Israël : Défense au Moyen-Orient

j'ai beau chercher dans mon commentaire, je ne vois d'insultes nul part à votre égard !!!

Les gens qui pensent à se faire exploser !!! je ne pleure pas sur leur sort, mais plutôt sur celui de ceux que( "ces pauvres diables", comme vous les appelez, si tendrement !!!!!! ) explosent et à leurs familles !!! et vous devriez avoir honte de ce que vous racontez là!!!! Pour moi, faire sauter un avion, un bus, un restaurant, pleins d'innocents sont des faits de "monstres"!!! ils méritent la mort!!! et , à votre place, je n'irais pas chanter trop fort ce que vous racontez là, en parlant de "pauvres diables" et de chercher les motifs pour justifier, ou corriger ou excuser !!!! que sais je!!! et quoi encore !!!! car ce n'est vraiment pas en votre honneur.

je lisais hier matin les titres de la rubrique " International " des infos d' " iGoogle " : cinq titres, tous consacrés à des pays musulmans : Syrie ( la répression ) ; Turquie ( les élections ) ; Libye ( les combats ; Kadhafi ) ; Yémen ( Al-Qaïda ) ; Pakistan ( attentats ) ... Et je me rappelais la réflexion de Samuel Huntington ( " Le sang coule sur toutes les frontières de l'Islâm " ), émise en 1996 dans son livre " Le Choc des Civilisations " - mais en fait antérieurement ( 1993 ). Il n'est pas sans intérêt de noter que Huntington a emprunté le titre de son livre à un article de l'un des trois ou quatre plus grands spécialistes vivants de la Turquie et de l'Islâm, Bernard Lewis ( " Les racines de la rage musulmane " , dans " The Atlantic Monthly " , numéro de septembre 1990 - donc avant même la première tentative ( 1993 ) de Ben Laden contre les Twin Towers ... ). Mais c'est une expression encore bien plus ancienne, puisque Bernard Lewis l'a émise pour la première fois en ... 1957 !
Autant dire que Bernard Lewis avait très tôt repéré quelque chose dont le monde n'a vraiment commencé à prendre conscience ( très partiellement, au demeurant ) que beaucoup plus tard.
On pourra mettre cette " rage musulmane " en regard des spectacles habituels d'éducation à la haine contre les Juifs ( cf. l'excellent livre de Yohanan Manor, " Les manuels scolaires palestiniens. Une génération sacrifiée " , publié en 2003 par Berg International Editeurs ), des défilés, à Gaza, au Liban,

Depuis quand le mot "comprendre" est devenu synonyme d' "approuver"?
Condamner un acte terroriste est très important.
On peut dans ce cas là (un seul acte) ne pas chercher à comprendre.
Mais lorsqu'on est en face de plusieurs actes terroristes qui se suivent et qu'aucune politique n'est arrivée à en endiguer le flot et la répétition, dans ce cas on est sommés de comprendre le pourquoi de tels actes et leur itération.
C'est la base même de toute intelligence.
Dans le cas des palestiniens, il serait réducteur voire simpliste d'expliquer ces actes par le seul fanatisme islamique.
L'islamisme radical n'est que l'ultime coup de pouce donné à ces jeunes palestiniens pour basculer dans la barbarie.
Toute jeunesse sans perspective d'avenir, vivant dans ce qui ressemble à des ghettos, ayant perdu leur terre, n'ayant aucun moyen de quitter leur bleds, subissant des dizaines de contrôles aussi draconiens qu'humiliants, dans l'enceinte même d'un mur de sécurité, ou ne pouvant prendre ni la mer, ni les airs, ni les portes terrestres, attendant des heures voire des jours (souvent en vain) le tampons salvateur pour pouvoir regagner une porte à 10 m de chez elle; cette jeunesse ne trouvera du réconfort que dans la foi, comme tout être humain sur cette terre incapable de trouver des solutions à ses malheurs.
Le juif retourne à sa torah, le chrétien à sa bible et le musulman à l'islam.
Une des solutions est d'empêcher ce retour vers l'islam radical.
C'est pourtant simple à.......comprendre!

L' haine produit que l' haine, que soit a l' interieur ou a l' exterieur.

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d'enfants cagoulés et ceinturés de grenades ou de bâtons d'explosif.
On pourra aussi établir une relation avec le fait que les détenus musulmans constituent partout dans les pays européens où ils sont présents, 60 à 80 % de la population carcérale totale ( cf. les travaux de Nicolaï Sennels pour le Danemark ; et l'enquête conduite en France par une journaliste du pourtant très " politically correct " journal de la gauche chic et choc de la côte Est, le " Washington Post " ).
Le problème de la violence musulmane ne date donc pas d'aujourd'hui. Et il ne concerne pas qu'Israël. Toutes les tentatives fondées sur le sentiment de culpabilité qu'entretient ici la gauche ( et la tradition catholique ) - ce que Pascal Bruckner appelle " le sanglot de l'homme blanc " - pour prendre au compte de la société, chrétiennement en quelque sorte, un malaise ou un mal-être dont nous serions, en dernière analyse, responsables ont échoué. Elles se brisent sur un mur de haine à l'encontre des sociétés occidentales, renforcé chaque jour par les prêches des imâms. Là même où l'on croirait voir, de l'extérieur, une modération relative, c'est en fait l'enseignement de la haine qui prédomine ( cf. ce curieux séminaires qui avait été organisé sous les auspices de la Grande Mosquée de Lyon, et où l'on débattait sur les versets qui annoncent que quand les musulmans détruiront les Juifs, seul entre tous les arbres l' " arbre des Juifs " ( le gharqad ) acceptera de les cacher ... ).
Aucune autre

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communauté en Europe ne pose ni n'

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ni n'a jamais posé nulle part de problèmes comparables. Pendant plusieurs siècles, les musulmans résolvaient les problèmes par l'usage cru de la violence : massacres, conversions forcées, réduction en esclavage ( accompagnée de la castration des esclaves mâles), conquête, incendie et pillage à grande échelle. On ne se souvient plus que la fameuse " piraterie barbaresque " infestait la Méditerranée ( et y menaçait à ce point les relations commerciales que la toute jeune République américaine avait dû envoyer une escadre en Méditerranée au début du XIXe siècle ) et que les dangers n'ont vraiment été écartés que par la prise par la France de la capitale de la piraterie barbaresque, Alger, en 1830 ...