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Israël : Défense au Moyen-OrientLe premier ministre libanais forme son cabinet (terroriste)Le premier ministre libanais, Najib Mikati, a annoncé lundi un nouveau gouvernement longtemps retardé, dominé par les alliés du Hezbollah soutenu par l’Iran, qui est susceptible de provoquer l’inquiétude des puissances occidentales.
Mikati a été nommé pour former un gouvernement après que le groupe terroriste chiite Hezbollah et ses alliés aient renversé en janvier la coalition de l’ancien premier ministre Saad Hariri soutenu par les occidentaux, suite à un litige mettant en cause le tribunal onusien chargé d’enquêter sur l’assassinat de l’ancien premier ministre Rafic Hariri, le père de Saad.
La majorité du cabinet est constituée par la coalition du 8 mars, dirigée par le Hezbollah. Mikati, en bon propagandiste à la solde du groupe terroriste chiite, a déclaré au journal libanais le Daily Star que « le gouvernement sera un gouvernement pour tout le Liban, et fonctionnera pour tous les libanais, sans discrimination. » Le même discours que celui tenu en Syrie ou en Iran.
« Allons au travail immédiatement selon les principes et les fondements que nous avons affirmé à plusieurs reprises, à savoir le défense de la souveraineté du Liban… et de son indépendance, et la libération des terres qui restent sous l’occupation de l’ennemi israélien, » a déclaré Mikati depuis le palais présidentiel de Baabda.
Des querelles politiques ont eu lieu jusqu'à la formation du cabinet, y compris d’importants désaccords sur les postes sensibles.
Le nouveau gouvernement a donné trois ministères au président Michel Sleiman, sept à Mikati, et trois au parti de Walid Joumblatt, socialiste progressiste, la coalition du Hezbollah prenant les 18 postes restants.
Mohammed Safadi, ancien ministre de l’économie, a été nommé ministre des finances et va essayer d’améliorer les perspectives de croissance du Liban, qui s’élevé à 2,5 pour cent cette année, tirée vers le bas par l’impasse politique.
Fayez Ghusn a été nommé ministre de la défense et Marwan Charbel ministre de l’intérieur. Nicolas Sehnawi a reçu le portefeuille des télécommunications, un poste controversé en raison de désaccords sur la privatisation du secteur.
Hariri, qui est appuyé par l’Occident et l’Arabie Saoudite, a refusé de rejoindre le gouvernement Mikati.
Un des principaux objets du nouveau gouvernement sera de s’accorder sur une position unifiée pour faire face aux inculpations prononcées par le tribunal qui devrait mettre en cause des membres du Hezbollah dans l’assassinat d’Hariri en 2005. Le groupe terroriste dément tout lien avec l’attaque.
Mikati, qui se dit politiquement neutre, a déclaré que le gouvernement libanais imposerait de maintenir des liens positifs avec tous les pays arabes.
Le dictateur syrien Bachar al-Assad, qui est en train de massacrer une révolte populaire contre son règne de 11 ans, a téléphoné à Mikati pour le féliciter, selon les medias libanais. La Syrie est un puissant allié du Hezbollah, le principal acteur de la coalition politique (…) qui a contribué à mettre Mikati au pouvoir en janvier.
« Ce gouvernement est déterminé à maintenir des liens forts et fraternels qui lient le Liban à tous les pays arabes, sans exception, » a déclaré Mikati, semblant prévenir du fait que même si la preuve de la participation de la Syrie dans l’assassinat d’Hariri sortait enfin au grand jour, cela ne perturberait pas son entente avec la dictature sanguinaire d’Assad. Articles connexes
19 commentaires
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"Le premier ministre libanais forme son cabinet"
QU'IL N'OUBLIE PAS DE TIRER LA CHASSE !
échec de la France cuisant
ONU machin
pays résolument tourne vers la terreur hezbola
il reste assad qui tombera
et le Liban sera pris dans la même toumente que la Syrie sous le joug titanique des Assad depuis plus de 50ans
-et que attends tu a part de l'EURABIA,pour qui-ils se prononcent sur hisb'allah??
[Mardi 14/06/2011 22:51]
Le site d’information israélien Debka rapporte que les Etats-Unis ont déployé mardi 13 juin dans la partie orientale de la Méditerranée, non loin des côtes syriennes, le navire de frappe amphibie USS Bataan qui est également un porte-avions. Le Bataan transporte 2000 hommes de troupe, six chasseurs-bombardiers, quinze hélicoptères de combat, et des hélicoptères transporteurs de troupe destinés à déployer des forces de Marines.
En même temps, des mouvements de navires américains ont été observés dans la Mer Egée, dans l’Adriatique et dans la Mer Noire. Ces mouvements-là sont liés à une manœuvre conjointe américano-ukrainienne dans la Mer Noire appelée Sea Breeze 2011.
Des sources militaires indiquent que les Etats-Unis renforcent leur déploiement de missiles antimissiles dans la Méditerranée. Dans la Mer Noire, le navire USS Monterey est équipé de l’un des systèmes les plus avancés d’interception de missiles sol-sol, l’AEGIS.
Une telle concentration de forces antimissiles dans la région indique que les Etats-Unis s’apprêtent à l’éventualité de tirs de missiles sol-sol de la part de trois éléments, l’Iran, la Syrie et le Hezbollah, vers des objectifs israéliens et américains dans le cas de figure d’un mouvement militaire américain en direction de la Syrie.
A Moscou, à Téhéran et à Damas, on craint ces mouvements et ce déploiement des forces américaines. On interprète cela comme une possibilité réelle qu’il y ait intervention américaine en faveur des insurgés syriens. A Ankara aussi, on partage ces estimations.