sans les heurter ? Impossible d'utiliser un sonar actif, comme le ferait une chauve-souris dans une caverne en projetant une onde qui se ref
Et pourtant, ils naviguent ! L'astuce ? Tous les mouvements du sous-marin sont enregistrés : accélérations, changements de cap ou de profondeur, rien n'échappe aux deux gyroscopes-accéléromètres reliés à un PC portable avec Windows 2000. Dès que le sous-marin plonge, ils prennent le relais du GPS. Grâce aux informations qu'ils fournissent, un calculateur évalue la position du sous-marin avec précision. Naviguer en aveugle devient possible : il suffit de se munir d'une carte des fonds marins, et de tracer une route sûre (cette carte des fonds marins sera informatisée courant 2006). Un système extrêmement fiable : il ne dévie qu'au bout de 48 heures. Une fois passé ce délai, on doit « recalibrer » les gyroscopes en entrant la position précise du sous-marin. Pour ce recalibrage, la marine nationale utilise deux méthodes - une par grande famille de sous-marins. Les sous-marins nucléaires d'attaque (SNA), comme le Rubis, sont conçus pour le combat : ils n'emportent pas de missiles nucléaires. Pour eux, une immersion périscopique n'est pas pénalisante : ils peuvent donc sortir un mât GPS à côté du périscope, et recalibrer leurs gyroscopes.
Les sous-marins lanceurs d'engins (SNLE), comme le Vigilant, mastodontes de 127 mètres emportant 16 têtes nucléaires, ont pour vocation de rester cachés trois mois si nécessaire sans refaire surface. Comment font-ils pour recalibrer leurs gyroscopes ? La technologie est classifiée... impossible d'en savoir plus.
Malgré cette abondance d'équipements sophistiqués, mener un sous-marin demeure une tâche délicate, à laquelle les sous-mariniers se préparent plusieurs mois. Une école forme les recrues à Toulon. L'ENSM ressemble plus au Futuroscope de Poitiers qu'à une université. On y trouve une douzaine de simulateurs, dont trois reproductions fidèles des parties les plus importantes du sous-marin. La console sécurité, montée sur vérins, bouge comme un sous-marin en mer. Le central opérations ressemble, trait pour trait, à celui du Rubis. Idem pour la chaufferie nucléaire.
http://www.cetace.info/les-actualites/article/inauguration-du-systeme-repcet-reperage-en-temps-reel-des-cetaces.html
par Emile Robert Giné dit Joseph dit Her Haupman Hash Loh
Alors la Edmond je suis vraiment deçu
Ce n'est pas des boots qu'l va lui faloir c'est directement les boites, avec des chevilles comme ça