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Israël : Défense au Moyen-Orient

Une attaque israélienne contre l'Iran aurait des conséquences "apocalyptiques"

 Selon la télévision iranienne, une attaque lancée par Israël contre Téhéran aurait des conséquences "apocalyptiques".
67 commentaires
La peur de l'Iran les fait aboyer comme des chiens.
Envoyé par Guillaume_006 - le Lundi 7 Novembre 2011 à 07:43

J'explique mieux,je veut dire que les iraniens ont tellement peur qu'ils aboient comme des chiens menacés...
Envoyé par Guillaume_006 - le Lundi 7 Novembre 2011 à 08:49
Pour leur propre sécurité, celle du Moyen Orient et peut etre le reste des sociétés occidentales, Les Isreaéliens devra bombarder les installations iranienes qui sont entrain d'obtenir les éléments nucléaire pour en faire une bombe. Le président de l'Iran dit a tout ceux qui veulent l'entendre qu'il utilisera cette armement nucléaire pour détruire Israel, la plupart des services de renseignement secret dans le monde confirme que l'Iran fait tout ce qu'elle peut pour batir ses armes nucléraire. Si on laisse un regime sous controle islamiste obtenir l'arme nucléaire la troisieme guerre mondial vas arriver a coup sure, car les islamiste ne sont pas mener par la logique mais par une volonté de mettre la terre au complet sous le controle de l'Islam.
Envoyé par Roland_017 - le Lundi 7 Novembre 2011 à 09:39

Plus besoin, pour les membres du gouvernement israélien et de la Knesset qui auront à se prononcer sur une éventuelle attaque contre les installations nucléaires iraniennes, d’attendre un rapport préalable émanant de l’armée de l’air israélienne.
Dès à présent, ils ont à leur disposition tous les scénarios possibles d’une attaque contre l’Iran, avec tous les risques que cela comporte et toutes les chances de réussite, grâce à l’étude menée par Abdullah Toukan et Anthony Cordesman, du Centre d’études stratégiques et internationales de Washington [1].

La publication d’un texte aussi lucide, détaillé et exhaustif sur les options offensives d’Israël est une première. Ce rapport de 114 pages expose l’ensemble des informations disponibles sur les capacités militaires d’Israël et son programme nucléaire, ainsi que sur les développements nucléaires et les défenses aériennes de l’Iran, et sur l’inventaire des missiles dans chacun des deux pays.

Après avoir passé en revue tous les cas de figure d’une attaque contre l’Iran, Toukan et Cordesman concluent : "Une offensive israélienne contre les installations nucléaires iraniennes est possible, (mais) elle serait complexe et hautement risquée et rien ne garantit que la mission dans son ensemble se solde par un succès."

Le premier problème soulevé par les auteurs concerne les services secrets, ou plutôt leurs lacunes. D’après eux, "on ignore si l’Iran dispose d’installations secrètes d’enrichissement d’uranium". S’il existe des installations inconnues des agences de renseignement occidentales, le programme iranien d’enrichissement d’uranium pourrait bien s’y poursuivre en secret, alors même qu’Israël bombarderait les sites connus - l’opération serait donc nulle et non avenue. De manière générale, les auteurs du rapport estiment qu’une attaque contre l’Iran ne se justifie qu’à condition de mettre fin au programme nucléaire iranien ou de le stopper pour plusieurs années. Or c’est là un objectif difficile à atteindre.

Les services secrets sont également divisés sur la question cruciale de savoir quand l’Iran disposera de l’arme nucléaire. Les Israéliens affirment que la bombe sera prête entre 2009 et 2012 ; les Américains, eux, repoussent l’échéance à 2013. Si les prévisions des Israéliens sont justes, la fenêtre d’opportunité pour une intervention militaire ne tardera pas à se refermer. Quoi qu’il en soit, tout le monde est unanime sur le fait que nul n’osera attaquer l’Iran une fois qu’il sera en possession de l’arme nucléaire.

Etant donné que des dizaines d’installations nucléaires sont éparpillées sur l’ensemble du vaste territoire iranien, et qu’il n’est pas possible de les attaquer toutes d’un coup, Toukan et Cordesman envisagent l’option consistant à n’en frapper que trois, celles qui "forment le maillon central de la chaîne du combustible nucléaire nécessaire à l’Iran pour produire du matériel fissile à des fins militaires".

La destruction de ces trois sites-là suffirait à paralyser le programme nucléaire iranien pour plusieurs années. Il s’agit du centre de recherches nucléaires d’Ispahan, de l’usine d’enrichissement d’uranium de Natanz et de l’usine de production d’eau lourde d’Arak, destinée à la production d’uranium. Or il n’est pas sûr qu’Israël se lance dans une offensive aussi lourde de conséquences pour frapper seulement un petit nombre d’installations, sans aucune garantie d’interrompre ainsi la nucléarisation iranienne pour une durée significative.
Envoyé par Roland_017 - le Lundi 7 Novembre 2011 à 10:28
je crois que nous nous faisons du soucis pour rien, **SI L"IRAN AVAIT LA BOMBE ATOMIQUE,FOU COMME EST LE PETIT MOUSTACHU** il aurait deja essayer,il a probablement quelques morceaux de la bombe,mais pas le declencheur et autres pieces necessaires pour s'en servir.TOUTES SES MENACES SONT DU BLA BLA BLA ** celui qui serait assez fou pour lancer la bombe dans ce coin a *POPULATION SI CONCENTRE* serait un malade mental.*************
** REFLECHISSONS TOUT DE MEME,DANS CE COIN DU MONDE ,IL Y A BEAUCOUP DE **MENTALES**
Shelma
Envoyé par Shelma - le Lundi 7 Novembre 2011 à 12:08
PAS DE PANIQUE **** SI L' ..IRAN AVAIT VRAIMENT LA BOMBE IL S,EN SERAIT DEJA SERVI *******

ILS NE REFLECHISSENT PAS AUX RETOMBES
RADIO ACTIFS SUR ***TOUT LE PROCHE ORIENT ET AU DELA**


Shelma
Envoyé par Shelma - le Lundi 7 Novembre 2011 à 12:18
Bonjour, Roland. Il me semble que vos deux posts ( 09 : 39 et 10 : 28 ) sont, à quelque degré, contradictoires. Que concluez-vous, finalement : qu'Israël devra attaquer ( c'est ce qui me paraît ressortir du premier post ) ? Ou bien qu'une intervention israélienne comporte trop d'inconnues et d'incertitudes ( deuxième post ) pour que le risque en soit pris ?
Envoyé par Edmond_002 - le Lundi 7 Novembre 2011 à 14:12
bonjour, edmond, c est pas si simple, tout n est pas blanc ou noir,

Le président israélien Shimon Peres a averti samedi qu'une attaque était "de plus en plus vraisemblable" contre l'Iran. "Les services de renseignements des divers pays qui surveillent (l'Iran) s'inquiètent et pressent leurs dirigeants d'avertir que l'Iran est prêt à obtenir l'arme atomique", a affirmé Shimon Peres à la seconde chaîne privée de la télévision israélienne. "Il faut se tourner vers ces pays pour qu'ils remplissent leurs engagements. Ce qui doit être fait, et il y a une longue liste d'options", a-t-il encore dit.

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Shimon Peres a tenu ces propos alors que l'AIEA (l'Agence Internationale pour l'Energie Atomique) doit publier le 8 novembre un rapport sur le programme nucléaire de l'Iran, que les experts israéliens jugent "alarmant". Le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman a estimé que ce rapport prouvera "au-delà de tout doute" les objectifs militaires du programme nucléaire iranien. Il a émis l'espoir que l'Iran serait frappé d'une nouvelle série de sanctions internationales. Selon le quotidien israélien Haaretz, le rapport de l'AIEA aura "une influence décisive" sur le gouvernement israélien.

Israël disposerait de 200 ogives nucléaires

L'hypothèse d'une frappe préventive d'Israël contre les installations nucléaires de l'Iran a repris corps ces derniers jours, à la faveur de fuites organisées vers les médias d'un débat qui divise les membres du cabinet de Benjamin Netanyahu. Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a démenti lundi des informations selon lesquelles il aurait d'ores et déjà décidé avec Netanyahu d'attaquer l'Iran. Mais, il a ensuite ajouté qu'"il peut se créer des situations au Moyen-Orient dans lesquelles Israël devra défendre ses intérêts vitaux de façon indépendante, sans avoir à s'appuyer sur d'autres forces régionales ou autres". Selon Haaretz, la majorité des 15 membres du cabinet israélien de sécurité est pour l'heure opposée à une attaque contre l'Iran. Seule cette instance peut arrêter une décision aussi grave.

Beaucoup de responsables israéliens soulignent qu'Israël n'est pas en mesure de lancer une telle opération sans la coordonner préalablement avec les Etats-Unis et sans le feu vert de ces derniers. L'opinion israélienne est divisée pratiquement à égalité entre partisans (41%) et opposants (39%) d'une attaque contre les installations nucléaires iraniennes, selon un sondage. Israël est considéré comme une puissance atomique dans la région mais n'a jamais confirmé ou démenti disposer du feu nucléaire. Selon des sources étrangères, il disposerait d'un arsenal de 200 ogives nucléaires et des vecteurs adéquats pour les larguer.
Envoyé par Roland_017 - le Lundi 7 Novembre 2011 à 15:13
Dans un autre ordre d'idées...mais toujours contre les extrémismes je vous laisse apprécier l'info
Envoyé par Judith - le Lundi 7 Novembre 2011 à 15:31
en tant que croyant, je prie le roi des rois, "O D... , si israel doit attaquer, soit en tete de notre armee, comme tu as été a nos cotes pour toutes les guerres dont nous sortmesi vainqueurs, encore dans ces moments douloureux ou nous ton peuple est confronté a un danger mortel et un fou furieux dont le fantasme et de rayer de la carte le pays que tu as promis a ton peuplePour des raisons de sécurité, les Iraniens ont dispersé leur capacité de production dans plusieurs régions et des bâtiments civils, servant de stockage, compliquant la tâche israélienne en cas de frappe. Les experts doutent donc de la capacité d'Israël à renouveler l'exploit de la destruction du réacteur irakien Osirak en 1981.

Les militaires ont à résoudre le problème fondamental de l'éloignement des sites visés des bases aériennes israéliennes. Ils savent qu'ils ne pourront disposer d'aucune aide de la part des Américains qui désapprouvent par avance l'opération et qui ne veulent pas subir les foudres de leurs alliés arabes.

La distance à parcourir par les avions de chasse, conçus pour de faibles distances, constitue un blocage technique car les cibles potentielles se situent entre 1.500 et 2.300 kilomètres de la frontière israélienne et le ravitaillement en vol à lui seul ne résout pas tous les problèmes. L'Iran, qui se sait menacé depuis plusieurs années, a conçu des systèmes de protection de ses usines, a éparpillé ses programmes nucléaires en différents lieux et a même développé des systèmes de remplacement, des «backup», en cas de frappe militaire. L'existence d'un nouveau site d'enrichissement près de Qom suffit à le démontrer.

Une attaque pourrait retarder le programme nucléaire comme le souligne le Secrétaire à la défense américain Robert Gates mais serait dans l'impossibilité de le stopper. Par ailleurs les Américains ont alerté les Israéliens sur le fait que le survol de pays arabes entrainerait leur réprobation et que leur action serait condamnée fermement à la fois par les pays arabes modérés, même s'ils en seraient peut-être officieusement satisfaits, par la Russie, la Chine et la majorité des pays européens. Cela n'inquiète pas outre mesure Israël qui n'a pas l'habitude de tenir compte des mises en garde quand son existence est menacée. Il existe un consensus en Israël sur le fait que l'émergence d'un Iran nucléarisé avec le régime actuel à Téhéran est une menace mortelle.
Envoyé par Roland_017 - le Lundi 7 Novembre 2011 à 15:43
Bien sûr, Roland, " Rien n'est simple " ; et même : " Tout se complique " , dirais-je, en reprenant les titres de deux albums du dessinateur Sempé, si je ne me trompe ... Clin d'oeil Clin d'oeil - Et rien n'est simple en particulier pour ceux qui ont à prendre ( ou à ne pas prendre ; ou à différer ) des décisions de la plus haute importance pour l'avenir et la survie de leur peuple - et qui ne peuvent en l'occurrence se permettre d'erreurs. Tous les éléments que vous évoquez dans votre réponse ci-dessus ( 15 : 13 ) conservent le caractère quelque peu contradictoire que je relevais dans vos posts précédents. En disant cela, je ne formule nulle critique ni nulle ironie, croyez-le bien : c'est la situation elle-même qui comporte des contradictions et une forte dose d'indécidabilité ... La division à la quasi-égalité - que vous rappelez - de l'opinion israélienne traduit cette situation ( et elle est aussi probablement dans la tête de chacun de nous ).
Mais je voudrais revenir sur un point. Vous vous appuyez sur l'étude d'Anthony Cordesman et Abdullah Toukan. Cette étude a été publiée par le CSIS ( " Center for Strategic and International Studies " ) en mars 2009, environ deux mois après la prise de fonction de B. Obama. C'est--à-dire qu'elle reposait sur des matériaux collectés en 2008. En trois ans, les données ont évolué et se sont, pour une part, modifiées. Les données politiques, par exemple : le rapport Cordesman-Toukan est antérieur au discours du Caire d'Obama. Les données géo-politiques
Envoyé par Edmond_002 - le Lundi 7 Novembre 2011 à 16:03
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