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Israël : Défense au Moyen-Orient"Barak m'a menti""Le gouvernement a menti à toutes les familles endeuillées. Ils ont promis aux parents endeuillés que les terroristes ne sortiront jamais. Ehoud Barak m'a fait une promesse personnelle, me disant que ce terroriste ne verrait jamais la lumière du jour. J'ai su ce jour là qu'il m'avait menti. J'ai dis a tout le monde que ce n'était qu'une question de temps avant le prochain accord. J'ai vu l'échange pour Goldwasser et Regev et j'ai su que ce n'était qu'une question de temps avant que les assassins de mon frère soient libérés." Le douloureux monologue ci-dessus appartient a Michael Norzich, frère de Vadim, qui a été assassiné lors du lynch de Ramallah en 2000. Michael dit que personne ne lui a téléphoné pour lui dire que l'un des assassins de son frère est inclus dans la liste des 477 prisonniers qui seront libérés dans le cadre de la première phase de l'accord Shalit. Abed Alaziz Salaha, qui a été photographié ses mains recouvertes de sang dans ce qui est devenu un symbole de la barbarie palestinienne lors de la seconde intifada, a été condamné à la prison à vie mais devrait être libéré mardi. "La douleur est plus forte aujourd'hui," a déclaré Michael. "Pas a cause de l'accord lui-même, mais à cause de la manière dont il s'est réalisé. Ce n'est pas un accord, mais un échec important. C'est un accord tordu. Vous ne pouvez pas relâcher à tout prix. Il y a un prix. Vous ne pouvez pas tout donner." D'une part, le frère endeuillé dit que sa famille est heureuse pour les parents et les frères et sœurs qui vont voir Guilad revenir à la maison. "D'autre part, notre famille est en colère que personne ne se soucie de notre sensibilité. Personne (dans le gouvernement) n'a connu notre douleur," a-t-il dit. Michael ne ressent pas de pitié pour les familles des prisonniers palestiniens. "Ils sont tous les enfants du diable. Je ne me sens désolé ni pour eux ni pour les larmes de leurs mères. Une mère qui envoie son enfant se faire exploser ?" Le lynch de Ramallah a eu lieu le 12 octobre 2000, lorsqu'un foule de palestiniens a assassiné deux soldats de Tsahal, Vadim Norzich et Yossi Avrahami, et mutilé leurs corps. Les deux soldats, désarmés, s'étaient égarés avant de s'abriter dans un poste de police palestinien, des policiers palestiniens qui ont finalement donné les deux hommes en pâture à une foule sanguinaire pour les résultats que l'on sait. Le lynch est survenu au début de la seconde intifada, et malgré les tentatives de l'autorité palestinienne d'effacer tous les documents sur le brutal assassinat, les images horribles avaient fait le tour du monde et envoyé une onde de choc en Israël sur la barbarie atteinte par la foule palestinienne. Salaha, 30 ans, originaire du village de Dir Jarid pres de Ramallah, a été arrêté en 2001 et a admis qu'il faisait partie de la foule qui a pris part au lynch, étranglant un des soldats tandis que d'autres le battaient. Quand il vit que ses mains étaient couvertes du sang des soldats, il est allé à la fenêtre pour les montrer fièrement à la foule en liesse. Articles connexes
85 commentaires
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La prochaine fois nous saurons qu'il ne faut pas faire de prisonniers quand il s'agit de terroriste. En attendant le Talmud nous interdit d'abandonner l'un des notres. Mais comme l'a ditnotre chef d'etat major ien n'est fini tant que ce n'est pas fini.
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Dimanche 16 Octobre 2011 à 18:49
bravo eden, j'avais loupe ce message, CA FAIT DU BIEN DE LE LIRE !
ceux qui critiquent cette action de bibi sont ceux qui n'ont FOI EN RIEN ET C'EST POUR CELA QU'ILS TREMBLENT DE PEUR !
COMME SI, PENDANT 5 ANS 1/2, ISRAEL N'A PAS ETE ASPERGEE PAR DES PLUIES TORRENTIELLES DE BOMBES ? COMME SI TOUS LES TERRORISTES ETAIENT ENFERMES.... NOUS EN AVONS ENCORE 6.000 A NOUS DEBARRASSER ! QU'ILS AILLENT AU DIABLE ! ET, EST-CE QU'ILS SAVENT CEUX QUI CRITIQUENT, COMBIEN CA COUTE A ISRAEL ? SI CA NE TENAIT QU'A MOI, JE LES RELACHE TOUS ET ELOKIM GADOL !
Le rachat des prisonniers - un commandement suprême
samedi 15 octobre 2011, par Jean-Marie Allafort
Le rachat des prisonniers est un commandement de la Tora. Les Sages de Loi lui ont conféré une signification hautement morale touchant jusqu’au fondement même du judaïsme. L’accord signé entre Israël et le Hamas pour ramener un seul captif au sein de son peuple est à comprendre comme un acte hautement religieux même s’il est accompli par un gouvernement composé majoritairement de non pratiquants. Le rachat des captifs est un commandement profondément ancré dans la conscience collective du peuple juif. Le prix exorbitant que les Juifs ont dû payé au cours de leur douloureuse histoire pour libérer les captifs est au-delà du "raisonnable" comme l’est aujourd’hui l’accord avec le Hamas qui échange Guilad Shalit contre 1027 prisonniers (la majorité des terroristes) qui ont causé la mort de 599 personnes innocentes.
Déjà dans le livre de la Genèse on raconte qu’Abraham a risqué sa vie pour libérer son frère Loth : "Dès que celui-ci apprit la capture de son frère, il mit sur pied trois cent dix-huit de ses vassaux, liés de naissance à sa maison. Il mena la poursuite jusqu’à Dan…" (Gn 14, 13-16). Dans le livre des Nombres, les fils d’Israël partent en guerre pour libérer les prisonniers des mains du roi d’Arad (Nb 21, 1-3). Un autre cas célèbre est celui de la libération des captifs aux mains des fils d’Amalek par le roi David et ses compagnons (1 Samuel 30, 3-30).
Selon Maïmonide, l’un des plus grands décisionnaires de la Loi qui a vécu au 12ème siècle, le commandement du rachat des captifs trouve son assise dans 7 versets de la Tora dont le célèbre verset : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même". Dans le Mishné Tora, Maïmonide explique : "Il n’y a pas de commandement plus grand que le rachat des prisonniers parce que le captif est celui qui a faim, soif et nu et que sa vie est en danger. Celui qui n’accomplit pas ce commandement transgresse 7 commandements de la Tora" (Mantanot Haanyim 8, 10). Le maître espagnol écrit plus loin, se basant sur la mishna du traité Guittin, que le rachat des captifs est directement lié à la notion de rédemption du monde.
Un texte ancien de l’époque talmudique donne une telle importance au commandement du rachat des captifs qu’il n’hésite pas à statuer que l’on doit vendre un rouleau de la Tora s’il le faut pour l’accomplir : " Si l’on ne se dépêche pas d’assurer la délivrance d’un prisonnier on est considéré comme ayant versé son sang. On vendra un rouleau de la Tora pour racheter un prisonnier" (Tosefta, Baba Bathra 8, b).
Au cours du Moyen-âge et dans les siècles suivants, les communautés juives ont souvent payé un lourd tribu pour libérer leurs prisonniers des mains des gentils dans des circonstances souvent dramatiques. Les décisionnaires ont multiplié les lois et recommandations pour encadrer juridiquement ce commandement.
Depuis la création de l’Etat d’Israël, la libération des prisonniers est régulièrement d’actualité. Cet acte, considéré comme hautement moral, est une manifestation plus que symbolique de la solidarité profonde du peuple et du destin commun partagé. Les grands décisionnaires juifs d’Israël comme le grand rabbin de Tsahal Shlomo Goren, le rav Shaoul Israéli ou le leader spirituel du Shass et ancien grand rabbin Ovadia Yossef ont toujours statué pour la libération des captifs même si le prix à payer devait être très lourd et même s’il fallait relâcher des terroristes avec du sang sur les mains. Ce commandement, qui en apparence affaiblit Israël, fait sa force morale et spirituelle.
De ce fait, la libération de Guilad Shalit n’est plus l’affaire privée d’une famille mais bien celle de tout un peuple pour qui la vie et la liberté recouvrées sont des valeurs suprêmes religieuses.
Toi et ISRAEL EDEN avez raison. On n'a pas à juger Bibi. Qui sommes nous pour oser le faire. Son discours est un modèle. Ce n'est pas la première fois que nos dirigeants écrivent des textes bouleversants et c'est nous que l'on accuse!
Demain Guysen diffusera à partir de 10h pour ceux qui veulent suivre de galouth la libération, de Guilad
Ces dernières heures sont insoutenables pour sa famille,ses amis et lui. J'essaie d'imagier ce qu'il doit ressentir mis c'est impossible
J'ai été choquée que Sarkozy puisse se permettre d'écrire une lettre...hypocrisie! Ecoeurée aussi mais ce n'est pas nouveau, de voir le peu de cas que l'on fait de cette libération à la télé... Guilad est aussi français mais avant tout israélien. Et çà ferait tâche de se réjouir de la libération d'un jeune homme Si ce n'était pas pour ma retraite qui est ma seule ressource, qu'est ce que j'aurais plaisir de renvoyer ma carte d'identité française à Sarkozy en rentrant en Eretz, en lui expliquant pourquoi j'ai honte d'être française alors qu'être Juive et israélienne me remplit d'une fierté sans égal!
Laïla tov le koulam
Laïla tov
Voila une affaire reglée.
Guilat est de retour, amaigri mais en bonne santé..
Il ne nous reste plus qu'a lui souhaiter de très longues années de bonheur dans sa famille..
Je suis cependant éberlué de lire que SARKOOZY voudrait le recevoir a Paris..!!!
QUEL HYPOCRITE, CONNARD ET SANS AUCUNE PERSONALITE.
Qu'a t-il fait pendant 5 ans ? Jouer la carte ARABE...!!!!
Et maintenant , avant les élections, il voudrait s'attacher le vote JUIF ?
Jamais je n'a pu voir de plus grand HYPOCRITE....
QU'IL AILLE DONC TORCHER LE CUL DE SON NOUVEL ENFANT...
voici un lien où vous pouvez écrire un mot à Guilad
http://www.welcomeguilad.com