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Israël : Défense au Moyen-OrientBarak/explosion Ispahan : "il y a des pannes ou d'autres choses qui peuvent se produire"Interrogé jeudi matin par Kol Israël, le ministre de la Défense Ehoud Barak a évoqué les "mystérieuses explosions" de ces dernières semaines sur des sites militaires ou nucléaires iraniens comme à Ispahan, il y a quelques jours. "Il y a des pannes ou d'autres choses qui peuvent se produire", a dit Ehoud Barak. Articles connexes
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leurs missiles et changer les lieux de stockage comme si les satellites
ne pouvaient pas détecter les déplacements des matériels et les révolutionnaires
contre ce gouvernement islamiste ne surveillaient pas les faits et les gestes des
gardiens des mollahs.
Je suis persuadé que les israéliens et les américains connaissent déjà les nouveaux
points de stockage et peuvent en tenir compte après s'être assurés que ce ne sont pas
les leurres .
Je rejoins ceux qui pensent que si Assad tombe le hezbollah et aussi les mollahs ont
des cheveux blancs à se faire.
Sorti en France le 4 novembre 2011, ce livre revient sur le destin tragique de ces Afro-Antillais; Guadeloupéens, Réunionnais, Martiniquais, qui ont adhéré à l'idéologie nazie. Des révélations fracassantes que Serge Bilé a mis près de huit ans à récolter. Il a commencé son travail de recherche en 2004 pour témoigner aujourd'hui des noirs qui, malgré les lois raciales de Nuremberg promulguées en 1935, ont intégré les rangs de la Wehrmacht. Mais aussi ceux de Mussolini en Italie ou encore de Franco en Espagne.
Comment expliquer ce paradoxe? Comment expliquer qu'un soldat africain, Ewan Ngando, ait réussit à se faire enrôler dans la Wehrmacht alors que l'accès à l'armée allemande était formellement interdit aux noirs et aux métis? Comment expliquer que des noirs, directement menacés par l'idéologie nazie, puissent en faire partie?
Pour Serge Béli, les raisons sont multiples et complexes. A travers son propos, il tend à démontrer que pour beaucoup de noirs qui ont rejoint la Wehrmacht, il s'agissait surtout de contourner la menace nazie. «Il y en avait pour qui il s'agissait juste de sauver sa peau, dans une France où de toutes les façons ils n'avaient pas leur place.»
Car l'auteur, avec son précédent livre «Noirs dans les camps nazi» avait démontré que dans les camps de concentration allemands, il y avait aussi des noirs, un sujet peu abordé dans les livres d'histoire. Pour certains donc, il s'agissait de se mettre à l'abri, d'éviter d'être à leur tour déportés. Comme l'explique Serge Bilé à Afrik.com, pour d'autres en revanche
«c'était une manière de dire: "Nous sommes allemands comme les autres et nous voulons défendre notre pays!" Ils avaient en eux une part (...) Lire la suite sur Slate.fr
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On sait que Jean Moulin, préfet d'Eure-et-Loir, est arrêté en 1940 par les Allemands, qui voudraient qu'il fasse endosser par des tirailleurs sénégalais la responsabilité d'atrocités contre des populations civiles commises en réalité par des troupes allemandes. Les pressions physiques qu'il subit alors sont telles qu'il tente de se suicider en se tailladant la gorge.
Dans le film, très juste de ton, que fit Louis Malle en 1973 (si je ne me trompe ), " Lacombe Lucien " , l'un des membres des équipes de tueurs et de tortionnaires qui pourchassent Juifs et Résistants est un Antillais.
Mais de nombreux Antillais ( par exemple le gouverneur Félix Eboué ) et Africains se sont engagés dans les Forces Françaises Libres. D'autres, comme Birago Diop, ont eu une attitude plus favorable à Vichy. Beaucoup ont eu,
comme l'écrasante majorité, une attitude " attentiste " . Je dis ci-dessus que le gouverneur Eboué s'est " engagé dans les FFL " : il serait plus précis de dire qu'il s'est ( immédiatement ) rallié à De Gaulle.
Bonjour, Loïc.
La question de l'allégeance islamique de Baraq 'Hussein Obama est controversée. Mais pas mal d'éléments plaident en ce sens. Par exemple, le fait que mentionner son deuxième prénom - 'Hussein - ait été pratiquement interdit jusqu'au jour de son entrée en fonctions, date à partir de laquelle il l'a au contraire hautement revendiqué : on peut voir là quelque chose qui relève de la taqqiya. Ou encore, outre le fameux discours du Caire ( dans lequel il revendiquait le caractère de pays tout autant musulman que chrétien pour les Etats-Unis et où il attribuait à l'Islâm un rôle essentiel dans la civilisation ... ), sa génuflexion suivie d'un baise-main au roi d'Arabie séoudite - gestes qu'il est le seul président américain et le seul chef d'Etat occidental à avoir jamais pratiqués, et qui ne sont pas, à proprement parler, des gestes politiques ... Peut-être s'agissait-il là d'un remerciement public ( je n'irais pas jusqu'à envisager quelque chose comme le baiser traditionnel des maffiosi au " capo " ... ) pour une contribution aux frais électoraux ? ( je dis cela parce que le trésor de guerre électorale dont a pu disposer Obama - qui n'a pas, à la différence de gens comme son rival John McCain, ou de personnalités comme le sénateur John Kerry ou le gouverneur Mitt Romney, de fortune personnelle - était énorme, très au-delà de ce que l'on peut observer ordinairement dans un pays où le " fund raising " politique draine habituellement des sommes
Baisseront ils leur garde ????ou une fois de plus feront il un nouveau palier histoire de refaire tomber la tension ????? et repartir de plus belle ....ce sont de redoutables joueurs d echec
considérables - ce qui fait que l'on peut se demander s'il n'y aurait pas eu de grosses mises de fonds en ... pétro-dollars ... ).
Mais je laisserai la question de la relation personnelle de Baraq 'Hussein Obama avec l'Islâm provisoirement de côté pour vous suggérer de jeter un coup d'oeil sur sa formation et ses antécédents politiques. On peut le faire, par exemple, à travers le livre de Stanley Kurtz, " Radical-in-Chief " , paru il y a un an environ aux éditions Simon & Schuster Inc.
Par contre, j'évoquais certains éléments ( un discours, des gestes, des questions de financements ... ) dont la teneur politique est peut-être considérée comme explosive et donc soumise de ce fait à censure ...