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Israël : Défense au Moyen-OrientL'Iran affirme avoir abattu un drone américain et menace d'une réponse "en dehors de nos frontières"L'armée iranienne a déclaré dimanche avoir abattu un drone de reconnaissance américain dans l'Est de l'Iran, a déclaré une source militaire à la télévision d'état. "L'armée iranienne a abattu un drone RQ-170 américain dans l'Est de l'Iran," a déclaré la télévision d'état Al Alam en langue arabe, citant une source anonyme. "Le drone espion, qui a été abattu avec peu de dommages, a été saisi par les forces armées iraniennes." La source a dit que la réponse de l'Iran à la violation de son espace aérien par le drone américain ne sera pas limitée aux frontières du pays. "La réponse de l'armée israélienne à la violation de notre espace aérien par le drone espion américain ne sera pas limitée aux frontières de l'Iran," a déclaré la télévision Al Alam en langue arabe, citant une source militante, et sans donner plus de détails. L'Iran avait déclaré au mois de juillet avoir abattu un avion espion américain sans pilote au-dessus de la ville sainte de Qom, a proximité d'un de ses sites nucléaires. L'Iran a abattu le drone à un moment ou elle tente de contenir la réaction étrangère à l'assaut de l'ambassade britannique à Téhéran mardi, peu après que Londres ait annoncé qu'il allait imposer des sanctions à la banque centrale iranienne en liaison avec son programme nucléaire controversé. La Grande Bretagne a évacué son personnel diplomatique d'Iran et expulsé les diplomates iraniens présents à Londres, en représailles, et plusieurs membres de l'UE ont rappelé leurs ambassadeurs à Téhéran. Washington et les pays de l'Union Européenne ont discuté de mesures visant à limiter les exportations de pétrole iranien depuis que l'agence internationale de l'énergie atomique a publié un rapport en novembre prouvant que Téhéran avait travaillé à la conception d'une bombe atomique, et suggérant que la dictature islamique pourrait encore y travailler. Articles connexes
5 commentaires
| Membre Juif.org
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ils vont tout s inventer des attentats toutes sortes de miseres que leur veux l occident ils vont se mettre dans une position ou ils vont etres a plaindre
ety le petrole a 250 dol on verra bien ce qu il ne faut pas perdre de vue c est la blocage du detroit d ormouz la la ligne rouge sera franchie et le conflit deviendrai ineluctable avant ce n est que marchandages et targiversations orientales
Salafistes et Frères musulmans demeurent toutefois des rivaux acharnés, et une dure bataille se profile pour le deuxième tour du scrutin dans le tiers des gouvernorats lors de l'attribution, aujourd'hui, des sièges au scrutin uninominal (le résultat d'hier permettait seulement d'attribuer des sièges au scrutin proportionnel). Les deux tiers restants des régions égyptiennes voteront jusqu'en janvier. Un porte-parole des Frères musulmans a appelé « à ne pas mettre tous les islamistes dans le même panier », en référence au parti salafiste Al-Nour, dont un des leaders a déclaré qu'il ne fallait pas permettre « à un homme et à une femme de s'asseoir ensemble dans un lieu public ».
Cette victoire des islamistes en Egypte fait suite à celle, il y a quelques semaines, du parti Ennahda en Tunisie et du Parti de la justice et du développement au Maroc. En Tunisie, un face-à-face tendu a opposé hier des manifestants appelant à autoriser le port du voile à l'université,
Premier scrutin sincère
Le Bloc égyptien, principale coalition libérale, a obtenu 13,3 %. Les libéraux, divisés en six listes, atteignent 29,4 % lors de ce scrutin, le premier véritablement sincère depuis près de vingt-quatre ans en Egypte, marqué par un taux de participation historique (62 %).
Au total, les partis réclamant à divers degrés l'application des dogmes du Coran dans la vie politique et sociale ont obtenu les suffrages de deux électeurs égyptiens sur trois, laminant l'opposition laïque et libérale. Le courant islamiste bénéficie d'une forte popularité pour avoir longtemps incarné l'opposition à un régime militaire corrompu. Ses militants ne constituaient pourtant qu'une minorité des manifestants ayant obtenu la chute d'Hosni Moubarak en février dernier.