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Israël : Défense au Moyen-OrientAIEA : l'Iran est proche de la capacité nucléaireLes détails concernant le prochain rapport de l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) continuent de fuir. Les renseignements fournis à l'agence de surveillance nucléaire des Nations Unies indiquent que l'Iran a maîtrisé les étapes essentielles nécessaires à la construction d'une arme nucléaire, a indiqué dimanche le Washington Post. Selon les renseignements, l'Iran semble avoir reçu une assistance technique cruciale d'experts étrangers, rapporte le journal, citant des diplomates occidentaux et des experts nucléaires informés des résultats de l'AIEA. Le Washington Post a déclaré que les conclusions du rapport fournissent de nouveaux détails sur le rôle joué par le scientifique russe Vyacheslav Danilenko, qui aurait enseigné aux iraniens la construction des détonateurs de haute précision utilisés pour déclencher une réaction nucléaire en chaîne. Des technologies cruciales liées à des experts au Pakistan et en Corée du Nord ont également contribué à propulser l'Iran au seuil de la capacité nucléaire, indiquent des experts. Danilenko a été décrit comme un élément clé qui a aidé les iraniens pendant au moins cinq ans, donnant des conférences et partageant des documents de recherche sur le développement et l'essai d'un explosif que les iraniens semblent avoir incorporé dans leur conception d'ogives nucléaires. Son rôle a été jugé si important que les enquêteurs de l'AIEA ont consacré des efforts considérables pour obtenir sa coopération. Le scientifique a reconnu son rôle, mais a dit qu'il pensait que son travail était limité à l'ingénierie civile. Il n'existe aucune preuve que les représentants du gouvernement russe connaissaient les activités de Danilenko en Iran. Le rapport de l'AIEA indique que l'Iran achète des technologies nucléaires sensibles et pourrait être en mesure de confectionner rapidement une bombe si il le désirait. Néanmoins, le Washington Post explique que des responsables américains craignent une réaction exagérée suite au rapport, les Etats-Unis pouvant estimer qu'il y a suffisamment de temps pour convaincre Téhéran de changer de comportement. Pendant ce temps, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a émis dimanche sa première réponse aux rapport d'un possible raid israélien sur l'Iran, ainsi qu'aux discussions sur de nouvelles sanctions. "Les Etats-Unis craignent le pouvoir militaire croissant de l'Iran, car il est désormais capable de rivaliser avec Israël et l'Occident," a-t-il dit. "L'Iran augmente ses capacités et ses avancements, et nous sommes donc en mesure de rivaliser avec Israël et l'Occident, et en particulier les Etats-Unis," a-t-il ajouté. Ahmadinejad a ajouté : "c'est Israël qui a environ 300 ogives nucléaires. L'Iran est seulement désireux d'avoir des capacités nucléaires à des fins civiles." Articles connexes
56 commentaires
| Membre Juif.org
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Certains analystes, et non des moindres, n’hésitent pas à avancer une "théorie de l’abominable" concernant le comportement de l'Occident au Moyen-Orient.
Dans un plan machiavélique plus ou moins concerté, l'occident antisémite (au sens large du terme), inciterait sournoisement le Monde Arabo-Musulman, à annihiler les Juifs concentrés en Israël, afin d’avoir le prétexte de détruire le monde arabo-Musulman (y compris celui qui les a envahi).
Rejoignant ainsi, l’Espagne colonisée du Moyen âge, qui avait réussi, à se "débarrasser" des musulmans après près de huit siècles d’occupation...
De nombreuses conséquences ne manquant pas "d'intérêt" pour les occidentaux dans ce plan amalécite...
- L'Occident "termine" la Shoah... en toute impunité, par le Monde arabo-musulman interposé...
- L'Occident écrase les vilains méchants génocidaires... (il se sacre justicier du monde...).
- L'Occident renvoit dans leurs pays d'origine les Djihadistes installés en Europe...
- L'Occident met la main sur toutes les ressources d'hydrocarbures du Moyen-Orient...
- L'Occident éloigne le spectre d'un Moyen-Orient en Paix et industrialisé... devenu concurrent et non plus client...
Mais ce n'est là, bien sûr, qu'une "théorie de l’abominable", une spéculation que certains taxeront de paranoïaque !
Aucun être censé ne peut adhérer à des telles supputations pensez-vous ?....
Maintenant...observez-les bien...
iraniennes ne pourra pas donc pas être différée au-delà d'un terme qui est, maintenant, assez proche.
C'est donc aussi cela que disent, de façon transparente, les déclarations de Shimon Pérès, de Benyamin Netanyahu, etc. Et c'est en quoi elles ne sont pas de l'intox.
@ Mosche : je suis assez sceptique - quoique il me souvienne d'avoir émis sur ce site, il y a environ un an, l'idée que l'approche hostile des équipes dirigeantes de la Maison Blanche et du Département d'Etat [ contraindre Israël, au moyen de pressions multiples, externes ET internes, à céder aux Arabo-musulmans : création d'un [ deuxième, puisqu'existe déjà la Jordanie ] Etat arabo-palestinien en Judée-Samarie, avec abandon des quartiers est et sud de Jérusalem ; liquidation de toutes les constructions juives en Judée-Samarie, sur le modèle de ce qui avait été imposé au Gush Katif ; reconnaissance des prétendues " frontières de 1967 " ], cette approche ayant échoué - ce dont témoignaient, entre autres, le retrait de Rahm Emanuel ou celui du général James Jones - , les concepteurs de la politique démocrate en matière de Proche-Orient, et en particulier le vieil antisémite Zbigniew Brzezinski, allaient mettre en oeuvre ce que j'appelais un " plan B " .
Selon moi - je me livrais à cette analyse il y a un peu plus d'un an ; mais c'est peut-être une approximation très discutable - , l'équipe Brzezinski ( qui fut notamment derrière la politique de Jimmy Carter, puis de Bill Clinton )
allait mettre en
place une troisième alliance historique des Etats-Unis avec l'Islâm. Ou du moins allait tenter de la mettre en place.
Les alliances précédentes avaient été établies dans le contexte de la Guerre Froide et visaient essentiellement à contrer l'URSS et le communisme :
- en 1965, l'alliance avec les généraux musulmans avait fait échec à la tentative de coup d'Etat pro-communiste du lieutenant-colonel Untung en Indonésie ;
- à partir de 1979, la mainmise communisto-soviétique sur l'Afghanistan avait été contrée par l'alliance passée avec les groupes musulmans fondamentalistes comme celui, par exemple, de Gulbuddin Hekmatyâr ; ( mais au cours de la même époque, et dans d'autres zones, Maghreb et Machrek, là où la menace communiste était moins immédiate, le choix qui avait été fait consistait à appuyer des dictatures militaro-policières : Anouar Al-Sadate puis Hosni Moubarak ; Saddam Hussein ; Hafez El-Assad ; généraux algériens ; voire roi du Maroc ... ).
La nouvelle donne consisterait à lâcher ces dictatures - comme l'équipe Brzezinski avait concocté, sous Carter, le lâchage du Shah d'Iran - et à laisser les islamistes ( en l'occurrence, ici et là, les variantes locales des Frères Musulmans ) accéder au pouvoir et trouver avec eux un terrain d'entente ( ce qui n'avait pas été possible en Iran ; et ce qui avait fini par échouer en Irak et en Syrie en raison des ambitions
et du manque de souplesse ou de docilité des dictateurs locaux ).
J'avais donc, il y a une dizaine de mois, analysé les révolutions du prétendu " printemps arabe " ( Tunisie et Egypte ) comme le début de la mise en oeuvre de ce " Plan B " .
Mais les choses sont peut-être différentes - et en tout cas plus complexes. Par exemple, en Egypte, il semble que l'armée n'ait pas été véritablement écartée du pouvoir, la question d'un compromis entre militaires et Frères Musulmans n'étant pas encore réglée ; ou encore : le cas libyen a vu se déployer l'action en premier plan de supplétifs - la France ... - et, là aussi, la stabilisation et la forme qu'elle pourrait prendre ne sont pas encore acquises.
C'est-à-dire que le coefficient d'incertitude est extrêmement élevé. La décision de Zbigniew Brzezinsi et de Jimmy Carter de lâcher le Shah d'Iran n'avait pas débouché sur une nouvelle alliance ( entre les Etats-Unis et l'ayatollah Khomeiny ), mais sur un affrontement ( deuxième choc pétrolier ; affaire des otages de l'ambassade américaine à Téhéran ) qui n'avait pu être " géré " , de manière extrêmement coûteuse sur le plan humain et risquée sur le plan politique, qu'à travers la manipulation de Saddam Hussein et la guerre Iran-Irak.
L'accession de Frères Musulmans au pouvoir, en Tunisie et en Egypte, par exemple, outre qu'elle n'est pas encore vraiment ou entièrement réalisée, débouchera-t-elle sur une nouvelle alliance entre l'Occident et l'Islâm ? Et quel seront les
De tout façon, depuis le temps, si nous ne sommes pas paranoïaques, c'est parce que nous sommes un peu distrait !!!
Tout que je suis confiant que cette fois aussi ils se cassent les dents ! B'H
les formes et les coûts politiques d'une telle alliance, à supposer qu'elle se mette en place ? - Pour l'instant, on ne voit pas ...
De plus - et c'est fondamental - contre qui s'établirait cette alliance ? - On retrouve là, dans une autre formulation, la question du coût politique de cette alliance, et aussi toutes les questions que tu poses, Mosche, dans ton post ci-dessus ( à 15 : 09 ). Pour parler clair : cette alliance se ferait-elle sur le dos d'Israël, voire carrément contre lui ? - Nul doute que certains segments du Département d'Etat ou le Quai d'Orsay seraient prêts à " rectifier " ce que beaucoup d'entre eux considèrent comme une erreur historique majeure : la création de l'Etat d'Israël en 1948.
Mais cette perspective est-elle le moins du monde réaliste, à moins d'un embrasement généralisé ? Et, même en cas d'embrasement généralisé, son succès final ( l'élimination d'Israël ) est-il garanti ? - Rien ne permet de l'affirmer.
Donc en la matière, les américains ne se trompent plus, maintenant ils savent que le meilleur moyen de se faire des ennemis chez les musulmans constitue à d'abord s'en faire des amis, exemple ; les Al Saouds ont de très proches relations avec les USA et cela depuis leur coup d'état sanglant des années 20-30 suite à la découverte du pétrole, le résultat est que les Al Saoud tiennent le pays avec une main de fer, mais que 80% de la population se tait, mais est très largement prête à se soulever contre la dynastie en place et manifeste son agressivité islamiste de façon très soutenue, les Al Saoud ne vont pas contre cet intégrisme, mais pas à l'intérieur du pays, ce qui fait que l'islamisme salafiste et wahabite est largement répandu dans d'autres pays musulmans, ils construisent des mosquées, mais principalement ils ouvrent des maisons closes et violent des gamines au nom de leur miséricorde infinie !!!
Donc impossible de construire quoi que ce soit avec ces sauvages en rut (à Suivre)