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Israël : Défense au Moyen-OrientEgypte : le nombre de morts passe à 33La morgue principale du Caire a reçu 33 cadavres de personnes tuées dans des affrontements entre manifestants et forces de sécurité, ont déclaré lundi des sources médicales. Les sources, qui ont demandé à ne pas être identifiées, ont déclaré que la morgue était le lieu principal où les corps étaient amenés. Auparavant, le ministère de la santé avait déclaré que 22 personnes avaient été tuées, dont deux samedi, un à Alexandrie. Les 20 autres ont été tuées dans les violences de dimanche. Les manifestants qui demandent aux généraux de quitter le pouvoir ont repoussé un nouveau raid de la police qui visait à les expulser de la place Tahrir au Caire dans la journée de lundi, selon des témoins. Au moins 425 personnes ont été blessées depuis que les violences ont éclaté dans le centre du Caire il y a trois jours, selon le ministère égyptien de la santé. La police a tiré des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc, et a attaqué un hôpital de campagne improvisé, tandis que les manifestants brisaient les trottoirs pour lancer des morceaux de béton contre les forces de l'ordre. De la fumée noire s'élevait d'un immeuble de six étages, près de la place Tahrir, alors qu'une femme appelait à l'aide depuis une fenêtre du dernier étage. Les pompiers sont arrivés, mais la police a tiré des gaz lacrymogènes depuis une rue latérale contre la foule rassemblée en bas de l'immeuble, suscitant la colère de celle-ci. Certains habitants tentaient d'escalader le bâtiment pour sauver ceux qui y étaient piégés. "Il n'y a clairement pas de retour, comme vous pouvez le voir, cette violence ne peut être balayée sous la table," a déclaré Essam Gouda, un manifestant de Tahrir, qui a dit que deux manifestations devraient converger vers la place dans l'après-midi. "Notre objectif est de contrôler les points d'entrée de la place de telle sorte que les services de sécurité n'empêchent pas les manifestants d'y entrer," a déclaré Essam. La place Tahrir a été le point de ralliement des manifestants du Caire lors du soulèvement de 18 jours qui a renversé le président Moubarak après trois décennies de pouvoir en février dernier. Une semaine seulement avant l'organisation des premières élections parlementaires libres depuis des décennies, les affrontements ont soulevé des préoccupations sur la manière dont le vote se déroulera. Les égyptiens doivent élire un nouveau parlement lors d'un vote échelonné qui doit commencer le 28 novembre, mais même lorsque l'assemblée sera choisie, les pouvoirs présidentiels resteront aux mains de l'armée jusqu'à ce qu'un scrutin présidentiel soit organisé, mais probablement pas avant fin 2012 ou début 2013. Les manifestants veulent une transition beaucoup plus rapide. Articles connexes
10 commentaires
| Membre Juif.org
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Et, donc, les islamistes sont en train de passer une alliance dans la rue avec la gauche contre les militaires. Hier, les manifestants réclamaient la mort du maréchal Tantawi ... Tout cela ne présage rien de bon. Il faut espérer que la menace iranienne sera liquidée avant que de nouveaux fronts ne s'ouvrent, notamment au Sud-Ouest ...
C'est ça leurs "printemps zarabes"??? On peut se demander à quoi pourrait ressembler leurs "hivers zarabes" quand on "les voit à l'oeuvre" dans les rues, tellement occupés à s'entre-tuer pour le pouvoir et l'argent islamistes avec, au bout du compte, le retour à l'obscurantisme et aux exactions qui les caractérisent: charia, lapidation, etc...
Une Civilisation de "haut vol"...
Et ce sont ces fauves-là qui veulent nous donner des leçons et nous imposer leurs lois archaïques dans nos pays civilisés???? De qui se moque-t-on???
Il faudrait que nos responsables ayant encore "quelque chose entre les oreilles" (1 cerveau en état de marche) observent les gesticulations de ces "entités" non seulement grotesques, mais surtout très dangereuses, au lieu de les soutenir, les payer grassement (pour acheter des armes), et les aider à "taper sur Israêl", soi-disant responsables de tout ce qui va mal dans le monde (comme par hasard...). La jalousie les étouffe.
Nos "responsables occidentaux" se doivent d'assumer enfin toutes leurs responsabilités vis-à-vis de leurs concitoyens respectifs, car nous sommes tous au bord du gouffre à cause de la fausse inertie/vraie complicité d'(ir)responsables avec des voyous sans foi ni loi dont ils acceptent, "en nos noms"-élections obligent-, tous les diktats, y compris les + aberrants (cf. la tente de khadafou plantée dans les jardins de l'élysée, par ex...!!!).
AM ISRAEL HAY :-
Sans vouloir minimiser la tristesse des familles des morts égyptiens, -mais ils s'entre-tuent dans leurs rues-, il aurait fallu que les médias "alzheimériens" aient rendu des comptes aussi précis, et journaliers, des morts israéliens, lorsque les civils israéliens de Sdérot, entre autres (hommes, femmes, enfants, vieillards), ont été canardés PENDANT 6 ANS, par des terroristes islamistes, le hamas, pour ne pas le nommer, lesquels terroristes n'ont jamais caché leur but: "éliminer Israêl et les Israéliens".
Et dire que leurs déclarations (véritables appels au meurtre de civils innocents) n'ont jamais été dénoncées ni sanctionnées par qui que ce soit de "haut placé" (façon de parler lorsqu'on évoque "tous les guignols" qui croient diriger le monde!!!).
Et là, personne du monde soi-disant "civilisé", n'a jamais plaint les victimes israéliennes, ni n'a compati avec la douleur de leurs familles. Comme si c'était n o r m a l !! We should never FORGET their haste towards us. NEVER!!!!
Comme d'hab, les morts civils Israéliens "comptent pour du beurre", les morts zarabes étant + précieux aux yeux des médias "achetés" par le monde "nazivertdegris". Exemple-type du "2 poids, 2 mesures" et de l'anti-sémitisme flagrant dont nous sommes toujours victimes. A méditer...
AM ISRAEL HAY
Une Belge de 13 ans a été rouée de coups vendredi après-midi par cinq jeunes filles d’origine marocaine à la sortie d’un cours de sport à Bruxelles. Elles lui reprochaient sa religion.
Vendredi vers 16h, Océane Sluijzer (13 ans) venait de terminer son entraînement de foot. Elle quittait le centre sportif du quartier de Neder-Over-Heembeek, au nord de Bruxelles, lorsqu’elle a été prise à partie par cinq adolescentes un peu plus âgées qu’elle. Océane s’est alors fait traiter de « sale juive » et a reçu deux claques, rapporte le journal « La Dernière Heure ».
Océane tente en vain de prendre la fuite. Rattrapée par la bande de jeunes filles, elle est passée à tabac après s’être entendue répéter : « Ferme ta gueule, sale juive et retourne dans ton pays. » « Elles lui sont tombées dessus à cinq, l’ont attrapée par les cheveux et lui ont tapé la tête sur les genoux. Elle a été rouée de coups de tous côtés », explique son père. Harcelée par des camarades d’école
Les révolutions arabes sont toutes différentes mais ont au moins un point commun dans les différents pays où elles ont eu lieu. Les Frères musulmans et autres islamistes, malgré des structures souvent bien organisées, n’ont pas pris part à l’avènement des nouveaux régimes. Ils ont d’abord assisté en spectateurs aux événements et ensuite, se sont insérés dans le processus de démocratisation en donnant l’impression qu’ils ne s’intéressaient pas au pouvoir et que leur objectif était uniquement social.
Ils se sont inspirés de la technique utilisée avec succès en 1979 par l’ayatollah iranien Khomeiny qui ne cessait de marteler, quand il était en France lors de la chute du Shah, que son vœu le plus cher était de reprendre ses cours pour ses élèves de Qom et que le pouvoir était le dernier de ses soucis. On sait ce qu’il est advenu de son engagement. La gauche marxiste iranienne était descendue dans la rue à Téhéran et a permis aux mollahs de récupérer la révolution à leur profit. Depuis la République Islamique tient le pouvoir à Téhéran d’une main de fer.
Le Dr. Gerbi est le directeur de l’Organisation Mondiale des Juifs de Libye. Il fut le premier Juif à prendre parti pour les rebelles libyens en allant enseigner les techniques de traitement post-traumatique à l’Hôpital Psychiatrique de Benghazi. Séjournant dans des abris durant tout l’été en compagnie des rebelles, il a aidé leurs chefs à mettre en place de nouvelles stratégies et à restaurer l’unité dans leurs rangs lorsque des conflits émergeaient.
Après le départ de Khadafi, le Gouvernement intérimaire envisagea de lui donner un poste dans le nouveau parlement. Il aurait ainsi incarné la nouvelle position officielle de tolérance religieuse, dans un pays où elle avait disparu pendant les 40 ans de dictature.
La nouvelle Libye est à la recherche d’une nouvelle identité plus démocratique. Mais 42 ans de dictature ont réussi à imprégner le peuple d’un antisémitisme virulent, en propageant notamment le mythe que les Juifs avaient détourné les richesses du pays vers Israël – alors qu’en réalité Khadafi a expulsé les derniers Juifs qui étaient restés après les émeutes des années 60. Khadafi avait alors confisque tous leurs biens, estimés à plus de 500 millions de Dollars, qu’il avait ajouté à sa fortune personnelle de plus de 200 milliards de Dollars accumulée sur le dos du pays.
En attendant la formation du nouveau gouvernement, le Dr. Gerbi décida d’aller passer les Fêtes en Libye. Il se rendit à Tripoli pour Rosh HaShana en compagnie des rebelles. Il devait remettre des messages de la part de l’Organisation Mondiale des Juifs de Libye à Moustafa Abdul Jalil, chef de la Révolution et Président du Gouvenement Intérimaire. Jusque là, il était toujours traité comme un futur membre de leur Parlement.
Mais David Gerbi n’était pas du genre à gaspiller son temps dans la nouvelle Libye libérée. Il voulait être le premier Juif à retourner prier dans la vieille Synagogue en ruine de Dar Bishi à Tripoli, où ses ancêtres avaient compté parmi les fidèles. Ce geste simple de dévotion allait lui démontrer que l’héritage de Khadafi ne serait pas si simple à effacer.
Un regard à l’intérieur de la synagogue le gratifia d’une vision d’horreur. L’entrée avait été murée, et l’ancienne maison de prière qui avait connu la gloire avant l’expulsion des Juifs libyens était devenue un antre répugnant où des junkies avaient amoncelé leurs ordures, d’un bout à l’autre du sanctuaire.
« Ma première exclamtion quand j’ai pénétré à l’intérieur fut ‘Haram Kabir – sacrilège ! Je ne pouvais supporter que le nom divin ait été profané à ce point », déclara le Dr. Gerbi lorsqu’il arriva à Rome.
Le Dr. Gerbi mit alors à l’œuvre ses relations acquises lors des mois précédents, parmi elles quatres Sheikhs, pour remettre la synagogue en état. « J’ai contacté les membres de la police et de l’armée qui me connaissaient. Après tout ce temps passé ensemble, nous étions devenus amis. Il m’ont autorisé à nettoyer la synagogue et à prier là-bas. »
La seule manière de dégager les ordures amoncelées était d’abattre le mur qui bloquait l’entrée. « J’ai acheté le matériel pour une équipe de dix personnes – des balais, des marteaux, des outils de travail et des produits de nettoyage ». Pendant ce temps, une équipe de journalistes et de photographes observait le Dr. Gerbi qui abattait sa massue sur le mur. Il transpirait à grosses gouttes, le travail était difficile. A tel point qu’à un moment donné il fondit en larmes, se promettant de ne pas baisser les bras tant qu’il ne serait pas entré dans la synagogue et qu’il n’ait terminé sa mission.
C’était un lundi, le cinquième jour du mois de Tishrei. Le Dr. Gerbi s’était fixé de rendre la synagogue apte à abriter les offices de Yom Kippour, le samedi suivant. Il engagea six hommes supplémentaires qu’il paya 4000 Dinars. Il y amena son livre des Psaumes ainsi que l’écriteau traditionnel : Shiviti Hashem LeNegdi Tamid.
David Gerbi contacta également le Sheikh Jamal, une des figures religieuses les plus importantes de la nouvelle Libye. Celui-ci donna son accord pour la restauration de la synagogue et s’engagea même à l’accompagner visiter la synagogue lorsqu’elle serait remise en état.
Pas de quartier !
La veille de Kippour, David Gerbi entra dans la synagogue pour y allumer trois lampes traditionnelles. Pendant qu’il priait en silence, « un groupe de libyens fit irruption et me dit que des hommes armés étaient en route pour me poignarder », raconte-t-il. « Je me tenais là en pleine prière, et je leur répondis que je ne partirais pas, que je voulais d’abord dire des Psaumes. Cela a contribué à me tranquiliser. Entretemps, le Sheikh est arrivé, affolé. Je priais, et lui était pris de panique. Il m’enjoignit de quitter les lieux, et dit qu’il voulait que tous les journalistes s’en aillent. Puis ce fut le chaos. »
« Je lui ai répondu : encore quelques pages et j’aurai terminé, après je partirai tranquillement. Si Dieu veut que je meure dans la sainteté de la synagogue, je suis prêt, mais je ne veux pas profaner le Nom Divin. Je veux faire un Kiddoush Hashem ici ! . Entretemps, on me conseilla de sortir par la porte de derrière. Mais je leur ai répondu : Je vais sortir par la porte principale, avec respect comme il se doit, parce qu’il n’y a pas que mon honneur qui est en jeu ici, mais celui de tous les Juifs. C’est de cette manière que je vais montrer mon respect pour le Peuple Juif. Ceci est une synagogue, et je ne vais pas manquer de respect à la Nation Juive. Le Sheikh a alors déclaré que je pouvais sortir par l’entrée principale. Je lui ai dit : ‘ Alors viens, sortons ensemble’, mais alors lui aussi a pris peur et s’est enfui par la porte de derrière. »
David Gerbi était motivé par son désir de prouver qu’un changement avait pris place en Libye, que la révolution qu’il avait appuyée n’avait pas été vaine, et que l’ère de Khadafi était définitivement terminée, y compris pour les Juifs. David Gerbi a expliqué dans une interview accordée au correspondant de CNN après ces événements, que si la Libye entamait un processus de démocratisation, elle devrait reconnaître que les Juifs avaient vécu et s’étaient développés dans ce pays pendant 2300 ans, avant d’en être expulsés. Un fait que les Libyens qui ont grandi après l’éviction des Juifs ne pouvaient reconnaître.
« Au Maghreb, les Juifs ont toujours fui devant les Arabes » dit le Dr. Gerbi. C’est précisément ce qu’il veut changer. « J’ai voulu montrer que les Juifs n’ont maintenant plus peur. C’est pourquoi je me suis affiché avec ma kippa noire et mes franges de Tsitsit en pleine lumière. Les Psaumes m’ont aidé à prendre conscience de ma foi en Dieu en plein milieu du pogrom qui se tramait autour de moi. »
Quand David Gerbi est finalement sorti de la synagogue, le personnel de sécurité qui accompagnait les journalistes l’attendait. Il s’est alors écrié, en larmes : « Pourquoi faut-il que les Juifs soient haïs ? Est-ce un crime de prier dans une synagogue et de la nettoyer ? Je ne pouvais ni comprendre ni accepter ce qui venait de se passer » raconte-t-il avec amertume.
Entretemps, son cri de désespoir avait réveillé une vague d’antisémitisme latent. La veille de Kippour, les manifestations anti-Gerbi ont atteint Benghazi où se tint un immense rassemblement contre lui. Au même moment, des manifestations se sont formées à Tripoli Square et face au Corinthia Hotel où il était descendu. C’était la nuit de Kippour. Pendant cinq heures, des centaines de personnes criaient qu’elles voulaient que David Gerbi sorte ; elles voulaient le saisir et le tuer.
« Tant que j’aidais la révolution, le fait que je sois Juif ne leur posait pas de problème. Et maintenant ils voulaient que j’abandonne mon identité ? » dit-il, encore sous le choc. « Je ne voulais pas abandonner là. Je suis né en Libye et je suis Juif. Le Consul italien m’a appelé en me suppliant. ‘Viens, enfuis-toi. Des gens vont t’aider à te sauver.’ La direction de l’hôtel et des officiels sont également venus, mais j’ai refusé de bouger, parce que c’était Kippour, et je suis donc resté. Je me suis dit que si Dieu avait décidé que je sois massacré pendant les 10 Jours de Pénitence, alors qu’il en soit ainsi. Je ne cherchais pas à être un héros ou un martyr, je voulais uniquement ce qui nous revient, nos droits. »
David Gerbi affirme qu’il n’a pas risqué sa vie aveuglément sans réflexion. « Je savais que s’ils me touchaient, toute la communauté internationale le saurait. Les médias étaient présents. J’avais compris que je devais partir, mais je ne voulais pas m’enfuir. Comme lors de l’Exil d’Egypte, où les Juifs étaient sortis la tête haute, plutôt que de s’enfuir de nuit comme des voleurs. L’ambassadeur, les officiels, le personnel de l’hôtel, tous m’ont supplié de partir. ‘Vous aiderez la révolution en partant d’ici’ m’ont-ils dit. Ils craignaient pour la sécurité des clients et du personnel. En fin de compte, j’ai accepté qu’on m’évacue par avion la veille de Souccot. »
A partir de ce moment, le séjour du Dr. Gerbi se transforma de facto en garde-à –vue dans sa chambre d’hôtel. « La foule n’attendait qu’une chose, que je sorte pour pouvoir me tuer. Je ne faisais confiance à personne, et je suis donc resté dans ma chambre. Par sécurité, je changeais régulièrement de chambre, je ne répondais pas au téléphone, et je m’arrangeais toujours pour semer d’éventuels suiveurs. J’arrêtais par exemple l’ascenseur au mauvais étage, puis en prenais un autre, pour qu’on ne sache pas où je suis. Pendant ce séjour, la police m’a convoqué pour me signifier que j’avais forcé l’accès d’un site archéologique sans autorisation ! »
« Cette méthode de classer les synagogues comme sites archéologiques, c’est une méthode qu’employait Khadafi, » analyse le Dr. Gerbi. « Je leur ai dit : d’accord, vous pouvez m’interroger . Ils étaient furieux que j’aie accepté. Ils pensaient que j’allais les implorer pour sauver ma vie ! »
J’étais abasourdi par toute cette haine. Khadafi avait réussi à les convaincre que les Juifs s’étaient enfuis de Libye en emportant toute la richesse du pays. Il ignoraient meme que des Juifs étaient nés en Libye, ils pensaienbt qu’ils étaient venus d’Israël prendre le contrôle du pays. Ils étaient aussi manipulés que cela. Ils m’ont demandé : ‘Est-ce que tu as un passeport israelien ?’ Je leur ai repondu : ‘Non, j’ai un passeport italien’, et ils ne m’ont pas cru. Quand je leur ai dit que j’étais né en Libye, ils n’en revenaient pas.
Le long chemin du retour
David Gerbi n’a pas abandonné sa mission de sauvegarder le patrimoine juif libyen, qui date du troisième siècle avant notre ère. Il estime qu’avec la disparition de Kadhafi, cela pourrait à nouveau être possible.
Lorsque le colonel Kadhafi est arrivé au pouvoir en 1969, la communauté juive de Libye avait déjà été décimée par les pogroms menés par des musulmans rendus fous de rage par le conflit israélo-arabe. D’un maximum de près de 30.000 au cours des années 1930, seulement quelques centaines étaient restés, mais la politique de Kadhafi a entraîné l’élimination du reste de la communauté. Il confisqua les biens privés et communautaires des Juifs, ont leur retira leurs droits civils, et il fut interdit à ceux qui avaient pris refuge à l’étranger de revenir. Khadafi détruisit les cimetières juifs de Tripoli et de Benghazi et convertit les synagogues en mosquées. David Gerbi avait 12 ans quand sa famille s’est exilée à Tripoli. Il dit que le traumatisme de cette époque – qui le suivit jusqu’à l’âge adulte - a été ce qui l’a réellement motivé à devenir psychologue. "Soudain, après la guerre des Six Jours, les Arabes ont commencé à nous persécuter. Étant un enfant, je n’en comprenais pas la raison, et il m’a fallu des années pour surmonter les troubles de cette époque », se souvient le Dr Gerbi. "La Libye est proche de l’Egypte, et Nasser encourageait le massacre des Juifs. Ils se sont accaparés une partie de notre terrain, et ont construit un mur de séparation sur notre porche, que je ne pouvais plus passer.
« Toute la communauté a fui. Beaucoup sont allés en Israël, mais mes parents ont fui vers l’Italie. Mon père avait travaillé dans le commerce de l’or et des diamants, il a tout laissé derrière lui. Deux ans plus tard, quand Kadhafi est arrivé au pouvoir, il a confisqué tous les biens des juifs et leur a interdit de revenir Libye. » Le Dr. Gerbi a visité plusieurs fois la Libye avant la révolution. En 2002, il réussit à sauver sa tante, le dernier individu Juif resté dans le domaine de Kadhafi. En 2007, il a été invité en Libye par Kadhafi lui-même, après avoir exprimé son intérêt pour visiter son pays natal et restaurer l’une des synagogues qui s’y trouve, mais il a été rapidement expulsé. Puis en 2009, il a rencontré Kadhafi.
En 2009, le Dr Gerbi avait accepté une invitation à rencontrer Kadhafi à Rome pour parler de l’amélioration des relations entre le régime et la communauté juive en exil. Ces dernières années, Kadhafi s’était entretenu avec les Juifs libyens à intervalles irréguliers, préférant traiter avec ceux d’Italie plutôt que ceux qui s’étaient installés en Israël, qu’il fustigeait dans ses tirades grotesques. Il avait même une fois promis d’envisager de rendre les droits de propriété, mais rien de concret n’était sorti de ces pourparlers.
« Je vois encore son visage me faisant face », a raconté le Dr. Gerbi à un journaliste du Jerusalem Post, de retour à Rome après la débâcle de la synagogue. "Il avait les yeux d’un bédouin, quelqu’un qui pourrait trouver de l’eau dans le désert, mais il ne pouvait pas se connecter avec notre réalité."
Dr Gerbi a encore de l’espoir en une Libye démocratique, mais affirme que le gouvernement intérimaire doit faire un choix - soit suivre les islamistes haineux, soit ouvrir une nouvelle page dans les relations avec les Juifs.
« Il est facile de se débarrasser de la personne physique de Kadhafi », dit-il, "mais il est beaucoup plus difficile de se débarrasser du Kadhafi qu’on a en soi."
Nous les juifs on ferait mieux de se taire et de les laisser s'entretuer. Ces revolutions Islamiques jouent contre Israel.Tant qu'ils sont occupes a se battre entre eux ca nous convient. Ce que je redoute c'est qui sortira vainqueur
de ces combats fraternels, et que sera le futur d'Israel.
C'est vraiment "donner de la confiture à des cochons" que de s'occuper de ces guignols. Il vaudrait mieux les laisser "mijoter" dans leurs paranoïa, leur méchanceté, et les laisser s'entretuer, c'est vraiment tout ce qu'ils savent faire de "bien"., et au moins, pendant qu'ils s'entre-égorgent, ils "foutent la paix" au monde entier qu'ils ont littéralement "démoli" politiquement, financièrement, socialement, religieusement, historiquement (allant jusqu'à faire du déni de toutes nos valeurs pour nous imposer les leurs de valeurs, terroristes et barbares). Ca suffit maintenant, la coupe est pleine....
AM ISRAEL HAY
Réponse: En ce qui concerne la terre que Dieu a promis à Israël, Genèse 15:18 déclare: «. A ta descendance [Abraham] Je donnerai ce pays, depuis le fleuve d'Égypte jusqu'au grand fleuve, l'Euphrate" Dieu confirme plus tard cette promesse à Abraham son fils Isaac, et Isaac, le fils de Jacob (dont le nom a été changé plus tard en Israël). Quand les Israélites étaient sur le point d'envahir la Terre Promise, Dieu a réitéré la promesse terrestre, comme enregistré dans Josué 1:4, «Votre territoire s'étendra du désert au Liban, et du grand fleuve, l'Euphrate - tout le pays hittite - jusqu'à la grande mer à l'ouest. "
Avec la Genèse 15:18 et 01:04 Joshua à l'esprit, la terre que Dieu donna à Israël tout inclus à partir de la rivière du Nil en Egypte au Liban (du Nord au Sud) et tout de la mer Méditerranée à l'Euphrate (d'Ouest en Est). Alors, qu'est la terre que Dieu a déclaré appartient à Israël? Tous les terrains d'Israël moderne possède actuellement, en plus de toutes les terres des Palestiniens (la Cisjordanie et Gaza), ainsi que certains de l'Egypte et la Syrie, ainsi que tous de la Jordanie, ainsi que certains de l'Arabie saoudite et l'Irak. Israël possède actuellement qu'une fraction de la terre que Dieu a promis.